Publié le 8 février 2019 – par Geronimo (Riposte Laïque)
Dans le journal hautement intellectuel Ouest-France, daté du 07/02/19, un article particulièrement insupportable a retenu mon attention. Il fait l’état de la présence de « mineurs non accompagnés », les MNA comme on dit, sur la ville de Rennes.
L’éminent président du département, le socialiste Jean-Luc Chenut, les estime à environ 600. En fait ils sont plus près de 700, voire 800. Aucune mention de l’origine bien sûr.
Ces « pauvres enfants » arrivent en fait d’Albanie, du Maroc, de Tunisie, d’Algérie, de l’Érythrée, du Soudan, du Pakistan, d’Afghanistan, de Libye pour certains, et de Syrie soi-disant pour d’autres. Bref comme on peut le voir, que des pays en guerre, ce qui justifie leur présence chez nous, et ce qui justifie qu’on les prenne en charge à 100 %, les pauvres biquets.
Eh oui, car le budget alloué au bien-être de ces « parasites » est de 20 millions d’euros, 22 millions si on compte les charges de fonctionnement.
Résumons-nous : 20 millions d’euros divisés par 600 (on prend le chiffre connu d’accord…) ça nous fait 33 333 euros par tête de pipe et par an.
En gros, c’est comme si on donnait un salaire de 3 000 euro à chacun des ces « gosses », qui n’ont pas le droit d’être sur notre territoire car ils y sont arrivés clandestinement, qui ne produisent rien, qui n’ont aucun papier, dont on ne peut déterminer ni l’âge ni la véracité de l’origine, qui sont illettrés, asociaux, pluritoxicomanes (médicament, alcool, shit pour la plupart) qui sont TOUS musulmans, et qui, cerise sur le gâteau, passent leur soirées à voler, cambrioler, dealer et agresser les noctambules…
Vous voyez le tableau. En plus dans son boboïsme et son droitdel’hommisme constant, la ville de Rennes a placé une partie des ces « pauvres chéris », dans une ancienne caserne de gendarmerie, placée en plein centre-ville, et devant l’entrée d’un des plus beaux parcs de France. Cette caserne, entièrement refaite à neuf pour les accueillir, est aujourd’hui dans un état déplorable. Ben oui, ces « pauvres choupinets » qui n’ont pas les bons codes de conduite cassent tout (portes, cloisons, télés, tables, WC, douches, dès qu’ils ont une frustration.
Et bien sur leurs merveilleux éducateurs (dont le salaire rentre dans les 2 millions de frais de fonctionnement) se planquent dans leur bureau dès que leurs protégés se tapent dessus. Car, bien sûr, ces ethnies, bien que musulmanes et dont tous les membres sont frères et font partie de la grande oumma, se tapent allègrement sur la courge au moindre désaccord, et se tailladent à coups de couteau (bon ça c’est culturel, on ne peut rien dire).
Les Albanais attaquent les Arabes, les Pakistanais attaquent les Afghans, les Africains se fritent avec les Arabes et les Albanais, etc. On peut mixer dans tous les sens, en plus de nous détester, ils se détestent entre eux.
Mais il faut voir comment ils sont choyés, ces braves enfants. Le matin, le petit déjeuner, servi à profusion, est digne des grands hôtels ; on y trouve céréales, fruits frais, jus d’orange, lait, thé, viennoiseries. Bref, tout ce que bien des enfants d’autochtones n’ont pas sur leur table, à cause des salaires de misère de leur parents.
Le plus sidérant dans cet article, c’est que sans aucune honte, le président du département déclare qu’il n’appliquera pas la loi visant à ficher ces pauvres enfants, car il estime que ce n’est pas de son ressort. C’est l’État qui doit faire ça. Bref, c’est Ponce Pilate. Comme tout bon socialiste, il balance l’affaire aux autres et préfère continuer à utiliser l’argent des contribuables pour protéger ces bibelots.
Car, ces petits chéris-là sont responsables de plus de 80 % des délits commis dans la ville, notamment les vols, les agressions et le deal de rue. Bien sûr, quand ils sont arrêtés, les braves juges bien compréhensifs sur leur détresse les remettent aussitôt dehors. Et il est bien difficile de pouvoir faire des tests osseux pour déterminer leur âge, parce que même les médecins refusent de « collaborer », comme ils disent, pour certains.
Donc ces ces individus inassimilables ont de beaux jours de truanderie devant eux. Ils trouveront facilement chez les cas sociaux et les jeunes filles bien-pensantes gauchistes de Rennes, un ventre fécond qui leur assurera une progéniture française, dont il ne s’occuperont pas, mais qui leur donnera des papiers. Et la vie est belle.
C’est ainsi à Rennes… Et c’est comme ça partout.
Vivement le mois de mai, qu’on voit si oui ou non les Français sont des veaux, si les choses restent comme elles sont, alors tant pis pour nous tous, et pour nos enfants.
Hugh !!!