Samedi dernier, ici même, je disais mon inquiétude et mon exaspération face aux excès et aux délits causés par les mariages arabes dans ma ville du sud-ouest. Hier, toujours dans ma ville, ce fut le même scénario, un cran au-dessus : klaxons, pneus qui crissent, drapeaux algériens, rodéos en ville, en mode crescendo. Mais il n’a pas fallu une semaine pour que ces excès montent de deux crans et prennent un tour qui était prévisible : un mort tué au couteau, hier, à Albi, dans le quartier de Lapanousse.
Donc hier, samedi 13 octobre, comme tous les samedis dans de très nombreuses villes moyennes du sud-ouest et d’ailleurs, Albi, et sa si belle cathédrale Sainte-Cécile, toute inquiète et excédée dans son silence de forteresse, observent de haut les rodéos, les convois bruyants, les cris échappant des voitures de ce mariage musulman. Selon France bleu Occitanie, la fête très bruyante, déjà insupportable sur la voie publique et autour de la mairie, se poursuit tout aussi bruyamment dans le quartier de Lapanousse. Sauf qu’un groupe rival, du quartier Cantepau, a été dérangé par ce tapage : des jeunes sont arrivés sur le lieu de la fête avec des battes de base-ball et des armes blanches. Une rixe a alors éclaté entre les membres des deux bandes rivales, un jeune homme de 20 ans a été poignardé. Il est décédé dans la soirée. Et des CRS ont été déployés pour assurer le retour au calm
Voilà où nous en sommes : ce que le Français moyen est tenu de subir sans broncher, les communautés elles-mêmes, selon leur humeur, ne le supportent même pas et n’arrivent pas à vivre côte-à-côte !
Alors que faudra-t-il encore à nos édiles, à nos gouvernants, à notre ministre de l’Intérieur -quand Jupiter et sa start-up nous en auront trouvé un…- pour agir, sévir, interdire ces drapeaux, ces couteaux, ces coutumes mortifères (au sens propre) des mariages du samedi après-midi ?