Publié le 23 août 2019 – par Manuel Gomez
Le « Parisien », je le confirme puisqu’il se nomme Bamba E., a été appréhendé mercredi à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne). Il s’agit de cette racaille qui a tué d’un coup de pistolet le serveur de restaurant, à Saint-Denis, dans le 93, qui n’avait pas été assez rapide pour lui préparer son sandwich, cinq jours plus tôt, le vendredi 16 dans la soirée.
Cela s’est passé en France, près de chez vous, pays où les armes à feu sont interdites à la vente. Mais interdite à la vente pour qui ? Par pour les voyous, les dealers, les délinquants, les islamistes, mais uniquement pour les citoyens honnêtes afin qu’ils n’aient pas le droit de se protéger, de protéger leur vie, celle de leur famille ou leurs biens, où encore de protéger la victime d’une agression, d’un viol.
La cavale de ce « Parisien » n’aura duré que cinq jours mais, dorénavant, et après sa condamnation, ses sandwichs lui seront servis à heure fixe, payés par nous, là où il résidera pour quelques années !
*À Saint-Laurent-d’Aigouze (30), un jeune homme du village a été violemment agressé par une dizaine d’individus, au cours de la soirée du mardi 20 au mercredi 21 août, alors que se déroulait la fête traditionnelle.
Frappé et roué de coups, son état a nécessité une prise en charge par le CHU de Nîmes.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie.
*À Grenoble, une des villes vedettes de cette rubrique, avec Marseille, Toulouse, Nantes, Rennes, Montpellier, les départements du Nord et sans omettre la périphérie parisienne, son 93 et son Val-de- Marne, est encore à la « Une » de l’actualité des faits divers quotidiens.
Un homme âgé de 40 ans rejoignait son domicile, en compagnie d’un ami, à la fin d’une soirée, lorsqu’il a été violemment agressé à coups de couteau et se trouve actuellement dans un état désespéré.
*Le gérant du « Café de la Place », en plein centre-ville de Saint-Denis, dans le 93, lui n’est pas dans un état désespéré, il est mort tout simplement.
Il était minuit trente, dans la nuit de mardi à mercredi, lorsque deux individus, en état d’ivresse avancée, pénètrent dans son établissement.
Il refuse de les servir, comme la loi l’y oblige et les raccompagne jusque sur le trottoir.
C’est là que l’un des deux individus lui assène un violent coup de poing.
Le gérant, âgé de 66 ans, tombe sur le sol, se relève et va s’effondrer à l’intérieur du café.
Sa mort a été constatée une demi-heure plus tard.
L’auteur du coup meurtrier a été appréhendé mercredi en début d’après-midi mais hospitalisé. Sa garde à vue a été reportée.
Rappelons que dans ce même département français, le 93, un serveur avait été abattu d’un tir de pistolet quelques jours plus tôt et appréhendé, comme nous le signalons en début d’article.
*À Nantes (Loire-Atlantique), condamné à huit mois de prison ferme pour avoir blessé au visage, à l’aide d’un objet métallique, un commissaire de police dans l’exercice de ses fonctions, lors d’une manifestation, il ressort libre du tribunal, sa peine étant aménageable.
Il s’agit, paraît-il, d’un « Nazairéen » âgé de 44 ans, SDF, qui, justement, manifestait le 3 août dernier lors d’un rassemblement « contre les violences policières ».
Identifié grâce aux images de vidéosurveillance, il est également interdit de manifestation durant les trois prochaines années, à Nantes.
*Avignon (Vaucluse) – une conductrice, qui rentrait chez elle après avoir terminé sa garde de nuit, a été violemment agressée par le conducteur d’une BMW à qui elle avait fait des appels de phare parce qu’il zigzaguait.
Cela s’est passé samedi dernier, route de Montfavet.
Le conducteur de la BM, Zine-Eddine Rouabhia, âgé de 23 ans et déjà bien connu des services de police pour une douzaine d’infractions pour trafic de stupéfiants, conduite sans permis et alcoolisé, comportement violent envers les forces de l’ordre, etc. a expliqué au magistrat qu’il sortait de discothèque, qu’il avait bu de la vodka et fumé du cannabis toute la soirée. Selon lui il s’agissait sans doute de circonstances atténuantes.
Il est sorti de son véhicule, a ouvert la portière de la victime, la traitant de « sale pute ! », avant de la frapper et de lui lancer : « Je vais te violer, je vais te pisser dessus ».
Un automobiliste, qui s’est porté au secours de cette jeune femme qui rentrait à son domicile pour rejoindre ses enfants, après son travail de nuit et qui était complètement traumatisée, a également été frappé devant sa femme enceinte, qui était restée dans la voiture, fort heureusement.
Cette racaille a été condamnée à trente mois de prison ferme et son permis, qui lui avait été rendu trois mois plus tôt, annulé.
Il devra indemniser sa victime par une amende de 2 000 euros, mais qu’elle ne compte pas trop dessus !
Durant ces trente mois, à part sa BMW, il bénéficiera d’un confort total, bien plus « chouchouté » que nombre de nos « anciens » dans des Ehpad hors de prix, condamnés à perpétuité, jusqu’à ce que mort s’ensuive !