Carcassonne : 3 morts sur ordonnance islamique, Macron-Collomb coupables !

Publié le 23 mars 2018 – par Jacques Guillemain dans “Riposte Laïque”

Les soldats de Daech ont encore frappé ! Des morts, des blessés.

Combien ? On attend le sinistre bilan de la prise d’otages dans le supermarché de Trèbes, petite ville de 5000 habitants proche de Carcassonne.
Trois morts et plusieurs blessés graves, dont le courageux Lieutenant Colonel de gendarmerie qui a pris la place d’un otage.

Le fou d’Allah abattu. Le juste prix de ses crimes.

Au moins, on ne verra pas d’avocat défendre l’indéfendable en invoquant un quelconque trouble psychiatrique pour innocenter un barbare.

Et 4 CRS ont été victimes d’une agression armée faisant un blessé. Agresser les forces de l’ordre, en 2018, c’est devenu la norme puisque la réponse pénale est quasi-inexistante. La norme, c’est l’impunité, y compris pour les multirécidivistes.

Remercions et félicitons nos forces de l’ordre, qui une fois de plus paient un lourd tribut au service de la nation.

Cela fait partie de notre lot quotidien du “vivre ensemble” que nous imposent nos élus totalement drogués à la religion du multiculturalisme, lequel va désintégrer la nation et transformer l’avenir de nos enfants en enfer.

250 morts et 800 blessés depuis 2015, la peur permanente pour le peuple français mis en danger de mort par le laxisme des autorités et de la justice, tel est le constat accablant que les citoyens font aujourd’hui.

Les fous d’Allah, fanatisés comme jamais, peuvent faire couler le sang n’importe où, n’importe quand.

Voilà le résultat de 40 années d’immigration extra-européenne, de lâcheté de nos dirigeants, de trahison de nos élites, qui ont tous détruit la France et dilapidé le fabuleux héritage des Trente Glorieuses.

Tous coupables. Tous ceux qui font l’opinion, tous ceux qui élaborent nos lois laxistes ou anti patriotes, tous ceux qui prêchent la richesse de l’immigration et du multiculturalisme, ne nous ont amené que mort et désolation.

Vous êtes tous coupables, les Macron, les Collomb, les intellectuels et tous les décideurs de ce pays, tous coupables d’avoir livré la France à la désintégration et le peuple français à la violence et à la mort.

Votre seule obsession, depuis des décennies et de légiférer pour faire taire la vérité, pour museler les patriotes qui sonnent le tocsin.

Mais les tueurs, vous les encouragez par vos lois iniques, par votre laxisme et vos renoncements permanents.

L’islam tue partout en Europe et vous ne savez que dire “pas d’amalgame”, “l’islam est une religion de paix et d’amour”.

Vous en connaissez beaucoup des religions qui prêchent le jihad contre les non croyants ? Vous en connaissez beaucoup des religions qui ont tué 250 victimes innocentes au nom de leur Dieu ?

Ce Coran, que le Pape a osé embrasser, vous en faites la promotion en clamant que l’islam est une religion de paix et d’amour, alors qu’il regorge de versets de haine anti chrétiens et anti juifs.

Depuis 30 ans vous vous êtes vautrés dans la lâcheté, les capitulations, les compromissions pour acheter votre tranquillité, quand ce n’est pas le bulletin de vote des musulmans.

Vous avez fermé les yeux sur les prières de rue, sur la non mixité dans les piscines, sur l’extension du halal, sur la polygamie, sur les mariages arrangés, sur les répudiations, sur les mariages religieux.

Vous avez bradé les banlieues aux barbus et aux caïds parce que vous avez peur.

Et aujourd’hui, ce sont les Français, les femmes, les enfants, qui paient le prix fort pour vos lâchetés.

Vous êtes indignes de gouverner.

Les islamistes partis combattre la France sous la bannière de Daech, vous n’avez même pas le courage de leur retirer la nationalité française et leurs droits sociaux. Ce sont pourtant des traîtres à la nation.

Mieux, pendant qu’ils combattaient nos soldats, le tiers d’entre eux percevaient encore leur RSA !

Toute votre politique démentielle d’immigration nous ruine et nous met en danger de mort.

La France est ruinée et nous sommes tellement endettés que vous êtes contraints de saigner les retraités et la classe moyenne pour payer les 80 ou 100 milliards que nous coûte l’immigration.

Un mineur isolé coûte 50 000 euros par an au contribuable. Leur nombre a été multiplié par 5 en 6 ans.

Ils étaient 25 000 en 2017, 50 000 en 2018 ? Qui va payer ? Les retraités ?

Vous vous en foutez.

Nos paysans crèvent avec 350 euros par mois pour payer les mineurs isolés.

Pas grave, du moment que les migrants sont bien accueillis.

Tout pour les migrants, rien pour le peuple Français qui voit son pays se transformer en pays du tiers monde et s’islamiser à grande vitesse, pendant que vous extasiez sur les bienfaits de la diversité !

Et que dire de la politique pénale ?

80% des détenus sont d’origine immigrée, deux détenus sur trois sont musulmans selon Jack Lang, et votre unique obsession est de vider les prisons sans en construire.

La France a un taux de criminalité très élevé mais le taux d’incarcération parmi les plus bas.

Les délinquants vous refusez de les toucher au portefeuille, seul langage qu’ils comprennent, alors que la simple suppression des allocations diviserait la délinquance des jeunes par 10 !

En résumé, vous avez détruit le quotidien des Français et le pire est à venir, car le grand remplacement que vous niez est une réalité.

A chaque génération la population de souche diminue de 20 % pendant que la population d’origine immigrée double avec son fort taux de natalité, et triple avec le solde migratoire qui vient s’ajouter chaque année.

C’est cela le mondialisme que vous mettez en place, une France dangereuse en voie de paupérisation.

En 30 ans, vous avez fait le malheur du peuple qui a bâti ce pays et détruit 2000 ans d’histoire.

Jacques Guillemain (Dans “Riposte laïque”)




Enquête dans une cité du 93 : « Forcément que les Blancs, ils sont partis. Qui veut vivre avec des burqas, des gosses qui dealent et des clandos qui volent ? », « C’est nous les étrangers ici » raconte Alice qui ne se balade jamais dans le quartier

Pendant un an, Manon Quérouil-Bruneel, grand reporter, est allée à la rencontre des habitants d’une cité de Seine-Saint-Denis. Religion, drogue, prostitution, petits trafics et grand banditisme : son livre choc, La Part du ghetto, raconte le quotidien méconnu d’une France en marge de la République. Récit de son enquête et extraits exclusifs.

(…) Il y a eu un tournant dans les années 1990. Le mythe du bon immigré a fait long feu. La religion est progressivement devenue un étendard, une cuirasse identitaire qui a fait voler en éclats le «vivre-ensemble» auquel beaucoup sont pourtant attachés. Dans le salon de coiffure où je me suis souvent rendue pour prendre la température du quartier, les conversations tournent beaucoup autour de ce repli communautaire. «La dernière fois, raconte l’un des clients, j’ai livré un barbu. Le type, il enferme sa femme à clé. Mais rentre au bled, frère! On est où, là? Sarko, il avait raison: si t’es pas content, casse-toi. Le quartier est perdu, ce n’est plus la France, ici. Forcément que les Blancs, ils sont partis. Qui veut vivre avec des burqas, des gosses qui dealent en bas de l’immeuble et des clandos qui volent des sacs? Les bobos peuvent bien hurler, c’est pas eux qui vivent dans ce merdier!»

Les burqas et les kamis, qui n’existaient pas il y a une vingtaine d’années, ont essaimé dans la cité. Manger «halal» est devenu une préoccupation pour la nouvelle génération, qui revendique de vivre «plus près de Dieu que ses aînés». Plutôt qu’un mariage à la mairie, les jeunes préfèrent désormais sceller leur union devant l’imam, selon la tradition musulmane.

(…) Alice a une trentaine d’années, deux enfants en bas âge, et crée des bijoux fantaisie qu’elle vend en ligne. Avant, avec son compagnon, ils vivaient dans le XIe arrondissement. En 2011, ils décident d’acheter. Avec leurs petits salaires d’autoentrepreneurs, ils se tournent logiquement vers la proche banlieue et font l’acquisition d’un 90 mètres carrés à 375.000 euros, dans ce quartier qu’on annonce comme un futur Brooklyn dès qu’une fromagerie, preuve irréfutable de gentrification, ouvre miraculeusement de l’autre côté du pont…

«Le jour de l’emménagement, me raconte Alice, on est allés à la boulangerie en bas de chez nous. J’ai demandé un jambon-beurre, le mec m’a regardée comme si j’étais une extraterrestre.» […] Elle a, aussi, dû se plier à l’injonction tacite d’un vestiaire «spécial 93». «Dès que je mettais une jupe, je me faisais emmerder. On me demandait: “C’est combien?”, “Tu me fais un petit truc?” J’ai rangé jupe, rouge à lèvres, et décolleté. Oui, ça fait chier de se conformer à un ordre moral. Mais c’est le prix de la tranquillité.» […]

«De façon générale, remarque Alice, la présence policière ici, c’est service minimum. On se demande même si ce n’est pas fait exprès. Ils laissent le trafic proliférer, comme ça le réseau est identifié et contenu, et ne s’étend pas de l’autre côté du pont [où le quartier est en cours de réfection]. La municipalité a mis un spot devant l’école, il a tenu quinze jours. La plupart des rues du quartier sont plongées dans le noir. Dès que la nuit tombe, les mecs peuvent faire leur petit business tranquille.»

A un moment, avec son mari, ils ont failli plier bagage. Abdiquer. «Je ne peux pas me mettre seule à une terrasse de café. Il y a peu de parcs, peu de commerces. A la sortie du métro, il faut se cramponner à son sac à cause des vols à l’arraché.» […] En attendant, Alice s’est fait une raison. Au fil des ans, elle a arrêté d’écrire au maire pour faire remplacer les éclairages publics, ou demander l’installation de brumisateurs pour que les gosses arrêtent de s’arroser avec les extincteurs en été. Elle fait un détour pour éviter les coins où ça trafique – les «no-go zones» – et ne se balade jamais dans le quartier. Elle va d’un point A à un point B, se fait la plus discrète possible. «La règle est simple, me dit-elle: c’est nous, les étrangers ici.»

Le Figaro

Merci à valdorf




Brest (29) : une bande de mineurs étrangers isolés s’adonne à des vols, des violences et à un trafic de drogue dans le centre-ville

Une bande de mineurs étrangers, isolés, s’adonne à des vols, des violences et à un trafic de stupéfiants dans le centre-ville. Policiers et élus s’avouent impuissants face à ce phénomène.

Selon nos informations, la récente fermeture des toilettes publiques, aux abords de la place, aurait été décidée à cause des trop nombreuses agressions qui s’y produisaient. Des passants y sont entrés de force avant de se faire frapper et voler leurs affaires.

Pourtant, les rondes policières s’y poursuivent. « Il y a un travail de présence physique des policiers, pour rassurer et pour dissuader », explique Régis Allegri, commissaire central de Brest (Ouest France du 21 mars). « Les forces de l’ordre ont procédé à beaucoup d’interpellations », assure aussi Yann Guével, adjoint au maire de Brest, en charge de la tranquillité urbaine.

Mais ces interpellations multiples n’ont aucun effet sur les jeunes. « Ce sont des groupes mobiles et structurés, estime Stéphane Andry. On n’a plus affaire au petit Brestois qui fait des bêtises et qui doit arrêter quand il a 18 ans… Maintenant, on fait face à des jeunes violents et sans limites. »

(…) Ouest-France

Merci à Brevet