[Mère de trois enfants, Petra Paulsen est née en 1966 à Hambourg. Elle est mariée et vit au Schleswig-Holstein. Elle enseigne la biologie et la chimie.]
Elle a écrit une lettre pleine d’émotion à la chancelière fédérale Merkel qui fit le tour des journaux. Plus d’un million de personnes ont vu son message sur Youtube. C’est au plus tard depuis sa participation à l’émission « Comment va l’Allemagne » de la ZDF [chaîne publique] qu’un large public a appris à la connaître. […]
Lorsqu’un nombre incalculable de gens venant du Proche-Orient et d’Afrique du Nord ont soudainement afflué de façon incontrôlée en Allemagne à l’automne 2015, cette professeur de lycée s’est posé la question : « Mais que se passe-t-il donc ici ? » Elle s’est mise à la recherche de ce qui se cache derrière une évolution qui prend de plus en plus la forme d’un désastre, pour l’Allemagne comme pour l’Europe.
L’auteur a commencé à faire des recherches et à collecter des faits. Ce faisant, sa curiosité analytique a embrassé un vaste champ thématique : depuis les conséquences catastrophiques de l’immigration sur la sécurité intérieure en passant par la baisse de niveau de l’éducation et la déformation démographique et mentale de la société, jusqu’à la perte fatale de la conscience historique – mais surtout l’échec lourd de conséquences de la chancelière fédérale Merkel pour qui elle avait naguère voté.
[…] [Ce livre] est un signal d’alarme adressé à tous ceux qui ne comprennent pas ce qui est en train de se passer dans ce pays.
Source
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[Paulsen :] « De plus en plus de gens sentent que quelque chose ne va pas dans ce pays, même si l’on essaie de rendre tabou, de minimiser et de relativiser tout ce qui ressemble quelque peu à une critique et n’est pas dans la ligne de la politique gouvernementale. »
[…] elle est entrée cette semaine à la place 17 dans la liste des bestsellers du « Spiegel ». Mais en réalité on a malheureusement l’impression qu’elle aussi enfonce des portes ouvertes, et que de plus en plus de gens croient vraiment qu’on leur cache des vérités essentielles […]
(Traduction Fdesouche)
Tagesspiegel