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°° WEBTUBE : Avec l’Élysée en ligne de mire, Darmanin, le mollasson de la place Beauvau, prétend jouer les durs place Vendôme. Mais qui va croire à cette métamorphose miraculeuse ? Un type qui se précipite au chevet de la communauté musulmane bouleversée par trois tags sur une mosquée, mais qui laisse brûler vingt églises chaque année sans sourciller, n’a pas plus de crédibilité que son maître Macron, qui dit tout et son contraire depuis huit ans.
Le non-respect des lois et des règles de société, encouragé par un laxisme judiciaire criminel, mène la France au tombeau. Et si aujourd’hui les juges sont menacés, c’est le résultat de trente années de leur démission face aux malfrats. Ils récoltent ce qu’ils ont semé.
Notre pays, naguère admiré de tous, s’enfonce de jour en jour dans la violence et l’insécurité, qui touchent dorénavant tout le territoire. Classée pays le plus dangereux d’Europe, la France a vu sa criminalité multipliée par cinq depuis les années 1970. Aucun gouvernement, de gauche comme de droite, n’a eu le courage ni la volonté de restaurer la sécurité et de protéger les Français.
Lâcheté et renoncement sont devenus un mode de gouvernance à tous les niveaux, au point que les délinquants sont victimisés et les victimes ignorées, voire culpabilisées.
Au sein de la justice, l’idéologie soixante-huitarde a pris le pouvoir, privilégiant la réinsertion des malfrats au détriment des futures victimes, qui font trop souvent les frais de la récidive.
Le contribuable engraisse des élus qui restent les bras ballants et laissent tout empirer dans tous les domaines sans aucun compte à rendre : ni responsables, ni coupables. En fait, la France n’est plus gouvernée depuis trente ans. C’est le naufrage généralisé, naufrage économique, naufrage sécuritaire, naufrage identitaire, naufrage scolaire, naufrage sanitaire etc. Tout le pays est à l’abandon et part en vrille.
Cause essentielle de la criminalité : l’immigration de masse incontrôlée et le laxisme judiciaire aussi coupable qu’incontestable, mais que Macron lui-même persiste à nier.
Selon lui, le laxisme des juges serait une « fake news », car « Il n’y a jamais eu autant de détenus en France ! »
Ce que Macron ne dit pas c’est que si les prisons sont pleines, c’est parce qu’il n’a jamais construit les 15 000 places promises en 2017 ! Ses promesses ne sont que du vent depuis huit ans. Avec une criminalité multipliée par cinq, il faudrait 150 000 places de prison au bas mot.
Rappelons aussi que notre Président protecteur de la nation a commencé son mandat en renforçant sa protection rapprochée avec 50 policiers supplémentaires. Si les Français ont de plus en plus peur dans la rue et les transports, ce n’est pas son souci majeur.
L’Institut pour la Justice revient sur le souhait de Darmanin de développer la reconnaissance faciale, outil magique pour restaurer la sécurité dans le pays, alors que 70 % des citoyens ne se sentent plus en sécurité nulle part, y compris chez eux.
Touché par la Grâce, le garde des Sceaux reconnaît que rien ne va plus :
- Oui, les peines de prison mènent rarement à une incarcération
- Oui, la perpétuité n’existe plus, ne dépassant pas 18 ans
- Oui, il faut un régime carcéral plus dur
- Oui, la société est plus violente qu’avant, partout, tout le temps
- Oui, il n’y a plus de sanctuaire sécurisé.
Mais ce cauchemar au quotidien n’est-il pas le propre bilan du ministre de l’Intérieur Darmanin, qui est resté les bras ballants pendant quatre ans et qui se réveille soudain en voyant que les Français plébiscitent le dynamisme de Retailleau ?
Mieux vaut tard que jamais, dira-t-on.
Mais là où Darmanin fait fausse route, c’est sur les moyens, en misant sur la technologie.
“Si vous voulez une société “sécure”, il faut la reconnaissance faciale par exemple”.
Sornettes que tout cela.
Comme le dit Pierre-Marie Sève, en 1950 la France était un havre de paix, alors qu’il n’y avait ni caméras, ni systèmes d’alarme. Mais les malfrats dormaient en prison et pas chez eux avec un bracelet électronique.
On n’attaquait pas les commissariats et les prisons, il n’y avait pas d’émeutes à chaque match de foot, il n’y avait pas de zones de non-droit, le narcotrafic était marginal et les prisons n’étaient pas les annexes du Club Med, avec téléphone, drogue et sexe à la demande. Les policiers, les juges et les gardiens de prison n’étaient pas menacés.
La vraie question qui se pose donc est : qui dirige réellement ce pays, l’exécutif ou les malfrats ? Car la technologie ne palliera jamais la démission du pouvoir.
Les citoyens n’ont pas à choisir entre sécurité et liberté. Or, la reconnaissance faciale, c’est la porte ouverte au totalitarisme, donc à la mort des libertés.
La solution, c’est une guerre totale déclarée au laxisme judiciaire.
Ce renoncement des juges, qui se retourne contre eux puisqu’ils sont aujourd’hui menacés, est parfaitement sourcé et documenté.
Le Code pénal est un outil remarquable, parfaitement apte à garantir la sécurité des citoyens, mais quand les peines prononcées représentent le 1/10e des peines encourues, il est inutile d’espérer la moindre amélioration, reconnaissance faciale ou pas. Assez de boniments. Le peuple veut des résultats.
Ce qui demande courage et volonté, deux vertus inexistantes à gauche comme à droite.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque