La République en Marche au service des constructions de mosquées

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Le parti d’Emmanuel Macron, à sa création, a consacré ses efforts d’élaboration d’un programme politique sur les questions économiques et sociétales, délaissant en général les questions d’identité et de religion. Il est vrai que prendre des positions tranchées sur ces questions est un risque de voir fuir des segments d’électorats qui peuvent s’accorder sur un programme fiscal et de droit du travail, mais pouvant s’opposer sur les questions migratoires ou du traitement sécuritaire du salafisme.

Alors qu’il était encore en campagne, Emmanuel Macron a refusé de condamner les Frères Musulmans de l’UOIF ou les salafistes, les premiers appelant ouvertement à voter pour lui sans que cela ne le fasse réagir. Une fois président, il déclare lors de son interview avec Jean-Pierre Pernaut en avril dernier, qu’il n’existe pas de base légale pour interdire ces deux courants de l’islamisme, et dit s’en remettre à la justice pour traiter les dérapages des prêcheurs extrémistes. Une façon de botter en touche.

Cela dit, une grande partie de ses élus venant du Parti socialiste, il ne fallait pas être grand clerc pour deviner que la complaisance sur le terrain avec les associations musulmanes plus ou moins radicales allait se poursuivre. Déjà, la nomination d’Edouard Philippe validait qu’il n’était pas incompatible d’inaugurer une mosquée des Frères Musulmans ( mosquée Mesjed Ennourdu Havre très proche de l’UOIF), de céder un presbytère appartenant à la mairie pour une école salafiste, et de faire partie des « marcheurs » à responsabilité. Rappelons aussi les 8500 mousses aux chocolats retirées des écoles et jetées par la mairie du Havre au prétexte qu’elles n’étaient pas halal.





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