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°° WEBTUBE : Leur obstination devient de plus en plus grotesque face à la machine de guerre russe, en constante montée en puissance. Un entêtement qui peut mener au pire. Ils ont nié l’évidence, sous-estimé et moqué l’armée russe, promis aux Ukrainiens une victoire impossible. Ils ont menti et sciemment trompé les peuples européens. Ils ont affirmé que Poutine était mourant et que la Russie était isolée. Ils ont ajouté qu’elle n’avait plus de munitions au bout de deux mois. Ils ont vanté la suprématie de la doctrine otanienne face aux vielles tactiques soviétiques en retard d’une guerre. Ils ont cru ruiner la Russie en trois mois et ont parié sur une révolution de palais pour évincer le Tsar. Ils se sont trompés sur tout. Mais ils ne seront ni responsables ni coupables et n’endosseront jamais la responsabilité de l’hécatombe et du désastre de leur politique belliqueuse. Car leur arrogance est intacte.
Pendant que nos quatre guignols, Macron, Starmer, Merz et Tusk, trépignent de rage et veulent encore jouer les Rambo avec des stocks de munitions à zéro, Trump les lâche en rase campagne. Il ne veut plus de ce boulet ukrainien qui plombe son mandat et pourrait menacer les midterms de 2026. L’Ukraine n’est pas sa guerre, c’est celle de Biden et c’est lui qui la perdra !
Il ne s’associera donc pas aux nouveaux trains de sanctions concoctés par les Européens et les faucons américains en plein délire. Le sénateur républicain Lindsey Graham, qui mange du Russe à tous les repas, peut aller se rhabiller avec ses 500 % de taxes infligés aux pays qui commercent avec la Russie. Comme si Xi-Jinping et le Sud global allaient se plier aux menaces d’un illuminé, qui n’a jamais refermé son petit manuel antirusse de la guerre froide.
Lindsey Graham ignore sans doute qu’avec 20 % des ressources minières de la planète, une agriculture et une industrie largement dimensionnées et un territoire vaste comme deux fois les États-Unis, le peuple russe peut vivre en autarcie durant des années. Il a le mental pour cela, à 180° de cet Occident avachi et décadent, rongé par la drogue et ramolli par le rejet des valeurs conservatrices qui font la force des nations depuis la nuit des temps, à commencer par la famille traditionnelle. Des citoyens de la trempe des Poilus, il n’y en a plus en Europe.
Le discours belliqueux de nos va-t-en-guerre est donc construit sur du sable. Aucun Européen ne veut une guerre contre les Russes. Ruinée et désarmée, l’Europe est incapable de rivaliser avec la Russie, dont l’industrie de l’armement est au top et qui ne connaît ni chômage ni dette. Le coût de la vie y est quatre fois moindre qu’en Europe. Toute guerre serait perdue d’avance. Inutile donc de jouer les aboyeurs, en se croyant bien à l’abri sous l’aile de l’Oncle Sam.
Quand les 61 milliards d’aide à l’Ukraine votés par Biden seront épuisés, la source américaine sera tarie. Trump a compris que les 400 milliards de dollars fournis à Kiev n’ont servi à rien. Non seulement Poutine a gagné la guerre mais 100 milliards se sont volatilisés, détournés par la clique kiévienne et quelques complices occidentaux.
Mais Macron continue de brailler : “La Russie ne peut pas et ne doit pas gagner”.
Les Européens récoltent ce qu’ils ont semé, alimentant la guerre par des mensonges quotidiens et entretenant une russophobie indigne d’un continent qui se veut le berceau de la démocratie et des droits de l’homme. Tout, depuis trois ans, n’a été que mensonge et trahison pour tromper le peuple. Mais l’heure de vérité approche.
Trump le sait et il le dit : « La Russie a déjà gagné la guerre ».
En fait, Poutine avait gagné dès le printemps 2022 puisque les accords d’Istanbul mettaient fin au conflit. Mais Zelensky a cédé au discours antirusse de Boris Johnson, qui lui a promis la victoire avec le soutien de l’Otan. Le résultat de l’agressive politique otanienne, le voici.
Au 24 mai 2025, les pertes estimées par l’historien militaire Marc Legrand sont :
Estimations des pertes militaires (24/05) – RUSSIE : 63 000 tués, 163 900 blessés (dont graves : 15 %) ; UKRAINE : 820 000 tués, 890 000 blessés (dont graves : 67 %) +7 400 mercenaires OTAN tués. SOURCES croisées confidentielles : FR/OTAN/RUS/UKR/US.
Le potentiel mobilisable en Russie est de 14 millions de soldats supplémentaires contre seulement 2 millions encore mobilisables en Ukraine.
Par conséquent, l’Ukraine ne pourra jamais gagner cette guerre. Macron le sait et il ment.
Mais revenons sur un excellent article qui remet les pendules à l’heure et rappelle la politique agressive et russophobe de Kiev, qui a poussé Poutine à lancer son opération spéciale.
Une guerre du Donbass qui a fait 15 000 morts entre 2014 et 2022, rappelons-le.
Macron et sa clique défendent un régime pourri et mentent à leur peuple.
Benoit Paré fut observateur à l’OSCE et témoigne des réalités qu’il a vécues et que l’Occident met sous le tapis, pour mieux diaboliser Poutine et vénérer le Churchill ukrainien.
Il fut chargé de surveiller le cessez-le-feu dans le Donbass, où il a recueilli des témoignages accablants, à 180° du discours otanien qui blanchit systématiquement Zelensky pour justifier la croisade occidentale antirusse.
« Son rôle consistait à collecter des informations sur les incidents de manière impartiale, à surveiller le respect des droits de l’homme et à faciliter le dialogue sur le terrain. »
« Il a noté que 70 % des violations du cessez-le-feu étaient commises par l’armée ukrainienne, mais que ces informations étaient souvent dissimulées par l’OSCE. Paré a également dénoncé les procès montés de toute pièce par les services de sécurité ukrainiens contre les citoyens pro-russes, impliquant des violences, des tortures et des demandes de rançon. »
Tous ces crimes de guerre ukrainiens ont largement été dénoncés pendant huit ans par Amnesty International, Human Rights Watch, la Croix Rouge ou l’ONU, mais depuis 2022, l’Ukraine est devenue un modèle de vertu pour nos salles de rédactions occidentales. Seul Poutine est un criminel de guerre qui mérite la CPI.
« Les Occidentaux ont volontairement ignoré les intérêts des populations russophones, contribuant à une escalade des tensions. Paré a critiqué la dérive néo-nazie de l’Ukraine, soutenant que l’Occident a favorisé cette tendance. »
C’est donc toute cette politique de persécution des russophones, parfaitement orchestrée par Kiev, qui a poussé le Tsar à voler au secours des populations opprimées du Donbass, qui appelaient Moscou à l’aide. Ces provocations de Kiev comprenaient des bombardements de zones civiles et des violations répétées du cessez-le-feu.
Toutes les guerre font l’objet de manipulations de l’opinion, mais pour l’UE, qui se gargarise avec ses valeurs humanistes, les mensonges et la propagande débordant de russophobie sont bien pires, car cette guerre n’est pas la nôtre. Elle a été voulue et préparée par les États-Unis.
« Paré a également évoqué les accords de Minsk, signés en 2014 et 2015, qui visaient à mettre fin au conflit dans le Donbass. Il a souligné que ces accords n’ont pas été respectés, en particulier par l’Ukraine. Les volets politiques et humanitaires des accords ont été particulièrement négligés, avec des retards dans la modification de la constitution ukrainienne et des violations continues des droits de l’homme. » Mais c’est Poutine que l’Europe accuse de ne pas les avoir respectés.
La conclusion de tout cela ?
Nos élites dirigeantes, soutenues par des médias vendus et sans éthique, nous ont conduits au désastre. Des centaines de milliards sont partis en fumée en pure perte. Des millions de morts, de blessés, d’estropiés, de veuves et d’orphelins, ont payé le prix de la folie de dirigeants sans foi ni loi, incapables de défendre la paix et de comprendre que LA GUERRE EST TOUJOURS LA PIRE DES SOLUTIONS.
Depuis des années, Poutine a réclamé à maintes reprises deux choses :
– le respect des accords de Minsk, accordant l’autonomie au Donbass
– des garanties de sécurité pour toute l’Europe
L’Occident lui a ri au nez, en enterrant les accords de Minsk et en armant l’Ukraine après le coup d’État de la CIA, qui a renversé en 2014 le régime pro-russe en place à Kiev.
Cette guerre est donc à mettre au seul passif de l’Occident, car elle pouvait être évitée en respectant les accords de Minsk et en construisant la paix avec Poutine.
Mais Washington voulait la peau de l’Ours russe depuis la fin de la guerre froide. Et cela, tout citoyen occidental devrait le savoir, si nous vivions dans une véritable démocratie, où la vérité n’est pas mise sous le tapis.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque