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°° WEBTUBE : Un livre de vérité, aussitôt diabolisé par les ayatollahs de la bien-pensance. Tout comme le rapport Obin de 2004 sur la dramatique islamisation de l’école, aussitôt enterré par un certain François Fillon… La violence détruit l’école, qui n’est plus le sanctuaire et le temple du savoir des années 1980, mais qui est devenue le terrain de jeu des ennemis de la République qui refusent toute intégration. L’islam radical s’y impose de jour en jour sans véritable prise de conscience des autorités, qui se contentent de larmoyer lors de chaque tragédie. Il est tellement plus confortable de raser les murs…
En politique comme ailleurs, il n’y a pas de fatalité et les peuples récoltent généralement ce qu’ils ont semé. Les tragédies de Samuel Paty et de Dominique Bernard, victimes de la barbarie islamiste, sont le résultat de 40 années de renoncement et de lâchetés.
On ne peut pas voter pour des immigrationnistes durant quarante ans et se plaindre ensuite des effets de l’immigration, de l’islamisation de l’école et de la violence que subissent élèves et enseignants.
Notre école s’effondre par la faute des élus qui ne jurent que mondialisme et multiculturalisme, par la faute de l’Éducation nationale qui a pratiqué une omerta suicidaire sur les violences à l’école et par la faute des électeurs qui ont voté systématiquement pour les partis qui disloquent la nation, en sabordant notre identité et notre héritage culturel.
Voilà plus de 40 ans que JMLP tire la sonnette d’alarme et 40 ans que la France entière, de droite comme de gauche, le diabolise alors que toutes ses mises en garde se vérifient aujourd’hui.
On le voit encore en 2024, quand la macronie nous agite le spectre du retour aux années 1930 au lieu de sauver nos agriculteurs et notre école républicaine en perdition.
Plus l’échec de l’intégration est flagrant et plus on ouvre les frontières. La politique de la France depuis 1981 se résume en deux mots : diaboliser le FN. Moyennant quoi, le pays s’effondre dans tous les domaines.
Aujourd’hui, en 2024, au pays de la “diversité heureuse”, les enseignants sont menacés de mort pour avoir demandé à une élève de retirer son voile, ou pour avoir voulu rétablir un minimum de discipline dans la classe. En 20 ans, nous sommes passés de la simple menace verbale au meurtre d’enseignants.
Souvenez vous de l’accueil glacial réservé au livre “Sale prof” de Nicolas Revol en 1999
Alors qu’il dénonce les violences dans son lycée professionnel de banlieue, le manque de soutien de sa hiérarchie et la passivité de ses collègues résignés, tout en déplorant le niveau alarmant des élèves, l’enseignant est aussitôt désavoué par ses collègues et discrédité par le système.
“Histoire douloureuse d’un échec personnel”, “une grossière caricature de la réalité”. Vraiment ?
Pourtant en 2024, la plupart des enseignants de zones sensibles seraient d’accord avec le témoignage de Nicolas Revol. Son livre était prémonitoire et nous y sommes !
“Continuons à faire comme si de rien n’était, et le jour n’est pas loin où tout cela nous explosera à la figure !”
https://www.babelio.com/livres/Revol-Sale-prof/45199
Et que dire de l’accueil réservé au rapport Obin en 2004 ? Il fut aussitôt enterré par peur de la vérité
En 2004, l’inspecteur général Obin sort un rapport explosif sur l’islamisation de l’école républicaine. Un document tellement alarmant que François Fillon, alors ministre de l’Éducation nationale, l’enterre. Il ne ressortira que bien plus tard, après quelques fuites dans la presse.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rapport_Obin
L’auteur décrit le séparatisme religieux qui se manifeste chez les jeunes musulmans, avec de nombreuses dérives.
– Refus d’étudier le chapitre des grandes cathédrales
– Laïcité jugée anti-islam
– Contestation de certains cours jugés non conformes au Coran
– Propos négationnistes concernant la Shoah
– Pas de figures géométriques pouvant rappeler une croix
Le rapport souligne également une autocensure et une certaine connivence des enseignants, qui évitent certains sujets clivants ou bien se réfèrent au Coran quand le sujet s’y prête.
Bref, tout cela fut jugé trop explosif par François Fillon qui enterra le sujet. Le rapport sortit finalement en 2005 mais sans faire grand bruit. Omerta et politique de l’autruche nous ont menés là où nous sommes.
Ce n’est qu’après l’assassinat de Samuel Paty que la presse reparla du rapport Obin.
“On a perdu 20 ans” dira l’inspecteur général.
La sinistre conclusion de tout cela ?
La France avait l’un des meilleurs enseignements du monde, permettant une ascension sociale phénoménale pour les générations d’après-guerre. Les classes populaires voyaient s’ouvrir toutes les portes, dès lors que la société savait récompenser l’effort et le mérite. Mais tout cela a été balayé par un égalitarisme forcené et une immigration beaucoup trop massive qui nivelle le pays par le bas. Au nom du droit à la différence qui a tué l’assimilation, le niveau scolaire s’est effondré.
Tout le monde a le bac mais seul un bachelier sur 20 serait capable de passer avec succès le certificat d’études des années 1960.
Quant à l’islamisation du pays, elle va tout simplement désintégrer la nation avec la bienveillance des élus et du peuple, lequel je le répète, est entièrement responsable de ce qui lui arrive.
Et je ne crois pas trop m’avancer en disant que dans peu de temps, plus personne ne voudra devenir enseignant, policier ou soignant. Des métiers difficiles peu gratifiants, où l’on tient le rôle de punching ball sans la moindre reconnaissance de qui que ce soit.
Quand des pans entiers de l’immigration refusent de s’intégrer parce que des islamistes mènent un travail de sape antirépublicain, la situation ne peut que virer au désastre.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque