Baromètre 2019 du prénom musulman : 21,6% de naissances concernées en France l’an passé, 53,4% dans le 93

Par JeanRobert le 22/07/2019

L’INSEE a publié comme chaque année les chiffres de l’Etat Civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900.
Ces fichiers sont téléchargeables via ce lien.

Pour la 4ème année consécutive, fdesouche publie en exclusivité le baromètre des naissances enregistrées en France sous prénom musulman.

Pour rappel, cette étude a été « validée » cette année par Jérôme Fourquet (directeur de l’IFOP), dans son essai L’Archipel français (Seuil,2019)…

L’analyse de l’octroi de prénoms musulmans pour les naissances en France en 2018 révèle :
• Un taux national qui atteint les 21,6%
• Un taux de croissance qui parait ralentir : une augmentation de 0,3% au regard de 2017, cette croissance était en moyenne de 0,7% depuis 2000.
• A noter cependant la nette augmentation des « prénoms rares », c’est à dire ayant enregistré moins de 3 naissances au niveau national sur l’année, qui complexifient la mesure
• Les statistiques indiquent un taux de prénom musulman estimé à 1/3 des prénoms rares (essentiellement des variations orthographiques de prénoms ou des prénoms composés), représentés en rouge sur le graphe.
• Sur cette base, l’estimation du taux national d’octroi de prénom musulman en France corrigé serait à 24,2% mais en raison de son caractère incertain, nous en restons au chiffre ci-dessus.

Méthodologie
Afin de mener cette étude présentant la popularité spécifique des prénoms musulmans comparée aux autres prénoms aux niveaux national et départemental, il a été nécessaire de créer de toutes pièces un « référentiel » des prénoms musulmans.
Si le Coran indique que le prénom du musulman consiste en « une marque distinctive nécessaire pour faciliter la communication entre son porteur et les autres », il n’est pas évident de les identifier parmi les 34000 prénoms de la base de l’INSEE.
Plusieurs listings disponibles sur les sites communautaires suivants ont été passés au crible : www.halalbook.fr, www.prenommusulmanrare.com, www.pageshallal.com, www.katibin.fr. Un référentiel des étudiants du monde, par pays d’origine www.studentsoftheworld.info a également été utilisé.
Plusieurs états civils de villes françaises ont enfin été examinés afin de valider l’association du prénom à des patronymes particuliers.
Certains prénoms sont systématiquement attribués à des enfants de familles musulmanes, ce sont les « prénoms musulmans certains ».
D’autres prénoms, majoritairement attribués à des enfants de familles musulmanes, peuvent parfois être attribués à d’autres enfants, nous les suivons comme prénoms mixtes. Afin de disposer de chiffres indiscutables, nous ne décomptons les « prénoms mixtes » que pour moitié dans le décompte des prénoms musulmans.

Les musulmans feront 50 % de la population mondiale avant la fin du siècle

Publié le 21 juillet 2019 – par Luiz Viriate

L’Islam n’est pas une religion, ni un culte. Dans sa forme, c’est un mode de vie complet.

L’Islam a des composantes religieuses, légales, politiques, économiques, sociales et militaires. La composante religieuse sert à masquer toutes les autres.

L’islamisation d’un pays débute lorsqu’il y a suffisamment de musulmans à l’intérieur du pays pour commencer à revendiquer des accommodements religieux.

Lorsque les sociétés ouvertes à la diversité culturelle, à la rectitude politique et à la tolérance consentent aux demandes d’accommodements religieuses provenant de leurs communautés musulmanes, les autres composantes s’infiltrent progressivement.

Voici comment ça fonctionne. Aussi longtemps que la population musulmane demeure autour ou inférieure à 2 %, peu importe le pays, elle sera perçue comme étant une minorité pacifique, et non comme une menace par les autres citoyens. C’est le cas aux :

États-Unis – musulmans : 2,00 %

Australie – musulmans :2,25 %

Espagne – musulmans : 2,30 %

Italie – musulmans : 2,60 %

Entre 2 % à 5 %, la conversion des autres minorités ethniques et des groupes marginaux commence par le recrutement des détenus dans les prisons et des jeunes marginaux faisant partie des gangs de rues. C’est le cas notamment en :

Canada – musulmans : 3,0 %

Norvège – musulmans : 3,0 %

Danemark – musulmans : 4,1 %

Royaume-Uni – musulmans : 4,6 %

Allemagne – musulmans : 5,0 %

Lorsqu’ils atteignent 5 %, les musulmans exercent déjà une influence excessive en proportion de leur pourcentage de la population. Ils feront alors pression pour l’introduction de produits alimentaires « halal », (licites selon les standards islamiques) assurant ainsi l’embauche de musulmans pour leur préparation et le paiement par le consommateur d’une « taxe de certification halal » revenant aux seuls musulmans, mais aux frais et à l’insu de tous.

Ils augmenteront leur pression sur les chaînes de distribution alimentaires pour que celles-ci mettent ces produits en rayon, les menaçant de représailles allant jusqu’à la faillite s’ils ne se soumettent pas à leurs demandes. C’est ce qui se passe au :

Suède – musulmans : 4,9 %

Pays-Bas – musulmans : 5,5 %

Suisse – musulmans : 5,7 %

Trinité-et-Tobago – musulmans : 7,0 %

Parvenus à ce stade, les musulmans s’infiltreront graduellement dans toutes les sphères d’influence et travailleront afin que les gouvernements en place leur permettent de se gouverner eux-mêmes à l’intérieur de leurs enclaves-ghettos selon les lois de la charia, (lois issues du Coran) ; le but ultime des islamistes étant d’établir la charia dans tous les pays du monde.

Quand le nombre de musulmans approche 10 % de la population, ils accroissent le non-respect des lois allant jusqu’à les défier ouvertement afin de revendiquer des conditions de vie propres à leur culture et à leurs croyances. À Paris, on voit régulièrement des incendies d’autos dans les enclaves musulmanes. Toute action perçue comme étant antimusulmane provoque des soulèvements de foules et des menaces, comme à Amsterdam, où l’on s’oppose violemment aux bandes dessinées de Mahomet et des films sur l’Islam. Souvenez-vous de l’affaire « Charlie Hebdo » à Paris… De telles tensions se produisent à tous les jours, principalement dans les enclaves musulmanes en :

Guyane – musulmans : 7,0 %

France – musulmans : 9,6 %

Chine – musulmans : 10,0 %

Philippines – musulmans : 10,0 %

Thaïlande – musulmans : 10,0 %

Israël – musulmans : 16,0 %

Lorsqu’ils atteignent 20 % de la population, les pays d’accueil connaissent des manifestations de violence déclenchées la plupart du temps pour des peccadilles, la formation de milices djihadistes, des tueries, des incendies d’églises chrétiennes et de synagogues juives comme en :

Russie – musulmans : 19 %

Inde – musulmans : 20 %

Kenya – musulmans : 33 %

À 40 %, les nations connaissent des massacres sporadiques, des attaques terroristes à répétition, et la guérilla militaire sans répit comme c’est le cas présentement au :

Tchad – musulmans : 50 %

Éthiopie – musulmans : 50 %

À partir de 60 %, les nations vivent la persécution sans retenue des citoyens non musulmans ; ceux qu’ils nomment les « mécréants », mais aussi les musulmans qui ne se conforment pas à l’idéologie intégriste – ceux que l’islam qualifie « d’hypocrites ». Intervient alors le « nettoyage » ethnique, l’utilisation de la charia comme arme de répression, et l’application de la « jizya » ; cet impôt que les non musulmans doivent payer aux musulmans. C’est ce que l’on observe en :

Bosnie – musulmans : 60,0 %

Malaisie – musulmans : 60,4 %

Qatar – musulmans : 77,5 %

Albanie – musulmans : 79,9 %

Au-delà de 80 %, l’intimidation est incessante, l’oppression et le djihad violent sévissent impunément, le nettoyage ethnique est étatisé allant jusqu’au génocide. Les intégristes chassent ou éliminent tous non musulmans car les pays qu’ils occupent doivent être 100 % musulmans comme en :

Indonésie – musulmans : 88,0 %

Syrie – musulmans : 90,0 %

Bangladesh – musulmans : 90,4 %

Jordanie – musulmans : 94,0 %

Égypte – musulmans : 95,0 %

Pakistan – musulmans : 96,3 %

Soudan – musulmans : 97,0 %

Palestine – musulmans : 98,0 %

Liban – musulmans : 98,0 %

Maroc – musulmans : 99,0 %

Turquie – musulmans : 99,8 %

Iran – musulmans : 99,9 %

Iraq – musulmans : 99,9 %

Lorsqu’ils atteignent l’objectif ultime de 100 % de musulmans, la soumission totale est assurée. Pour mémoire « islam » signifie « soumission ». Cela est supposé, selon eux, les conduire à la « Dar-es-Salaam », la maison islamique de la Paix.

Tous les habitants sont alors musulmans. Les madrasas sont les seules écoles, et le Coran est la seule parole tel qu’en :

Afghanistan – musulmans : 100 %

Arabie saoudite – musulmans : 100 %

Somalie – musulmans : 100 %

Yémen – musulmans : 100 %

Mais malheureusement, la paix ne survient jamais, car dans ces pays musulmans à 100 %, les plus radicaux exerçant un contrôle total et le pouvoir absolu satisfont leur soif insatiable de sang en tuant leurs coreligionnaires qui sont moins radicaux qu’eux…

« Avant l’âge de neuf ans, j’avais appris le canon qui régit la vie arabe : c’était moi contre mon frère ; moi et mon frère contre mon père, ma famille contre les cousins du clan ; le clan contre la tribu, la tribu contre le monde, et nous tous contre l’infidèle » (Leon Uris, « The Haj »)

C’est important de comprendre que dans certains pays, avec des populations musulmanes nettement inférieures à 100 % comme la France, les gens qui vivent dans ces enclaves-ghettos sont musulmans à 100 %. Cette population vit ainsi sous la loi de la charia. La police nationale française n’entre même pas à l’intérieur de ces enclaves. Il n’y a pas non plus de cours judiciaires d’État, ni d’écoles, ni de facilités religieuses non musulmanes.

En pareille situation, les musulmans n’intègrent pas la communauté élargie. Les enfants fréquentent la madrasa, ils n’apprennent que le Coran. Le seul fait d’avoir des contacts avec des infidèles est passible de la peine de mort. Conséquemment, dans certains endroits dans certains pays, les imams et les extrémistes exercent plus de pouvoir que les autorités élues et les forces policières…

Aujourd’hui, près de 2 milliards de musulmans constituent 28 % de la population mondiale. Cependant, le taux de natalité chez les musulmans dépasse, et ce de beaucoup, les taux de natalité des chrétiens, hindous, bouddhistes, juifs, et de tous les autres croyants ou non-croyants. Les musulmans dépasseront ainsi 50 % de la population mondiale avant la fin du siècle.

Veuillez s’il-vous-plaît transmettre cette information à tous ceux parmi vos proches qui s’inquiètent avec raison de l’avenir sombre qui attend les prochaines générations si nous n’avons pas le courage et la force morale pour renverser ce courant religieux maléfique pour l’humanité.

C’est aussi votre combat !