Les crapules écolos savent que la voiture électrique est un désastre environnemental

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lien de secours https://youtu.be/bY9zESWWbjI

La présidentielle de 2022 se jouera avec Europe Écologie Les Verts et son sinistre patron ministrable,Yannick Jadot, qui veut le retour de tous les jihadistes en France et davantage de migrants débarqués en Europe par l’Aquarius (1). On vient d’ailleurs d’apprendre que l’ONG reprend la mer avec un bateau encore plus grand que ceux qui appareillent d’habitude (2).

Pendant ce temps, un tas de députés se sont aplatis, mardi à l’Assemblée nationale, devant l’arrogante glandouille lycéenne suédoise, Greta Thunberg, qui sèche ses cours tous les vendredis et qui va s’octroyer une année sabbatique pour sauver la planète ! Heureusement, quelques parlementaires ont quand même réagi : https://ripostelaique.com/greta-thunberg-ne-sera-pas-la-bienvenue-ce-mardi-a-lassemblee-nationale.html

Dans la lignée fertile de Yves Cochet, l’imposteur écologique et élu « Connard du mois », la marionnette Thunberg a récité son tissu d’imbécilités (voir vidéo de Laurent Alexandre infra) : « il faut certes protéger le produit Greta qui est une victime manipulée, mais nous devons combattre sans relâche les idées qu’elle véhicule ».

https://ripostelaique.com/yves-cochet-imposteur-ecologique-et-elu-connard-du-mois-filme-chez-lui.html

Les voitures électriques imposées par les politicards écolos coûteront les yeux de la tête aux automobilistes, et demain nous roulerons tous chinois

Commençons par cette étrange nouvelle : malgré des records de productions et de ventes à des prix exorbitants, le constructeur automobile spécialisé dans l’électrique, Tesla, perd toujours de l’argent. Mais pas pour très longtemps encore, car il va bientôt se gaver, car, comme pour la 5G, la Chine dominera le marché. La preuve : le constructeur a donné des nouvelles de son immense usine en Chine qui produira des Model 3, d’abord pour le marché chinois, puis pour le reste du monde.

source : https://www.macg.co/ailleurs/2019/07/tesla-perd-de-largent-et-lun-de-ses-cofondateurs-107325

Venons-en maintenant aux vérités cachées de la production des véhicules électriques.

Une voiture électrique peut émettre plus de CO2 qu’un Diesel, sa fabrication est un désastre environnemental, et les crapules de la Transition écologique le savent (3) 

Précision : je suis un ancien mécanicien automobile qui rappelle sans cesse que Diesel s’écrit ainsi, comme son génial inventeur Rudolf Christian Karl Diesel.

« Si l’on englobe l’ensemble de son cycle de vie, une voiture électrique peut émettre plus de CO2 qu’un vulgaire Diesel… Les batteries électriques ? Des réservoirs bourrés de métaux rares, très polluants et monopolisés par la Chine. 

Guillaume Pitron, ancien juriste devenu journaliste, a pendant huit ans parcouru la planète – Chine, Malaisie, Indonésie, Afrique du Sud, Amérique du Nord – pour enquêter sur la fameuse « transition écologique »… qui n’est pas si verte. Il en relate les dessous dans « La Guerre des métaux rares », aux éditions Les Liens qui Libèrent. »

La mafia Verte illustrée par l’idiotie vénale de Ségolène Royal qui alimente ces jours-ci les rubriques des médias

Trois ans après, le scandale d’État de la route solaire de la désormais planquée des neiges, est enfin dévoilé. Et ce n’est que le début du gouffre de la commande de l’ex-ministre de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer, chargée des relations internationales sur le climat, sous le quinquennat Hollande.

« À l’époque, en dehors de quelques petits doutes sur la rentabilité globale du projet financé par un État décidément pas avare de l’argent gratuit des autres, nombre de journalistes avaient loué l’innovation technologique que représentait cette fumisterie prouesse électrique en revenant avec plus ou moins de détails sur la technique employée pour enfermer les feuilles photovoltaïques dans une résine soi-disant résistante aux impératifs routiers.

L’idée de base était comme souvent aussi simple qu’idiote : puisque installer des panneaux solaires représente à la fois un risque de défigurer des paysages naturels et un manque à gagner en termes de surface agricole dès lors qu’on veut le faire sur une surface un peu sérieuse, pourquoi ne pas mettre à profit ces vastes surfaces déjà largement exposées au soleil (et donc aussi à toutes les intempéries) que sont les routes du pays ? Et quoi de mieux que ces routes, qui supportent le passage d’engins pouvant peser des dizaines de tonnes à des vitesses importantes, qui soulèvent une quantité considérable de poussière généralement opaque, pour accueillir un matériau à la fois fragile, très sensible aux obstructions lumineuses, pour fournir à tous une énergie aussi variable qu’intermittente et dont la gratuité claironnée haut et fort s’arrête au moment de payer la facture du fameux revêtement ?

En plus, à 5 millions d’euros du kilomètre, pourquoi se priver ? Aussitôt dit, aussitôt payé, aussitôt fait : prometteuse d’une vaste extension de cette filouterie idée lumineuse à un réseau plus large de routes françaises, l’expérience pilote était lancée.

Pourtant, dès le départ, plusieurs pointaient les problèmes inhérents de cette fausse bonne idée : rendements faibles, durabilité discutable, tout pointait déjà vers un désastre financier

Vingt mois plus tard, en août 2018, les choses se précisaient, levant la plupart des doutes sur la foirade magistrale qu’on pouvait deviner dès le départ… » source : https://www.contrepoints.org/2019/07/24/345657-les-aventures-de-la-route-solaire-de-la-reine-des-neiges?utm_source=Newsletter+Contrepoints&utm_campaign=40870e5a22-

Avec des propos faussement enfantins, Greta Thunberg et les aigrefins verts désintégreront le niveau de vie des classes populaires. La bande à Mélenchon complice a applaudi

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