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En un peu moins de 30 ans notre pays s’est profondément transformé. Auparavant, pays où il faisait bon vivre, il est en train de se transformer à toute vitesse en un véritable enfer.
Comme chacun le sait, peu ou pas de villes grandes et moyennes n’échappent à une mauvaise réputation. La faute à la rubrique «faits divers» qu’elles alimentent régulièrement pour des affaires de drogue, d’agressions à coups de couteau, des vols, des voitures brûlées, des dégradations diverses et variées.
Depuis quelques années, le phénomène est en train de se répandre dans tout le pays comme une sorte de peste qu’on ne sait pas endiguer.
Ainsi, les petites villes connaissent le sort des grandes et moyennes. Mêmes les petites bourgades et les campagnes sont frappées.
Plus personne dans le pays n’a la chance d’échapper au phénomène.
Par exemple à Thouars (79), petite commune de moins de 10 000 habitants, durant la nuit du 30 juillet, 17 véhicules ont été incendiés et un immeuble a du être évacué. Selon la police, il y a eu 5 départs de feu, 3 en centre ville et 2 dans une cité.
Rien dans les médias sur le sujet.
À Lencloître (86) 2 500 habitants, une église du XIIe siècle, classée monument historique, a été vandalisée durant la nuit du 29 juillet. La porte en bois du tabernacle a été cassée. Dans cette petite armoire fracturée sur l’autel, le ciboire a été pris et jeté au fond de l’église.
Des dessins tendancieux ont aussi été découverts sur les chaises poussiéreuses.
Quel média s’est fait l’écho de ces éléments et d’autres vandalisations du même genre ?
Dans les campagnes proprement dites, ce n’est guère mieux.
Les vols de matériels agricoles, d’outils en tous genres, voire d’animaux, sont légions mais maintenant ce sont carrément des tracteurs qui sont volés.
Le journal «l’Union de la Marne» (51) rapporte dans son édition du 30 juillet :
«Avant je pouvais laisser mon tracteur dans le champ pour aller manger. Maintenant, même le midi je ne vais pas m’arrêter et je vais manger un sandwich dans le tracteur ou je vais le ramener dans le hangar. C’est triste», peste Thierry Galichet qui a installé une alarme et des caméras de vidéoprotection l’hiver dernier, sur son exploitation.
Avez-vous été informé de cela dans les médias ?
Ce sont trois exemples relevés dans la presse ces dernières 48 heures et je n’ai pas tout relevé, loin s’en faut.
Il est donc indiscutable que les petites villes, bourgs et campagnes sont maintenant confrontés aux problèmes des villes grandes et moyennes.
Reste une question : pourquoi ces événements consternants se répandent-ils dans nos petites villes et campagnes ?
La réponse est fort simple. Pour la même raison qu’ils se sont développé dans les grandes villes : parce que les migrants arrivent maintenant dans les petites villes et les campagnes du fait de la politique décidée par Macron.
Or, Darmanin et le président de la République le disent eux-mêmes, il y a un lien entre l’augmentation de l’immigration et le développement de la délinquance ainsi que des violences.
C’est un fait indiscutable dans les villes. Il est maintenant constaté dans les petites villes et les campagnes.
Pourquoi ces lieux seraient-ils épargnés par ces phénomènes de délinquance et de violence ?
Par contre ce qui est frappant, c’est le refus de la presse d’observer les faits honnêtement, de les étudier et de savoir en tirer les conclusions. Sans tabou.
Pourquoi la presse se contente-t-elle de rapporter les faits de vandalisation de l’église de Lencloître sans s’en émouvoir ni dénoncer et condamner ces agissements ? La presse se contente, à ce genre d’occasion, de simplement informer et encore pas tout le temps. Je rappelle à ce sujet que la religion catholique et ses édifices sont les plus attaqués en France d’après les chiffres du ministère de l’Intérieur. Très loin devant toutes les autres religions. La moins attaquée étant l’islam.
Par contre au moindre graffiti sur une mosquée c’est l’émoi dans toutes les rédactions et partis bien-pensants. Tous les médias en parlent pendant des jours, sauf que là c’est avec force commentaires moraux dénonçant l’islamophobie, le racisme et autres qualificatifs infamants.
Mais, en dépit du fait que ces éléments sont détestables et accablants pour les journalistes et commentateurs qui les pratiquent, il y a malheureusement beaucoup plus grave.
C’est par exemple le cas, s’agissant de l’odieux assassinat de jeune Enzo, 16 ans, tué d’un coup de couteau en plein cœur par un autre «jeune», dont on n’arrive pas à connaître le nom ni même le prénom. Mauvais signe.
Le jeune Enzo, qui était apprenti maçon, a été tué dans son village. Une petite commune de 1 400 habitants.
Le site «Actu Forces de l’Ordre» écrit à ce sujet :
«Tout a commencé lorsque la victime et sa petite amie se sont retrouvés face à deux autres adolescents, âgés de 15 et 16 ans, circulant en voiture sans permis. Comme le relate France Bleu, un simple échange de regards a dégénéré en une dispute entre les trois garçons.
Lors de cette altercation, l’un des jeunes a porté un coup de couteau au thorax de la victime, qui n’a malheureusement pas pu être réanimée malgré l’intervention rapide des pompiers. Les deux adolescents responsables de l’attaque ont pris la fuite, mais ont finalement été appréhendés par les forces de l’ordre. Le jeune de 15 ans qui a porté le coup mortel a avoué son acte.»
Le jeune Enzo était un gamin sans histoire, qui se levait – selon sa mère – à 6 heures tous les matins pour aller apprendre son dur métier de maçon. Il n’était connu pour aucun délit et son casier judiciaire était vide.
Par contre, celui qui l’a tué, dont on ne connaît pas le nom, roulait – sans permis – en voiture avec un ami, et était porteur d’un couteau ce qui veut dire qu’il envisageait de l’utiliser. Donc un profil des plus inquiétants.
Et là c’est très curieux. Silence absolu de tous ceux qui d’habitude font d’innombrables commentaires.
Aucune star du type M’Bappé n’a dit «un petit ange nous a quittés». Pourquoi toutes nos gloires, vedettes et autres membres du show-biz ne disent-elles rien sur cet ignoble assassinat ?
Où sont les cris d’orfraie de la France Insoumise ? Où sont les dénonciations de Mélenchon et ses sbires pour cet odieux assassinat ?
Où sont les condamnations indignées de tous les gens bien-pensants et de leur presse ?
Pourquoi n’y a-t-il pas eu une minute de silence à l’Assemblée nationale ?
Je vais vous le dire : parce qu’Enzo n’était pas issu d’une cité, parce qu’il n’était pas issu de l’immigration, parce qu’il n’avait pas un casier judiciaire long comme le bras, parce qu’il ne roulait pas en voiture sans permis et sans assurance, parce qu’il était un jeune qui travaillait dur pour apprendre son métier et n’était pas un dealer. Et surtout parce qu’il n’était qu’un petit Blanc, pas un membre de la diversité.
Voilà pourquoi sa mort est entourée de ce silence insupportable.
C’est pour cela que notre pays est en train de crever à petit feu, parce que trop peu de Français sont capables de s’indigner de cela. Trop peu sont capables d’interpeller tous ceux qui font silence au lieu de hurler leur colère et leur indignation. Trop peu sont capables d’insulter les journalistes qui font un sale boulot en élevant au rang de martyr un petit voyou de banlieue et qui se foutent complètement de la mort d’un petit Blanc honnête poignardé par un assassin, qui se révélera sans doute être une «chance pour la France».
Et je connais l’argument ultime de tous ces lâches et pourris qui font silence autour de la mort d’Enzo :
«Il ne faut pas en parler, car sinon cela ferait le jeu du RN et de Marine Le Pen».
À tous ceux-là, je ne souhaite qu’une chose : qu’un jour la foudre leur tombe dessus ou sur un membre de leur famille. En clair, qu’ils croisent la route d’une «chance pour la France» et qu’ils se retrouvent le mauvais jour au mauvais endroit. S’ils en réchappent, on verra bien alors ce qu’ils diront.
Coralie Dubost (députée LREM), qui était d’un incroyable mépris et d’une suffisance stupéfiante, disait qu’il n’y avait pas d’insécurité en France mais un sentiment d’insécurité. Jusqu’au jour où elle fut agressée en octobre 2021 au sortir d’un restaurant dans un quartier huppé. Depuis, elle n’évoqua plus jamais le «sentiment d’insécurité».
Et s’ils n’en réchappent pas d’avoir été le mauvais jour au mauvais endroit, qu’on ne compte pas sur moi pour verser ne serait-ce qu’une larme.
Oui, vraiment, si cette immigration folle et totalement incontrôlée n’est pas arrêtée, le pire est devant nous. Et Enzo ne sera certainement pas le dernier.
Bernard GERMAIN, Riposte Laïque
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