Macron et Le Maire ont liquidé l’imprimerie qui fabriquait nos passeports, cartes grises… et billets !

L’imprimerie Arjowiggins, de Crèvecoeur (cela ne s’invente pas) près de Jouy sur Morain   (Seine et Marne), est en liquidation judiciaire. Un savoir-faire de 400 ans rayé d’un trait de plume par Bruno Le Maire… Notre patrimoine qui part en fumée, les ouvriers désespérés qui brûlent les rouleaux de papier à filigrane, les machines qui vont être vendues à l’étranger ou en Europe, les détenteurs d’un savoir unique qui vont se retrouver au chômage…

Et c’est un drame pour les 240 ouvriers,  et les 500 autres emplois dépendant de l’imprimerie dans la région.

Mais c’est aussi un drame national puisque c’est de là que sortait le papier pour vos passeports, vos cartes grises… papier hautement sécurisé, anti-fraude. Et liquidation d’autant plus incompréhensible qu’il y avait, qu’il y a des clients assurés, le renouvellement de passeports, cartes grises etc. étant un puits sans fond. Le carnet de commandes était plein. D’autant que cette imprimerie fabrique le papier des billets pour pas mal d’autres pays ! Le papier monnaie  pour les billets d’Arabie saoudite et d’Israël, par exemple, sortait de Crèvecoeur !

Dorénavant vos cartes grises seront… fausses puisque imprimées sur du vrai-faux papier, sans la filigrane historique. Et tellement faciles à imiter, histoire de nous voir noyés sous de faux passeports dorénavant fabriqués à l’étranger, en Espagne, par exemple !

Ce papier  qui disparaît, c’est du papier très sensible, et la sécurité était intense, dans cette imprimerie, proche de la défense militaire. D’ailleurs, on n’entre pas dans cette imprimerie comme dans un moulin… il y a du grillage partout, c’est comme des installations militaires. Installation proche de l’installation d’une centrale nucléaire…

Pour Pierre Jovanovic, interrogé dans la video ci-dessous par Martial Bild, ce n’est pas un hasard si ils ont coulé cette imprimerie, elle  avait tout ce qu’il fallait pour imprimer, aussi, les nouveaux francs si la France décidait de sortir de la zone euro. Pour Jovanovic, en liquidant cette imprimerie, on supprime à la France toute possibilité de revenir en arrière. Je ne vois pas, comme Jovanovic, de rapport avec les européennes ; même si Macron subissait une défaite cuisante aux élections de mai prochain, cela ne changerait rien, il serait toujours Président jusqu’en 2022, et cela n’amènerait en rien une sortie de la France de l’UE. Ce sont deux choses différentes. Mais il n’a pas tort sur le fond. La montée des populistes les inquiète tant qu’ils sont capables de pratiquer la politique de la terre brûlée préventivement, pour compliquer toute sortie de l’euro, dans 3 mois, 3 ans ou plus tard. Macron en est capable. Cela fait partie de ses obsessions, supprimer toute possibilité de sortir de l’UE et de l’euro.

Pierre Jovanovic nous fait remarquer une anomalie criante. Cette imprimerie, d’intérêt public s’il en est,  n’a jamais été nationalisée  ! Au contraire,. Elle appartenait au groupe Sequana ( banque Worms) qui l’avait vendue à un fonds d’investissement suisse qui avait promis d’investir, de mettre plusieurs millions d’euros sur la table, euros qui ne sont jamais arrivés… Or, l’Etat était devenu actionnaire majoritaire dans la banque Worms en 2012…

La liquidation judiciaire a été délibérément et formellement organisée par l’Etat français, par Bruno Le Maire, ministre de l’Economie de Macron…. une liquidation décidée et actée en 5 minutes. Du jamais vu de mémoire d’homme… Une liquidation, comme le rappelle Jovanovic, ça dure, on temporise, on commence de licencier, de chercher des solutions, ça peut durer des mois, voire des années. Dans le cas qui nous occupe, 5 minutes.  Et que les services sociaux s’occupent des employés mis à la rue. Les caisses de l’imprimerie ont été soigneusement vidées avant que la liquidation soit annoncée…

L’Etat va donc dorénavant acheter à l’étranger le papier nécessaire pour les passeports, les cartes grises, etc. Le grand dépeçage… pendant que la presse s’occupe de l’affaire Benalla.

Macron-Le Maire se gobergent, ils boivent le champagne, on va dorénavant faire imprimer à l’étranger nos passeports qui ne seront plus sécurisés de la même façon, il sera encore plus facile de s’en procurer, de les vendre, de les distribuer…

Comme le dit Jovanovic c’est ce qu’ils veulent. Plus de souveraineté du tout ! Monsieur Bruno Le Maire a du sang… social sur les mains. Moi je dirais qu’ils ont Macron et lui – et toute la clique- le sang de la France sur les mains.

C’est une déclaration de guerre supplémentaire de Macron aux Français, à la France.

Merci à Marcher sur des oeufs qui nous a signalé cette video très importante à faire connaître autour de vous. Informez les Gilets Jaunes, entre autres… ce n’est pas le moment de baisser les bras !

Macron offre trois dissolutions « d’extrême droite » au Crif, mais pas touche à l’islam !

Publié le 21 février 2019 – par Martin Moisan (Riposte Laïque)



Nous sommes dans la continuité. La mascarade de la manifestation de lundi soir se poursuit, avec le fameux dîner du Crif, auquel tous les politicards corrompus et l’establishment se soumettent chaque année.

Lundi, les pompiers pyromanes essayaient de faire croire qu’ils allaient lutter contre l’antisémitisme, sans nommer une seule fois l’islam, et pas même l’islam radical, concentrant leur tir sur une prétendue extrême droite.

Pourtant, Gilles-William Goldnadel, Éric Zemmour, Marine Le Pen ou Nicolas Dupont-Aignan avaient, depuis l’agression d’Alain Finkielkraut, dénoncé cette imposture. Mais les islamo-collabos, Crif en tête, continuent leur sale besogne.

Et donc chacun attendait le discours de Macron, hier soir, devant ceux que notre ami Charles Dalger appelle les Crifards. Rappelons d’abord, en cette période où on nous raconte que les Gilets jaunes réclament de trop, ce que coûte ce dîner aux contribuables français… et ce qu’il rapporte au Crif !

https://ripostelaique.com/le-diner-du-crif-800-invites-900-euros-par-tete-de-pipe-cela-fait-720-000-euros-la-soiree.html

Macron fut égal à lui-même, c’est-à-dire nul, avec un discours de collabo nuisible.

D’abord, il annonça qu’il allait mettre en place une définition de l’antisionisme et de l’antisémitisme, et qu’il allait légiférer là-dessus ! Charmant, encore une loi de plus, qui va s’ajouter à :

– lois contre les fake news,
– lois contre les discours de haine
– lois mémorielle (Gayssot, Taubira)
– lois pour lutter contre la haine en supprimant l’anonymat sur le web (en préparation)
– la commission de lutte contre les violences d’extrême-droite
– les Antifas qui viennent perturber tout ce qui est un poil trop de droite à leur goût
– les islamistes qui égorgent ceux qui critiquent l’islam, le prophète, la oumma
– les journalistes qui bossent pour leur patron mondialiste
– les multinationales qui lavent le cerveau grâce aux pubs
– les associations qui bossent pour Soros
– l’usage des nassages, LDB40 et grenades Gli F4
– l’emprisonnement préventif des opposants politiques.

Et apparemment, ils réfléchissent à interdire aux internautes condamnés pour incitation à la haine de pouvoir être présents sur les réseaux sociaux !

https://www.bfmtv.com/tech/contenus-haineux-vers-une-interdiction-de-reseaux-sociaux-pour-les-personnes-condamnees-1637119.html

Bien évidemment, quand on sait les parallèles fréquents qui sont effectués par la caste politique, entre l’antisémitisme et l’islamophobie, les musulmans sauront se saisir de cette loi liberticide et monstrueuse pour exiger d’avoir, à leur tour, comme ils le réclament depuis des décennies, une loi contre l’islamophobie.

Et ainsi, les islamo-collabos du Crif et de toute la nomenklatura juive auront, main dans la main avec les barbus, participé à briser à jamais notre liberté d’expression bien française.

Et dans la continuité de la politique de Manuel Valls, Macron, qui fut son ministre, annonça bien évidemment des dissolutions. Valls, après la mort de Clément Méric, ne prit aucune mesure contre les Antifas, milice du régime, qui étaient les agresseurs, par contre, il en profita pour dissoudre quatre groupuscules classés à l’extrême droite, dont Troisième Voie, les JNR, L’Œuvre Française. Et comme si cela ne suffisait pas, il fit fermer, en toute illégalité, le bar « Le Local » tenu par Serge Ayoub, donnant satisfaction à toute la gauche parisienne qui en réclamait la mise hors la loi depuis des années, sans qu’aucun incident ne vienne pourtant perturber le quartier.

Dans le même esprit, suite à la montée de l’antisémitisme, bien évidemment que Macron ne décida d’aucune dissolution d’association musulmane comme le CCIF, les Indigènes de la République, les Frères musulmans ou toutes les officines qui en dépendent en France. Cela tombait bien, les Crifards ne demandaient pas ces sanctions. Macron ne prit aucune décision contre les associations islamo-gauchistes, qui, main dans la main avec les musulmans, distillent un climat antisémite en France, avec l’alibi de l’antisionisme. Cela tombait bien, les Crifards ne demandaient pas ces sanctions. Par contre, et on se demande encore pourquoi, il annonça, devant l’assemblée en extase, la dissolution de trois groupuscules classés à l’extrême droite, dont le plus connu était « Le Bastion social », et les deux autres Blood and Honour Hexagone et Combat 18.

Cela pose plusieurs questions. D’abord, à quoi sert la commission de Miss Goulag, alias Muriel Ressiguier, sur les violences liées à l’extrême droite, si, avant d’avoir entendu la moindre personne, le président de la République annonce trois dissolutions ? À moins que cela ne soit qu’un début ? D’autre part, le Bastion social et les deux autres associations dissoutes ont-il insulté, agressé ou tué des Juifs ? La réponse est non, puisque Gilles-William Goldnadel lui-même a reconnu que ce sont les islamistes qui, seuls, ont fait couler du sang juif sur le territoire français, depuis 1945. Se signalent-ils par des attaques récurrentes de mosquées ? Pas à notre connaissance. Aucun alibi n’est fourni par Macron, dans la même lignée que Valls, qui n’avait pas cru devoir expliquer le rapport entre la mort de Clément Méric (par ailleurs agresseur) et la dissolution des quatre groupuscules. Mais le Crif et son ineffable président, l’insignifiant Francis Kalifat, ne paraissait s’indigner de ces dissolutions, ni de l’impunité dont ont bénéficié les associations musulmanes et les islamo-gauchistes.

Et comme si cela ne suffisait pas, Macron annonça que la député Laetitia Avia (celle qui mord les chauffeurs de taxi qui osent lui demander de payer sa note) est chargée, au mois de mai, de faire une nouvelle loi contre internet.

Et tout le monde était content, tous les islamo-collabos présents, sous très haute protection – plus de 200 gendarmes et policiers avaient été mobilisés pour sécuriser le Carrousel du Louvre. Ils étaient tous là, les immigrationnistes collabos, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner, la garde des Sceaux Nicole Belloubet, les ex-Premiers ministres Manuel Valls (qui avait pris le temps de revenir en France) et Bernard Cazeneuve, la maire socialiste de Paris Anne Hidalgo, la présidente (Les Républicains) de la région Ile-de-France Valérie Pécresse, et Philippe Val, l’ancien directeur de Charlie Hebdo, qui recevait cette année le prix du Crif. Sans doute sa récompense pour avoir craché sur les Gilets jaunes, tout au long de ce conflit, et avoir qualifié ce mouvent « d’antisémite », rien de moins. Et certains voudraient que nous menions le combat contre l’islam avec une planche pourrie pareille ?

Hier soir, nous avons vu à l’œuvre, une fois de plus, la France des collabos et des traîtres, unis dans la guerre qu’ils mènent contre le peuple français, et décidés à nous faire taire pour imposer l’invasion migratoire et l’islamisation de notre pays.

Pensée pour Clemenceau…

14 milliards d’euros de fraude sociale, « souvent obtenue grâce à de faux documents d’identités étrangers »

C’est un sujet dont on parle peu et qui fait débat au Sénat: plusieurs hauts fonctionnaires s’alarment de la fraude sociale à la sécurité sociale qui s’élèverait à 14 milliards d’euros. Certains n’hésitent pas à parler de manquement de la part de l’Etat !*

Un sénateur du Val d’Oise (95) a fait un petit test: sur 2.500 allocataires du RSA, 900 étaient fraudeurs! Les explications d’Emmanuelle Ducros, journaliste à L’Opinion, dans une émission de Boursorama.