Pour sauver la France, une seule solution : les urnes !


Publié le 24 octobre 2018 – par Jacques Guillemain

Notre cher vieux pays est gravement malade, malade au point qu’on se demande s’il ne vit pas ses dernières années, en tant que nation libre, une nation fière de ses racines judéo-chrétiennes et de sa culture gréco-latine, fière d’appartenir à cette civilisation occidentale, toujours à la pointe de l’innovation et du progrès scientifique et social.
Submergée par une immigration de masse extra-européenne qui refuse de s’intégrer, trahie par ses élites qui refusent de la défendre et de la protéger, la France que nous ont léguée nos aînés, la France bâtie au fil des siècles dans le sang et les larmes, comme nous le rappelle la commémoration de l’armistice de 1918, cette France riche et prospère, qui était un véritable paradis à la fin des Trente Glorieuses, est en train de disparaître, laissant la place à une société que nous ne reconnaissons plus.
Dans notre société multiculturelle paradisiaque, on agresse les policiers, les profs, les personnels soignants, les pompiers. On compte 1 000 agressions gratuites par jour, le plus souvent commises en toute impunité, puisque notre justice laxiste répugne à infliger les peines prévues par le Code pénal. Un Code pénal suffisamment sévère mais jamais appliqué.
Tout le monde a peur.
http://www.debout-la-france.fr/actualite/1000-agressions-par-jour-en-france-stop-linsecurite
L’islam fait des ravages, détruit la société qui s’islamise de jour en jour, avec la bienveillance des autorités qui refusent de voir le travail de sape des barbus qui ont pris le contrôle des cités dont beaucoup sont devenues des mini-califats.
Le “vivre-ensemble”, c’est le vivre “côte à côte”, comme le dit Gérard Collomb, une société éclatée qui finira dans des affrontements inter-confessionnels violents si la reconquête des quartiers n’est pas décidée très vite.
Alors que faire ?
Je lis souvent que nos généraux devraient se réveiller et nous faire un putsch à la sud-américaine pour rétablir l’ordre dans le pays. Restons sur terre !
Primo, nous ne sommes plus en 1961 à Alger. Secundo, l’armée est respectueuse des institutions et il est impensable qu’elle viole les règles de notre démocratie.
Sa fidélité au pouvoir civil est totale et c’est ainsi que fonctionne une démocratie libérale.
J’entends aussi qu’il faudrait se lancer dans un vaste projet de remigration, avec pour arguments quelques exemples de l’Histoire. Exode des Pieds-noirs, expulsion des travailleurs étrangers en Arabie, quand ce n’est pas l’exemple des Rohingyas chassés de Birmanie.
Mais ceux qui proposent cette solution radicale font l’impasse sur plusieurs points.
Autant le Grand Remplacement est une indéniable réalité, autant la remigration est un leurre.
Le départ négocié est une douce illusion. 90 % des jeunes Maghrébins et Africains rêvent de l’eldorado français pour sortir de la misère. Quel immigré gavé de social en France serait assez fou pour retourner crever de faim dans son pays ?
Reste la manière forte. Expulsion à la saoudienne.
Facile à dire, mais la plupart de nos immigrés sont Français ou binationaux.
On n’expulse pas des Français.
Il faudrait donc supprimer au préalable la binationalité pour expulser les étrangers et les binationaux qui auraient accepté la déchéance de la nationalité française. Combien ? Mystère.
Reste que le gouvernement n’arrive pas à expulser les clandestins et les déboutés du droit d’asile, qui se fondent dans la clandestinité pour 95 % d’entre eux.
Expulser quelques millions d’étrangers est un chantier titanesque sans la coopération des pays d’accueil qui se garderont bien de nous prêter main-forte.
S’ils nous ferment les aéroports et les ports, je vois mal comment nous pourrions expulser des millions d’étrangers.
Départ volontaire ou prison, diront certains. Mais avec nos 60 000 places de prison, saturées au point que 100 000 peines de prison ne sont pas effectuées, on voit mal comment emprisonner des millions d’étrangers.
Reste la réservation du social aux seuls Français. Solution possible, mais avec des effets inconnus chez les millions de bénéficiaires qui se verront privés de la manne sociale du jour au lendemain.
Quant à envisager la méthode musclée de “la valise ou le cercueil”, c’est une solution qui n’est pas crédible dans une démocratie en paix et qui ne pourrait voir le jour qu’en cas de guerre civile. Autant dire que dans ce cas, plus grand-chose ne serait maîtrisable dans le pays.
Je ne crois donc pas à ces solutions expéditives, même si la France est en grand danger.
La solution passe, à mon humble avis, par les urnes, donc par le peuple.
Car si nous en sommes là, une situation dramatique qui annonce des lendemains tragiques si rien ne change, c’est que le peuple en a décidé ainsi. Il est fautif.
En votant pendant 40 ans pour des immigrationnistes, il a creusé sa propre tombe et surtout celle de ses enfants, ce qui est beaucoup plus tragique.
La survie de la France passe d’abord par les élections, en plaçant au pouvoir un Orban ou un Salvini, bien décidé à stopper l’invasion et à restaurer l’autorité de l’État dans tout le pays. Il nous faut un populiste pur et dur, capable de décider contre l’avis de Bruxelles.
Fermeture des frontières.
Suppression de la double nationalité.
Suppression du regroupement familial.
Suppression du droit du sol.
Arrêt des naturalisations en chaîne.
Interdiction de régulariser un clandestin.
Réservation du social aux seuls Français.
Responsabilité pénale abaissée à 14 ans.
Suppression des allocations aux familles de mineurs délinquants.
Suppression du social aux majeurs délinquants après exécution de leur peine.
Tolérance zéro et restauration de l’autorité des policiers, des profs, etc.
Il est évident que ces mesures vont à l’encontre de l’idéologie mondialiste de l’UE.
Soit nous avons un leader à poigne, comme Orban, qui nous rend notre souveraineté nationale, soit nous devrons quitter l’Europe.
En conclusion, il n’y a que deux solutions.
Soit se résigner au laisser-faire actuel qui va mener à la désintégration du pays, avec des lendemains tragiques.
Soit se décider enfin à éjecter par les urnes les immigrationnistes fossoyeurs de la nation qui veulent nous imposer une impossible société multiculturelle.
Et en admettant que le peuple français se réveille pour défendre son identité et l’avenir de ses enfants, ce qui n’est pas acquis, loin s’en faut, les années qui viennent seront de toute façon très difficiles, voire tragiques, compte tenu des mesures radicales qu’il faudra imposer pour reprendre le contrôle de la situation.
Aveuglement du peuple et trahison des élus pendant 40 années ont mené le pays au bord du gouffre. Faire machine arrière ne se fera pas dans la douceur, ne nous faisons aucune illusion.
C’est d’ailleurs bien le message de départ qu’a transmis Gérard Collomb à son successeur. Et qui connaît mieux que lui la situation explosive des quartiers immigrés ?