Paris Ville Poubelle vue par les russes

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Source TVS24.ru

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Marcin Romanowski : « Tout le monde se sent en sécurité en Pologne, quel que soit l’endroit où l’on se trouve ou l’heure à laquelle on se trouve » [Interview]

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Marcin Romanowski est vice-ministre de la justice de Pologne depuis juin 2019. Il est docteur en sciences juridiques. Il est titulaire d’une licence en droit de la faculté de droit et d’administration de l’université Nicolaus Copernicus de Torun et a suivi des études de troisième cycle en droit à l’université de Ratisbonne, en Bavière. Il est également professeur associé au département de théorie et de philosophie du droit de la faculté de droit et d’administration de l’université Cardinal Stefan Wyszyński de Varsovie.

Romanowski appartient à Suwerenna Polska (Pologne souveraine, jusqu’en mai de cette année Solidarna Polska), qui depuis 2015 gouverne la Pologne en coalition avec Droit et Justice. Notre confrère Álvaro Peñas s’est entretenu avec lui pour notamment discuter de la décision controversée de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) d’adopter la Convention d’Istanbul et le nouvel accord de partage des migrants.

La décision de la CJUE selon laquelle tous les pays de l’UE devraient adopter la Convention d’Istanbul ne constitue-t-elle pas une violation flagrante des traités ? L’État de droit n’est-il pas en jeu ?

Le régime général des traités de l’UE pour l’adoption d’accords internationaux, tels que la convention d’Istanbul, requiert l’unanimité au sein du conseil des ministres. Cette règle protège les intérêts des États membres, car le système de droit international est fondé sur la volonté souveraine des États et les traités interfèrent souvent avec les compétences fondamentales des gouvernements nationaux. D’une part, la Convention d’Istanbul est présentée par les institutions européennes comme un mécanisme destiné à lutter contre la violence domestique. D’autre part, la réalité montre que l’intention de ses auteurs était de promouvoir l’idéologie du genre, en présentant la famille naturelle comme la principale raison de la prévalence de la violence domestique dans la société. Cela équivaut à une grande ingérence dans les affaires familiales dans tous les États membres. Néanmoins, la CJUE a rendu une décision surprenante permettant aux procédures d’adoption de contourner l’exigence d’unanimité, ce qui fait que la voix souveraine des petits Etats membres n’est pratiquement pas entendue.

La Pologne a adopté des lois contre la violence domestique sans aucun bagage idéologique. Ces lois ont-elles fonctionné et est-il vraiment nécessaire d’adopter la Convention d’Istanbul ?

La loi originale contre la violence domestique que nous avons proposée a été adoptée par tous les partis politiques polonais. Nous avons prouvé qu’il n’y a pas besoin de contribution idéologique lorsqu’il s’agit d’initiatives législatives dans des domaines aussi sensibles que la violence domestique. La loi a introduit des mécanismes tels que l’ordre immédiat pour l’auteur de quitter le foyer – utilisé plus de 12 000 fois déjà, ce qui a rendu visible la diminution de la violence domestique. Récemment, une nouvelle disposition a été acceptée par le parlement, étendant la protection à des lieux autres que le domicile, tels que les écoles fréquentées par les enfants ou le lieu de travail de la victime. Contrairement à la convention d’Istanbul, nos propositions contiennent de véritables instruments, à la fois juridiques et pratiques, nécessitant une coopération constante avec toutes les autorités impliquées dans le processus, mais sans aucune position idéologique basée sur des idées radicales menaçant la famille naturelle.

Votre ministère a également élaboré un projet de loi pour la protection des enfants, de quoi s’agit-il ?

La protection de la famille est l’un des principaux objectifs que nous poursuivons constamment au sein du ministère de la justice et du parti “Pologne souveraine”. En tant que responsable des affaires familiales au sein du ministère, je suis fier de ce que nous avons déjà accompli, tout en sachant qu’il reste encore beaucoup à faire. En plus des lois anti-violence, nous avons créé un réseau de plus de 300 centres d’assistance gérés par des ONG dans le cadre d’un fonds spécial créé par le ministère de la justice. Ces centres fournissent une aide juridique et psychologique gratuite aux victimes de la criminalité, à leurs proches, à leurs partenaires et aux témoins. Depuis 2021, nous travaillons avec un certain nombre d’experts externes pour élaborer une stratégie nationale de lutte contre les violences sexuelles à l’encontre des enfants. Notre objectif est d’établir un réseau solide à différents niveaux : juridique, pratique et financier, afin de protéger les familles, et en particulier les enfants, contre les abus sexuels sous toutes leurs formes.

Quelles mesures la Pologne va-t-elle prendre pour faire face à cette décision de la CJUE ?

La Pologne tente de s’opposer et de bloquer l’idéologie radicale de gauche largement répandue dans de nombreuses propositions législatives de l’UE. Nous analysons attentivement les processus en cours et nous pensons que les modèles dépourvus de fondements moraux ne peuvent pas contribuer à une société sûre et saine. Tout au long de la procédure relative à la convention d’Istanbul, nous avons présenté une position officielle indiquant que l’adoption de la convention par l’UE ne peut se faire sans respecter le principe de l’accord commun. Cependant, la position de la CJUE est restée inchangée. Par conséquent, notre voix d’opposition, bien que non isolée, n’a pas pu empêcher l’adoption du document avec la majorité requise au lieu de l’unanimité. Un recours juridique contre cette décision semble avoir peu de chances d’aboutir, compte tenu de l’approche de la CJUE à l’égard des traités et du droit de l’UE. Heureusement, nous sommes toujours souverains et notre tribunal constitutionnel a le dernier mot dans toute affaire concernant le système juridique polonais et la mesure dans laquelle les accords internationaux peuvent interférer avec lui.

Outre la Hongrie, la République tchèque, la Slovaquie, la Lettonie, la Lituanie et la Bulgarie n’ont pas adopté la convention d’Istanbul dans leur propre cadre juridique. Bruxelles va-t-elle entamer une chasse aux sorcières contre tous ces pays ?

Le fait qu’un groupe aussi important d’États membres soit désormais contraint de reconnaître les principes de la convention comme une loi européenne applicable soulève de sérieuses questions éthiques. Les institutions européennes se comportent comme si la loi n’était qu’un matériau malléable permettant de construire les fondations qui permettront plus tard l’application des idées extrêmement radicales de la gauche européenne. L’inclusion de la convention sur le genre dans le droit européen, dont l’interprétation et l’exécution relèvent d’un mandat quasi illimité de la CJUE, représente un grand danger pour des États tels que la Pologne et la Hongrie, qui ont déjà souffert de restrictions financières dues à la législation sur le genre.

La Pologne organise des élections générales en 2023. Pensez-vous que la Commission européenne puisse utiliser cet outil pour soutenir le parti bruxellois, la Plateforme civique de Donald Tusk ?

Les représentants de la Commission européenne ont admis à plusieurs reprises que leur objectif était de changer le gouvernement en Pologne car, selon eux, la coalition actuelle, bien qu’elle bénéficie du mandat d’un peuple souverain, ne reflète pas les pactes pré-imposés par des fonctionnaires non élus de Bruxelles. Pendant huit ans, nous avons mené une politique souveraine qui a fait de la Pologne l’un des pays les plus sûrs et à la croissance la plus rapide de l’UE, où la vérité ne cède pas au politiquement correct. Le retour au pouvoir de la Plate-forme civique (qui fait partie du PPE) ne servira pas notre indépendance, et la Pologne ne s’opposera plus aux tentatives de fédéralisation de l’Union. Cependant, je suis convaincu que nous n’en arriverons pas là. Des changements sont en cours dans de nombreux pays d’Europe ; les résultats des récentes élections en Italie, ou les sondages avant les prochaines élections en Espagne, indiquent un changement significatif du sentiment social dans toute l’Europe, ce qui pourrait contribuer à maintenir le pouvoir des forces politiques conservatrices en Pologne.

Si les États membres acceptent cette décision de la CJUE, il pourrait s’agir demain du changement climatique ou des “droits des LGBT”. En plus d’être une arme contre les gouvernements conservateurs, ne s’agit-il pas d’un pas de plus vers un super-État bureaucratique dans lequel la souveraineté des nations perd de sa pertinence ?

Il convient de noter que la Commission européenne a déjà tenté de mettre en œuvre les principes de la Convention d’Istanbul par le biais d’une directive, que nous avons réussie à bloquer. Afin de contourner le résultat, la CJUE a changé les règles du jeu et a permis à l’UE d’adopter directement la convention sans unanimité. Il est évident que l’objectif n’est pas l’intérêt commun des États membres, mais plutôt les objectifs d’un petit groupe visant à accumuler du pouvoir.

En ce qui concerne l’immigration clandestine, la Pologne et la Hongrie ont rejeté le système de partage des migrants de l’UE, qui prévoit le versement de 20 000 euros pour chaque migrant rejeté. Orbán a qualifié ce système d’”abus” et Morawiecki a déclaré que la Pologne ne paierait pas pour les erreurs commises par d’autres pays en matière de politique d’immigration. Que pensez-vous de cette mesure ?

La relocalisation est une tentative de transférer la responsabilité des décisions prises, par exemple, à Berlin. La Pologne est ouverte à l’immigration légale, comme le montre notre position face à la guerre en Ukraine. Nous avons accueilli des millions de personnes fuyant leur patrie, et aucun camp comparable à ce que l’on peut observer dans de nombreux autres États n’a été construit. Nous nous souvenons bien que la majorité des réfugiés fuyant l’agression russe ont vécu pendant très longtemps aux côtés de familles polonaises dans leurs maisons. Néanmoins, nous ne légitimerons pas les décisions irrationnelles et l’afflux incontrôlé de migrants illégaux, appelés à tort “réfugiés”. Bien que nous délivrions presque chaque année l’un des plus grands nombres de permis de séjour à des citoyens non européens de toute la communauté, la Pologne a l’un des taux de criminalité les plus bas. Tout le monde se sent en sécurité en Pologne, quel que soit l’endroit où l’on se trouve ou l’heure à laquelle on se trouve. C’est grâce à notre constance à placer notre intégrité territoriale au-dessus de l’agenda idéologique promu à Bruxelles.

Breizh-info.com

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Laurent Obertone au sujet de l’affaire Nahel à Nanterre et des émeutes : « Les ressemblances avec mon livre Guérilla sont frappantes »

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Qu’ils s’appellent Jean Raspail (Le Camp des Saints), Guillaume Faye (La Colonisation de l’Europe), ou Laurent Obertone (Guérilla, 1, 2 et 3), ces trois auteurs n’auraient pas été ou ne sont pas surpris par les émeutes ethniques que la France a connu les 27-28 et 29 juin en marge de la mort du prénommé Nahel, sur qui un policier a tiré du fait d’un refus d’obtempérer. Le jeune homme était sorti pour le même délit du commissariat il y a quelques jours, roulait sans permis (forcément, à 17 ans), au volant d’une voiture à 70 000 euros, et empruntait à toute vitesse la bande d’arrêt d’urgence et une ligne de bus.

« Un petit ange » pour Kilian MBappé, le sportif qui murmure à l’oreille de Macron. Un petit protégé pour le ban et l’arrière ban de l’extrême gauche. Mais pour de nombreux français, autochtones, c’est l’incompréhension : quel rapport entre ce décès et les médiathèques incendiées, les commissariats attaqués, les écoles et les commerces pillés par de la racaille de banlieue parisienne ? Pourquoi la Creuse, la Bretagne, l’Ardèche, devrait continuer à payer à coups de milliards d’euros, via le contribuable, pour les banlieues françaises qui s’embrasent ?

Au delà de ces interrogations légitimes, on a vu la police avoir des consignes, claires, de ne pas répliquer, de ne pas faire de vague. On a vu l’Etat français capituler, lui qui n’avait pas pris de pincettes pour éborgner de multiples Gilets jaunes, lui qui sait interdire les supporteurs de football de déplacement dans leur propre pays, les traiter comme des animaux. Lui qui sait dissoudre des groupes politiques qui font de l’agit-prop sans violence. Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur au bilan fiasco (euphémisme) est toujours en place.

Et les banlieues s’enflamment. Et la guerre civile pointe doucement mais sûrement, le bout de son nez. Alors nous avons interrogé un auteur qui a écrit cette guerre civile à venir, dans trois romans, ou tout du moins, qui l’a imaginé. Son scénario ressemble presque à ce qui se passe aujourd’hui, sous nos yeux.

Entretien sans concession avec Laurent Obertone.

Breizh-info.com : Il semblerait que les évènements des 27 et 28 juin ressemblent fortement à votre premier tome de Guérilla…qu’en dites vous ?

Laurent Obertone : Oui, les ressemblances sont frappantes. Le gouvernement est aussi lâche, les banlieues aussi promptes à s’embraser, le citoyen aussi passif, la police aussi muselée, les médias et autres tapins de gauche aussi parfaits dans leur complicité active… Je ne sais s’il s’agit d’une répétition générale ou de la véritable guérilla, mais comme je le dis depuis longtemps, ce pays est un bidon d’essence auquel il ne manque qu’une étincelle. Et je ne parle pas de guerre civile : la population autochtone se contentera de regarder le match à la télé, avant de s’éponger le front et de payer la note. Il y aura peut-être quelques victimes qu’on oubliera, comme messieurs Le Chénadec et Irvoas en 2005. Et ceux-là n’auront pas de minute de silence à L’Assemblée.

Breizh-info.com : Comment avez vous analysé le traitement politique et médiatique, à la fois de la mort de cet individu de 17 ans, mais aussi des émeutes qui se sont succédées ensuite ?

Laurent Obertone : Sur l’élément déclencheur, difficile de juger. La lâcheté politique et judiciaire confronte tous les jours les policiers à de tels cas de figure, qui se terminent parfois par la mort de promeneurs innocents. Ce que j’observe, c’est que les suites politiques et médiatiques sont éloquentes. On a cru, par la soumission, désamorcer la révolte. C’est évidemment le contraire qui s’est produit. Le gouvernement a lâché ses flics et va longtemps payer le prix de sa faiblesse. Mais c’est déjà le cas au quotidien, avec ce désastreux laxisme judiciaire interprété comme un permis d’impunité. Tant que ça ne touche que l’honnête citoyen et que ce n’est pas trop nuisible pour sa com, le gouvernement s’en fout. L’ampleur des émeutes et la médiatisation de ses incuries peut changer la donne.

Breizh-info.com : A chaque vague d’émeutes de ce type en France, le « pas de vagues » cumulé avec le chéquier des subventions, semble prendre le pas sur tout le reste. Y’a-t-il une raison de penser qu’il en soit autrement ici ?

Laurent Obertone : Le gouvernement pourrait regagner en popularité s’il répliquait avec une réelle fermeté. Mais il est terrorisé par la situation, d’éventuelles victimes et campagnes médiatiques. Tout ce qui le préoccupe, comme toujours, est d’étouffer le scandale, en attendant une séquence plus favorable. Il y aura donc arrosage massifs, promesses et discours solennels, projets de loi, etc. Et tout pourra continuer jusqu’au prochain épisode.

Breizh-info.com : En condamnant le policier incriminé avant même tout jugement, et en participant à la justice des réseaux sociaux, Emmanuel Macron prend-il un risque majeur…qui est tout de même de se mettre sa police à dos ?

Laurent Obertone : En effet, même si la police reste assez largement loyaliste, la défiance est grande. J’imagine qu’il la pense plus habituée à subir, que ce sera plus facile de calmer des flics que les émeutiers. Avec de tels gouvernants et dans une telle situation – qu’on continue d’ailleurs chaque année à alimenter avec l’immigration de quantité et les aides sociales –, il n’y aura plus qu’une succession de renoncements, d’argent distribué et de postures, pour prolonger l’agonie le plus longtemps possible. Le problème leur paraît bien trop grand pour être affronté.

Breizh-info.com : Comment percevez vous l’attitude de l’extrême gauche ? Et celle du Rassemblement national ?

Laurent Obertone : L’extrême gauche se livre à son racolage habituel, fantasme une alliance qui n’aura jamais lieu, et perdra encore un peu plus son électorat populaire autochtone. Je rappelle que ces gens nous reprochent souvent de « souffler sur les braises » et de « récupérer » des faits divers… Ils se livrent ici à un véritable cours magistral…

Le RN tente de son côté d’incarner une posture plus présidentielle, « oui c’est triste de mourir à 17 ans » et « non c’est pas bien d’en profiter pour mettre le pays à feu et à sang”. C’est banal, mais l’opinion majoritaire s’y retrouvera.

Breizh-info.com : Finalement, n’y-a-t-il pas un contraste sidérant entre ces révoltes de banlieue – et on peut aussi faire un parallèle avec l’activisme permanent et violent d’une partie de l’extrême gauche, et la passivité totale de la majorité autochtone de la population, qui éructe en lisant son journal qui suit l’actualité sur les réseaux sociaux, mais qui semble « en dormition» total. Est ce que ce paradigme peut changer selon vous demain ?

Laurent Obertone : Puisqu’il est question de refus d’obtempérer, on peut en effet remarquer que la population majoritaire n’est clairement pas concernée. Elle qui hurle dans la rue à tout propos, la voilà comment toujours plus que discrète, réfugié dans l’attente et derrière les postures d’autorité de son maître État.

Monsieur Moyen espère simplement que ça va se tasser, que sa vie pourra continuer sans trop de secousses. Ce qui reste probable à court terme, il ne s’agit pas d’une nouvelle révolution, plutôt de bandes opportunistes jouant à la guerre. Espérant au passage – à raison – toujours plus de laxisme et de soumission. Je constate en tout cas un refus général de réfléchir à cette situation et à son évolution. Je parle de la question du changement de population, qui est bien plus grave et profonde que les quelques symptômes que nous observons ces derniers jours. Si nous persistons dans l’attente et le déni, ce pays sera définitivement perdu. Il traverse sans doute la plus grande épreuve à laquelle il a jamais été confronté.

Propos recueillis par YV

Breizh-info.com

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Pourrons-nous éviter la guerre civile ?

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La mort du jeune Nahel lors d’un contrôle de police a embrasé les banlieues, comme le vent ranime les braises qui couvent sous la cendre. L’enquête dira les circonstances de ce drame qui met en scène un policier aux bons états de service et un tout jeune homme qui avait déjà fait l’objet de mesures éducatives pour refus d’obtempérer. Un drame symbolique des « quartiers » et de leurs dérives. Des jeunes gens, parfois très jeunes, en déshérence qui tombent dans une spirale délictueuse, des familles dépassées, une police qui agit dans des conditions dans lesquelles la perte de sang-froid est un risque permanent. Ce qui ne justifie pas le tir mortel mais qui montre les difficultés d’une police à qui il est demandé de pallier les conséquences de l’incurie politique.

L’exploitation orchestrée par LFI démontre, si besoin était, l’irresponsabilité de ce parti qui, après l’échec historique du marxisme-léninisme, essaie de rejouer la mauvaise pièce de la révolution en instrumentalisant les populations immigrées ou d’origine immigrée, de préférence islamistes, selon la veille ritournelle, revue à la sauce woke, du conflit entre « dominants » et « dominés ».

Ces émeutes sont d’autant plus inquiétantes qu’elles n’ont rien à voir avec un mouvement politiquement construit, mais manifestent la haine de beaucoup dans une population, en partie « française de papiers », à l’égard de la France et de ses institutions. La dégradation du mémorial aux déportés situé à Nanterre et le drapeau français piétiné en sont un éclatant symbole.

Face à ces violences, il est permis de souligner qu’après l’égorgement du père Hamel dans son église, la décapitation de Samuel Paty devant son école, l’égorgement de trois fidèles à Notre-Dame de Nice, l’écrasement au camion de 86 personnes sur la promenades des Anglais, le massacre de 131 personnes au Bataclan ou sur des terrasses de café par des musulmans se réclamant de l’islam, il n’y a eu aucune émeute, aucune expédition punitive contre des mosquées ou des quartiers islamisés. L’on chercherait aussi, en vain, des traces de sollicitude pour les victimes de la part de sportifs ou d’acteurs milliardaires parfois expatriés.

Ces émeutes et la situation désastreuse de beaucoup de nos banlieues ne sont pas dues à la fatalité mais à l’aveuglement idéologique et à l’irresponsabilité politique de la gauche comme de la droite avachie au sujet d’une immigration incontrôlée. À propos des « territoires perdus de la République », nos politiciens se sont contentés de constater le désastre, depuis Hollande qui, impuissant, se demandait : « Comment peut-on éviter la partition ? » à Gérard Collomb qui disait, le 3 octobre 2018 : « Aujourd’hui, nous vivons côte à côte, je crains que demain, on vive face à face. » Ou encore à énoncer de consternantes banalités comme Chirac, le 14 novembre 2005 : « Je veux dire aux enfants des quartiers difficiles, quelles que soient leurs origines, qu’ils sont tous les filles et les fils de la République. » Outre que ce n’est pas de la République qu’il s’agit mais de la France, nous n’attendons pas des responsables politiques qu’ils constatent le désastre ou qu’ils débitent des poncifs politiquement corrects. Leur rôle est de prévenir l’effondrement et d’agir pour assurer la cohésion de la nation et la tranquillité des citoyens.

Le laisser-faire, laisser passer en matière d’immigration de populations provenant de civilisations différentes, voire antagonistes, de la nôtre, le maintien de conditions d’octroi de la nationalité inadaptées, les règles trop larges du regroupement familial, le pourrissement mafieux et le sentiment d’impunité pénale, l’effondrement de « l’école de la République » par laquelle sont passés les émeutiers, l’absence voulue de politique d’intégration et d’assimilation au nom de la diversité culturelle, l’idéologie woke qui instille l’idée que les minorités sont victimes de discriminations « systémiques » de la part des institutions, le flux continu de 250.000 à 300.000 immigrés légaux, sans compter celui des illégaux, par an, sont à l’origine du chaos actuel et interdisent toute politique efficace.

Des gouvernements de gauche, il ne fallait rien attendre puisque les immigrés sont supposés leur fournir un électorat de substitution. Quant à la droite technocratique, tétanisée par l’idéologie politiquement correcte, à court de réflexion et de courage, il serait vain d’en espérer quelque réaction. Sans changement profond des principes de l’action politique, sans libération de la pensée, sans fermeté, la France ira inéluctablement vers une guerre civile qui sera aussi une guerre de civilisation. Réveillons-nous enfin !

Stéphane Buffetaut, Boulevard Voltaire

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À Lorient, la défense des « anticasseurs » s’organise contre les racailles

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À Lorient, comme presque partout en France, la nuit de vendredi à samedi a connu son lot d’émeutes et de destructions gratuites. La cité bretonne, jadis paisible, a été à son tour la proie des violences de ce que l’on appelle pudiquement les « jeunes des quartiers », faute de pouvoir, sous peine de poursuites, leur donner leur véritable nom. Comme partout ailleurs, la prétendue « juste colère » s’est exprimée après la mort de Nahel, ce « petit ange parti beaucoup trop tôt », au volant d’une Mercedes AMG qu’il conduisait sans permis, à fond la caisse. Tout aurait dû se passer comme partout : les policiers, courageux mais prisonniers de leurs consignes, qui subissent ; les casseurs, qui pillent, dévalisent, agressent, brûlent et dégradent – et puis, à six heures, la fin provisoire des émeutes.

Il se trouve que ça ne s’est pas passé exactement comme ça. Ouest-France raconte que dans la nuit de vendredi à samedi, environ vingt-cinq hommes, sans chef désigné, se sont présentés aux policiers pour leur prêter main-forte. « Qui nous sommes ? Je ne peux pas vous le dire. Mais nous sommes du bon côté, nous… », a dit l’un d’eux aux forces de l’ordre. Ouest-France, fort logiquement, cherche à caractériser le profil de ces justiciers volontaires, qui ont interpellé et maîtrisé plusieurs casseurs, qu’ils ont ensuite paisiblement remis à la police. « Ils sont taillés en V, courent vite et se déplacent en groupe compact. » Avec un sens aigu de l’à-propos, le journal précise incidemment que la ville de Lorient abrite 4.000 militaires de la Marine nationale. Ça alors. Serait-on sur une piste ?

Que ces « anti-casseurs », qui assurent s’être regroupés de façon spontanée, soient ou non militaires, ce prêt de main-forte aussi spontané qu’efficace est à la fois un très bon et un très mauvais signal. C’est un très bon signal parce que cela montre qu’il existe des Français qui ne se laisseront peut-être plus faire. Ça fait quarante ans qu’ils ne font pas d’amalgame, qu’on leur sert des téléfilms sur le vivre-ensemble, qu’ils s’autocensurent et subissent la violence des véritables racistes, nombreux ceux-là. On a vu des commerçants dormir dans leur boutique et maîtriser, avec des liens de fortune, les petits sauvages qui étaient venus tout ravager gratuitement. On voit pleurer des éducatrices qui ne comprennent pas les incendies d’écoles ou de médiathèques. « Le réel, c’est quand on se cogne », disait Lacan, pour une fois très juste. Les boomers macronistes et les castors du front républicain viennent de se cogner. Et beaucoup d’entre eux saignent du nez. Ce signal d’autodéfense est donc positif à plus d’un titre.

Cependant, c’est également très mauvais signe. Cela veut dire que, dans l’esprit d’un nombre croissant de citoyens français, l’État n’est plus en mesure de les protéger, et qu’ils doivent le faire eux-mêmes. Par ricochet, cela signifie que, face à des gens qui haïssent la France, il y a des gens qui sont prêts à la défendre aux côtés des flics. En bref, cela signifie la faillite du fameux « pacte républicain ». Une fois de plus, les rouleaux de palabres des parlementaires et les dialogues sortis d’un épisode de L’Instit ont prouvé leur ridicule. Face à la racaille, des gens commencent à se lever et à aller aider la police. On peut imaginer qu’une quelconque adhérente du Syndicat de la Magistrature diligentera une enquête pour trouver ces gens qui ont le mauvais goût de ne pas se laisser cracher dessus et de ne pas regarder brûler leur ville en silence.

L’anecdote de Lorient doit nous faire réfléchir. Du travail professionnel, en appui de la police, sans débordement ni message politique. Simplement d’honnêtes citoyens qui en ont assez de voir leur pays devenir, dans l’indifférence repue des contribuables (jusqu’à quand ?), une immense poubelle en feu.

Arnaud Florac, Boulevard Voltaire

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Sandrine Rousseau s’apitoie sur les pilleurs

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Au beau milieu de l’incendie, Sandrine Rousseau trouve la force d’en expliquer les causes. Le tweet qu’elle lança depuis sa cellule capitonnée tomba sur la tête des experts. Son diagnostic se manifestait sous la forme de deux questions interpellantes au niveau du vécu. Un classique : « Et si c’était à cause la pauvreté ? » Puis, craignant d’empiéter sur les plates-bandes de la France Insoumise, elle décidait d’aller sur un terrain jamais labouré : « Et s’ils pillaient les magasins de luxe par suite d’un sentiment de relégation ? » Mais laissons la parole à l’écrivain.ne.ne.

Grâce soit rendue à Sandrine Rousseau qui nous alerte enfin sur la détresse du jeune réduit à ne jamais porter de polos arborant le crocodile Lacoste. Jamais de virgule Nike sur ses baskets, ni de Vuitton sur ses chaussettes. Comment s’étonner, dans ces conditions, qu’un beau jour il craque ? Imaginons cette pauvre maman tentant de broder le célèbre logo Chanel sur le jogging de son fiston. À la lumière d’une bougie, dans un froid glacial, l’aiguille dérape et ne parvient pas à reproduire les deux C entrelacés. En larmes, désespérée, la pauvresse jette la machine à coudre par la fenêtre. Deux policiers passant par là reçoivent l’engin sur la tête. De là s’ensuit une répression policière basée sur un affreux quiproquo. L’innocent toujours démuni d’une marque quelconque de reconnaissance bourgeoise subit alors les contrôles et les humiliations des représentants de la loi. En garde à vue pour absence de crocodile sur le polo, huit jours avec sursis pour un bermuda sans logo branché… Dans la pénombre, Sandrine Rousseau assiste à ces interpellations scandaleuses et vient aujourd’hui nous révéler la cause déchirante de ces mises à sac des centres commerciaux.

Totalement inconscient du drame vestimentaire évoqué par l’extraterrestre woke, Éric Ciotti répond sagement : « Rien ne justifie le pillage »« Honte à vous » surenchérit le député Renaissance Mathieu Lefèvre. Du côté de Franconville, le maire Xavier Melki ne peut contenir sa colère face à ces justifications surréalistes. « Mais ferme ta putain de gueule et viens voir dans nos mairies comment ça se passe. Pauvre fille ». Le feu s’est étendu aux esprits. L’édile ne réalise pas qu’il a échappé à pires interrogations. Selon ses proches, Sandrine Rousseau s’apprêterait à revenir en deuxième semaine avec « Et si le pillage avait à voir avec la couleur des réverbères ? » « Une recherche de marques effectuée avec le souci de faire plaisir à des proches ? » Le tout rédigé dans un abri capitonné bien gardé par deux infirmiers. Pour un voyage au confins de la culture de l’excuse, exigez la marque Rousseau, garante d’un futur apocalyptique.

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[Émeutes] Petit tour (très incomplet) de cette France des terroirs qu’on aime

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Où faut-il habiter maintenant pour être épargné par les « émeutes » ? Je veux dire habiter en France. Sans aller bien loin, tenez, par exemple, l’Italie, ce pays auquel nos gouvernants voulaient donner de condescendantes leçons de démocratie lorsque Meloni accéda au pouvoir, l’Italie ne connaît pas ce genre de « phénomènes de société ». Il faudra qu’on se demande un jour pourquoi. Donc, restons dans « l’hexagone », pour reprendre une expression chère à Macron. Jusqu’à maintenant, lorsqu’on brûlait des voitures, caillassait des commissariats de police ou jetait des boules de pétanque sur les pompiers, ça concernait, dans l’imaginaire du Français moyen qui passe plus de trois heures par jour devant son écran, les banlieues, les cités périphériques des grandes villes. Mais pas lui. Ça, c’est fini.

Alphonse Allais voulait implanter les villes à la campagne. Avec l’émeute qui se répand comme un feu de paille, on y est presque. La République du Centre rapportait samedi matin qu’un feu avait pris dans un champ, durant la nuit, à Pithiviers, ville du Loiret, d’origine gauloise, comptant aujourd’hui 12.000 habitants. Toujours selon La République du Centre, « si l’origine du feu reste pour l’heure inconnue, les riverains pensent aux jeunes qui ont brûlé, dans la nuit du mercredi au jeudi des voitures dans le quartier ». On n’en sait pas plus aujourd’hui. Dans la nuit de jeudi à vendredi, dans le centre-ville, des vitrines ont été fracassées et des boutiques pillées (la presse écrit « cambriolées », ça doit faire moins émeute). Les riverains ont raconté qu’il s’agissait d’une bande d’une vingtaine d’individus cagoulés.

Faisons un bon de quelques 280 kilomètres, cap sud-est, pour nous rendre en Côte-d’Or, à Beaune, 22.000 habitants, « là où les bons vins sont », comme on le chante dans la vieille chanson « Réveillez-vous Picards ». « Boulangerie et station-service attaquées, véhicules brûlés, tirs de feu d’artifice contre le commissariat », titre Le Bien public. Et d’évoquer aussi – c’est un classique désormais – des « affrontements » entre « forces de l’ordre et jeunes ». Comme on parlerait d’affrontements entre bandes rivales. Samedi matin, le préfet de Côte-d’Or est venu constater les dégâts. Espérons que les assureurs seront aussi réactifs.

Passons notre chemin et poursuivons notre petit tour de cette France des terroirs qu’on aime tant, en filant 200 kilomètres plus au sud, à Belley, en évitant sagement Lyon. Belley, dans l’Ain, ville de 9.000 habitants, capitale du Bugey et siège d’un très vieil évêché. Dans la nuit de jeudi à vendredi, pareil : nombreuses dégradations, rapporte Le Progrès. Voitures incendiées, vitrines de commerces cassées, la terrasse d’un bar complètement détruite par une « vingtaine de jeunes ». On poursuit, 150 kilomètres plus au sud : Annonay (Ardèche), 16.000 habitants. Annonay, pour qui connaît un peu son histoire de France, c’est les papetiers Montgolfier et leur montgolfière qui s’éleva dans le ciel de la cité du Vivarais, un beau jour de juin 1783. 240 ans plus tard, on y a brûlé un camion de l’agglomération qui sert à ramasser les encombrants ainsi qu’une douzaine de voitures dans un parking souterrain dont deux qui ont été lancées en direction des gendarmes et des sapeurs-pompiers. France bleu rapporte qu’ils étaient une « trentaine de mineurs ». On voudrait ironiser, on ferait remarquer que la presse, dans les circonstances actuelles, repère plus vite les mineurs lorsqu’ils sont en bande que ne le font les services sociaux des conseils départementaux pour détecter les mineurs lorsqu’ils sont isolés. Là aussi, passons.

Passons et cap sur le Sud-Ouest. Tenez, partons pour Pau, la ville du bon roi Henri et, accessoirement, de François Bayrou, donneur de leçons perpétuel et rescapé du giscardisme. Pau n’est pas à proprement parler une petite bourgade (77.000 habitants) mais elle garde cette belle image de carte postale, nichée au pied des Pyrénées. Un bureau de police, un collège et une médiathèque ont été endommagés, rapporte actubéarn. Pas de gros dégâts mais c’est une première fois à Pau, souligne France bleu. « Notre responsabilité autant que possible est de maintenir la paix dans la rue et l’ordre qui fait que l’on peut vivre ensemble », a déclaré Bayrou. Dans bien des endroits en France, il ne s’agit pas de la maintenir, la paix, mais de la rétablir !

Remontons plein nord en nous arrêtant dans le Tarn-et-Garonne, à Moissac. Moissac, 13.000 habitants, son fameux cloître de la fin du XIe siècle. Dans la nuit de samedi à dimanche, c’est quatre voitures de la police municipales qui ont été incendiées, nous dit La Dépêche. À une heure de Moissac, Villeneuve-sur-Lot, moins de 23.000 habitants. « Les zones rurales ne sont pas épargnées par les violences urbaines constatées partout en France », fait remarquer justement Le Républicain Lot-et-Garonne. Au bout de deux nuits de violence, on comptabilise deux véhicules de la police municipale, un « bâtiment public ciblé » ( ?).

Achevons ce tour de France très incomplet en Touraine. Même Amboise, ville de 13.000 habitants, délicieusement posée au bord de la Loire et surplombée par son château, n’a pas été épargnée : la salle municipale Clément-Marot a été partiellement incendiée dans la nuit de jeudi à vendredi, relate La Nouvelle République. L’agglomération tourangelle a d’ailleurs été frappée par de nombreuses violences au point que le préfet Latron, ancien officier, a arrêté un couvre-feu pour les mineurs de 22 heures à 6 heures du matin durant ce week-end.

Emmanuel Macron fera-t-il ce tour de France ?

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La cagnotte du policier incarcéré explose : un signe du ras-le-bol des Français

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S’il ne s’agissait pas d’un événement tragique, aussi bien pour la victime que pour l’auteur du tir, on pourrait ironiser sur la guerre des cagnottes qui se déroule en ce moment. D’un côté, une cagnotte pour aider la famille de Nahel, qui, à l’heure où ces lignes sont écrites, a récolté 83.484,04 euros ; de l’autre, une cagnotte lancée par Jean Messiha en « soutien à la famille du policier de Nanterre », qui a déjà atteint 570.618 euros. Mais il serait de mauvais goût, compte tenu des circonstances, de parler de compétition.

On comprend la douleur d’une mère qui défend la mémoire de son fils, même si ce n’était pas un « petit ange », comme l’a écrit Kylian Mbappé, en vacances à Miami, dans un tweet publié le 28 juin. En l’occurrence, ce footballeur vedette aurait mieux fait de se taire ou d’alimenter discrètement la cagnotte dédiée. Mais il a cru bon, sans doute parce qu’il a lui aussi grandi dans des quartiers difficiles, peut-être aussi pour être dans le vent comme beaucoup de stars, d’exprimer sa solidarité avec la victime.

On comprend aussi, à moins d’être aveuglé par l’idéologie ou par la volonté d’envenimer les choses, qu’il est absurde de prétendre, comme Sandrine Rousseau, qu’on assiste à un retour de la « peine de mort », après que le policier a tiré sur l’adolescent. L’enquête finira par révéler la vérité, mais il faut plaindre cet homme, conspué par l’extrême gauche, lâché jusque par Emmanuel Macron, qui a jugé « inexplicable » et « inexcusable » la mort de Nahel, avant même d’avoir tous les éléments d’information. Plus prudent, le préfet de police de Paris avait assuré que « s’il y a faute, il y aura sanction », et que « toute la lumière sera faite ».

À ce sujet — [Émeutes] L’honneur d’un policier

L’homme que tous ses collègues décrivent comme un homme « calme » et « irréprochable », décoré pour son courage et son dévouement, est donc publiquement traité en paria. Ce que la comparaison des cagnottes nous apprend, c’est que l’opinion publique refuse de tomber dans le manichéisme qu’on cherche à lui imposer. Elle estime que le policier, inculpé pour homicide volontaire et placé en détention provisoire est le bouc émissaire sur lequel le gouvernement fait retomber ses propres torts, son incapacité à juguler la violence et la délinquance des banlieues.

L’impuissance, pour ne pas dire la veulerie, de nos gouvernants est flagrante. Le déferlement de ces « jeunes », qui ne sont plus des sauvageons, mais de véritables sauvages, les incendies, les pillages montrent à quel point la prétendue fermeté du gouvernement n’est pas prise au sérieux. Quand on a trop longtemps été laxiste, on n’a plus aucune autorité. Le garde des Sceaux a beau demander aux procureurs une réponse judiciaire « rapide, ferme et systématique » à l’encontre des auteurs de violences urbaines, il ne convainc personne, il se donne, selon sa formule, « le sentiment » d’agir.

Empêtré dans le droit-de-l’hommisme et la bonne conscience, le gouvernement, Macron en tête, participe à la subversion des valeurs, à la décomposition de la France. La majorité des Français en est sans doute consciente. En privilégiant la cagnotte pour aider la famille du policier, ils manifestent symboliquement leur ras-le-bol, leur volonté de dégager des incapables qui, plutôt que de servir la France, ne savent que l’asservir.

Philippe Kerlouan, Boulevard Voltaire

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Que faire si les policiers ne peuvent pas tirer sur les pillards ? C’était pourtant différent avec les gilets jaunes. Pourquoi ?

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J’ai tout compris du discours officiel qui est tenu. Les policiers ont des armes, mais ils n’ont pas le droit de s’en servir, encore moins contre les Chances pour la France, et à la rigueur, ils ont le droit avec les Gilets jaunes et les Français de souche.

Les jeunes délinquants agressent, pillent, parfois tuent, mais c’est à cause de la misère sociale, du racisme, de l’exclusion, de l’extrême droite et de Zemmour.

L’État doit assurer la sécurité des citoyens, et celle de leurs biens. C’est une de ses fonctions régaliennes. Mais les émeutiers, qui, bien que n’ayant pas fait de longues études, peuvent comprendre rapidement les choses, voient qu’ils bénéficient d’une impunité totale quand ils pillent les magasins, le nouveau sport national. Et comme Mélenchon appelle cela la revanche sociale, voire de la récupération, et les encourage, comme son copain Plenel, pourquoi ces jeunes se gêneraient-ils ?

D’autant plus qu’il est interdit, contrairement aux États-Unis, d’embaucher des miliciens armés, qui pourraient tirer sur les émeutiers, pour les dissuader de voler.

Donc, il reste deux solutions : donner raison à Poutou, qui réclamait le désarmement de la police, et remplacer les policiers, notamment la Bac, par une police citoyenne, comme le réclame Mélenchon. En résumé, on fait rentrer les Grands frères dans la police.

Ou alors la police demande du renfort, consciente d’être dépassée, et il faut réétudier l’idée de Robert Ménard (celui d’avant) qui consiste à mettre en place une Garde républicaine armée, sous les ordres des forces de l’ordre officielles, qui seraient constituée d’anciens policiers, gendarmes, tireurs sportifs et de tous les Français sachant tenir une arme.

J’avoue que sinon, je ne vois pas de solution…

P. Cassen, Riposte Laïque

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“On brûle les P*, le Coran”, à Brest un bar LGBT ferme ses portes précipitamment après avoir été identifié comme cible par les émeutiers.

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« J’ai reçu une cinquantaine de coups de fil et messages, aux alentours de 22 h 15. Des gens qui s’étaient infiltrés sur certains réseaux sociaux utilisés par les émeutiers, et qui me disaient de faire attention. Quand j’ai vu de quoi il s’agissait, je me suis dit que ce n’était pas possible de voir ça, en 2023 ».

Le Telegramme

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