Castaner à l’Intérieur : la nouvelle pantalonnade de Jupiter !

Boulevard Voltaire – 16 octobre 2018

Policiers et gendarmes attendaient, sans grandes illusions il est vrai, la nomination du ministre de l’Intérieur. Après dix jours de tergiversations, les voilà renseignés. Ils auront Castaner place Bauveau et, auprès de ce dernier, Laurent Nuñez comme secrétaire d’État. Autant dire, selon la formule consacrée, que la montagne accouche d’une souris.

En effet, après l’épisode Collomb, qui au grand dam des syndicats de police est parti sans avoir finalisé les dossiers dont il avait la charge, l’Élysée persiste et signe en promouvant un fidèle des fidèles de la Macronie. Loin de se préoccuper de la sécurité des Français, c’est donc la loyauté que l’on récompense, mais surtout toute velléité de contestation que l’on place sous contrôle.

Le message est donc clair : « On fait comme avant. » Cependant, ces deux nominations à des postes clefs de la République sont riches d’enseignements.

Tout d’abord, il devient évident que l’objectif du néo-ministre de l’Intérieur sera bien les prochaines échéances électorales. Politique averti, même si à géométrie variable, l’ancien secrétaire général d’En Marche ! va devoir contourner les mauvais sondages pour mettre le parti présidentiel en situation de limiter la casse lors des prochaines élections européennes, mais surtout lors des municipales. Et il est vrai que qui contrôle la Place Bauveau contrôle les élections. Dans ce contexte, il apparaît donc que le terrorisme, la criminalité, le mécontentement des élus de terrain et du corps social dans son ensemble pèsent peu face aux obligations de résultats que Jupiter aura fixées à l’ancien socialiste fort opportunément converti au macronisme.

Ensuite, la nomination d’un secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur (décision pas vraiment novatrice) aurait pu être l’occasion d’un signe fort en direction de ceux qui travaillent au quotidien à notre sécurité. Mais, là encore, l’intention est évidente : pas question de satisfaire une administration (la police) qui a osé, lors de l’affaire Benalla, défier Sa Majesté élyséenne. C’est donc un pur technocrate qui sera chargé de traiter avec les policiers. Énarque, récemment encore en charge de la Direction générale du renseignement intérieur, pur produit du corps préfectoral, Laurent Nuñez va devoir reprendre les dossiers laissés par Collomb et faire face aux graves problèmes qui touchent actuellement nos services de sécurité.

Une fois encore, nous sommes donc loin des nominations et des mesures qui auraient été nécessaires pour rétablir la paix publique dans notre pays. En choisissant de confier la paix intérieure de la France à deux « amateurs », Macron indique sans ambages que la problématique sécuritaire que connaît notre pays ne l’intéresse pas et que ses priorités sont ailleurs. À vrai dire, il y a déjà quelque temps que policiers et gendarmes s’en doutaient un peu.

Il y donc fort à parier que la situation va continuer à se dégrader lourdement. Confrontées à des politiques qui ne connaissent rien de leurs difficultés et qui ne nourrissent aucune considération pour eux, les forces de l’ordre vont devoir attendre et composer avec un pouvoir qui s’avère être pire encore que le précédent.

Certes, l’ère Hollande ne leur avait pas apporté grand-chose mais, au moins, avaient-ils un ministre qui faisait illusion. Aujourd’hui, l’illusion n’y est même plus. Dans ce contexte, et dans l’attente toujours repoussée de l’homme providentiel, inutile de dire que des jours sombres attendent nos gendarmes et nos policiers.





Castaner, un charlot à l’Intérieur !

Publié le 16 octobre 2018 – par Alain Lussay (Riposte Laïque)

On serait mort de rire, si ce n’était pas aussi pathétique !

Macron, le roi qui délire, vient de nous sortir de son chapeau son charlot pour l’Intérieur.

Alors comment ce charlot, qui pense comme son maître que l’islam est « religion de paix et d’amour et de tolérance », peut-il diriger un ministère dont les troupes sont quotidiennement confrontées à l’idéologie totalitaire coranique qui met en pièces les lois de la République laïque ?

Et comment pourrions-nous ne pas craindre que le roi et son charlot ne préparent la mise au rebut de la loi de 1905 ?

On se croirait revenu quinze mois en arrière, quand il avait nommé Castaner porte-parole du gouvernement.

https://ripostelaique.com/le-castaniais-nouveau-est-arrive-de-la-piquette.html

On s’était déjà posé la question de savoir si Castaner était juste un crétin et s’il avait parlé en son nom ou en tant que porte-casseroles du gouvernement Macron quand il déclarait : « cessons de parler d’État islamique, ils trahissent la religion qu’ils prétendent servir. Ce sont juste des assassins » ?

En parlant en son nom, on avait compris que Castaner n’avait pas lu le Coran, rejoignant ainsi l’impressionnante cohorte des idiots utiles de l’islam.
Et en tant que porte-parole, on avait craint le pire de ce gouvernement d’islamo-collabos en marche comme jamais pour l’islamisation de la France.

Des traîtres à la Nation. Pour déréguler la loi de 1905. Pour flinguer la laïcité.

Quinze mois plus tard, on y arrive.

Alors Macron et son charlot à l’Intérieur vont-ils continuer à refuser de nommer le problème ?

Macron et Castaner vont-ils continuer à favoriser le communautarisme ?

Macron et Castaner vont-ils comprendre que l’idée du jihad est aussi vieille que l’islam ?

Macron et son charlot Castaner se rendent-ils compte que la République française est face à l’islam conquérant en marche ?

https://ripostelaique.com/castaner-a-la-place-de-collomb-a-linterieur-les-musulmans-en-revent.html

https://ripostelaique.com/castaner-a-beauvau-un-casus-belli-pour-larmee-francaise.html

https://ripostelaique.com/castaner-a-beauvau-pour-inaugurer-les-mosquees-il-serait-parfait.html





« Inch’allah ». Deux journalistes du Monde l’affirment : «Oui, l’islamisation est à l’œuvre en Seine-Saint-Denis»

« Marianne » a lu « Inch’allah », l’enquête dirigée par les journalistes du « Monde », Gérard Davet et Fabrice Lhomme, sur la progression en Seine-Saint-Denis d’un islam en rupture avec la société française. Un livre rigoureux, mais qui documente une réalité sur laquelle de nombreux témoins lancent l’alerte depuis longtemps.

Dans ce département où, selon les estimations officieuses, une bonne moitié de la population est musulmane, une contre-société s’installe, avec ses codes et ses valeurs propres, en rupture avec la République.

C’est un livre aussi passionnant qu’inquiétant. Pendant près d’un an, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, enquêteurs connus et reconnus du Monde, ont dirigé cinq étudiants en journalisme qui ont arpenté la Seine-Saint-Denis. Leur mission : déceler les traces concrètes de l’islamisation du département le plus pauvre de France, un sujet qui «se prête à tous les raccourcis, à tous les amalgames» et qui «effraye les tenants du politiquement correct», comme l’admettent volontiers Davet et Lhomme. L’initiative est partie de l’une des confidences retentissantes de François Hollande aux deux journalistes dans Un président ne devrait pas dire ça : «Qu’il y ait un problème avec l’islam, c’est vrai. Nul n’en doute.»

Saluons-le d’emblée : l’enquête est remarquable par son contenu et sa rigueur, servie par une galerie d’acteurs et de témoins qui ont accepté de parler sans réclamer l’anonymat. De cette directrice d’école qui se bat face aux tentatives d’intrusion religieuse à cette gynécologue atterrée par l’obscurantisme de ses patientes, de ces élus qui se livrent à toutes les compromissions pour s’attirer les faveurs des électeurs musulmans à ce syndicaliste qui réclame des salles de prière dans les dépôts de la RATP, le tableau dressé est édifiant. auteurs l’écrivent d’ailleurs noir sur blanc : «Oui, l’islamisation est à l’œuvre en Seine-Saint-Denis». […]

Marianne





Weimar (All.) : 20 migrants ont agressé sexuellement une jeune femme, tabassé son ami venu l’aider et frappé les agents de sécurité lors d’une fête folklorique

Allemagne – Samedi soir, un incident grave est survenu durant un festival folklorique à Weimar au cours duquel même des agents de sécurité ont été blessés.

Lors de la fête populaire de Weimar, plusieurs hommes ont harcelé une jeune femme (20 ans) le soir. Selon la police, ils l’ont agrippée et l’ont agressée sexuellement Lorsque l’ami de la victime (26 ans) est venu la secourir, il a été pris à partie et tabassé par les jeunes agresseurs.

Des agents de sécurité ont essayé d’intervenir et ont été à leur tour attaqués et légèrement blessés. Selon la police, le groupe d’agresseurs comptait une vingtaine d’individus.

Pour le moment, quatre suspects ont été interpellés par la police : trois Syriens et un Irakien.

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