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++ WEBTUBE : Pas de panique tout de même mais il est exact que j’ai eu à effectuer un petit déménagement fin juin dans l’Essonne pendant les dernières émeutes ethniques. Je suis parti le matin de bon heure (des émeutes étaient encore en cours) Il a fallu réfléchir comment contourner les quartiers à risques pour éviter de se faire piller et de se faire brûler la camionnette de location. Pour la première fois je me suis senti en danger et piégé en région parisienne. Depuis je me suis installé à la campagne à un endroit encore préservé (mais pour combien de temps…) Bien qu’un peu alarmiste, cet article aborde intelligemment le fond du problème de sa survie en cas de nouvelles émeutes de grande ampleur)
Si ce n’est pas déjà fait, il est encore temps de prendre vos dispositions
Émeutes raciales à venir, dans certaines zones les Blancs seront chassés de chez eux. Je le disais dans un précédent article, la prochaine fois, les émeutiers s’en prendront directement aux personnes.
Ils rentreront dans les maisons pour y mettre le feu, pour piller, pour violer, pour égorger. Bref pour créer un climat de terreur afin de vider les zones à conquérir. La prochaine fois, ce sont plusieurs centaines de milliers d’insurgés qui mettront la France à feu et à sang, cette fois-ci avec de très nombreuses victimes blanches.
L’éloignement, seule manière d’échapper aux premiers massacres. Les plus avisés d’entre nous se sont déjà organisés et se sont relocalisés dans les campagnes, loin des villes.
Inutile de vouloir résister. Pour le moment, la classe moyenne blanche de souche, même dans les milieux patriotes, n’a pas encore parfaitement pris conscience du risque. Elle compte encore sur l’État et n’a pas jugé utile de s’organiser pour faire face et résister. Par conséquent, au moins au début, les insurgés ne rencontreront aucune opposition. Ni de la part de l’armée et des forces de l’ordre qui auront reçu des ordres pour ne pas intervenir, ni de la part d’une hypothétique résistance civile organisée. Dans ces conditions, sauf novation inespérée, et sauf à vouloir risquer sa vie, inutile de vouloir à tout prix rester sur place pour résister. Ce ne sera pas possible faute de moyens, faute d’organisation, faute de préparation. Ceux qui voudront survivre ne pourront que fuir, en attendant éventuellement de s’organiser dans la profondeur du territoire pour la suite des événements.
Par conséquent, ce qui suit s’adresse à ceux qui pour des raisons diverses, souvent faute de moyens, par habitude ou pour conserver leur travail, sont restés dans les zones à risque. Sachant que maintenant, à part la campagne loin des villes, tout le pays est à risque. Ainsi, des endroits où on se croyait en sécurité il y encore quelques années sont devenus dangereux.
Prendre conscience du risque pour pouvoir prendre ses dispositions. Bien entendu, le risque n’est pas forcément partout homogène en fonction de votre lieu de résidence et de votre lieu de travail. Certaines zones sont plus exposées que d’autres : métropoles, banlieues pavillonnaires blanches autour des métropoles, villes moyennes et petites ayant subi la submersion migratoire et l’épandage des populations afro-musulmanes. Et bien entendu, toutes les zones où se sont déjà produits des événements : qu’il s’agisse d’émeutes ou d’actes de violence isolés contre des Blancs.
Il est de la responsabilité personnelle de chacun d’évaluer son risque et son niveau de préparation : pour lui-même, pour ses proches et pour les personnes qu’il veut protéger.
Attention, le risque ne concerne pas que le lieu de résidence, mais aussi le lieu de travail, les lieux de scolarisation des enfants, les lieux de vie des gens qu’on souhaite protéger, les trajets d’un point à un autre. En cas de soulèvement dans sa ville, si on attend trop, on n’est pas sûr de pouvoir rejoindre son domicile depuis son travail, on n’est pas sûr de pouvoir passer récupérer ses enfants à l’école ou un parent âgé et invalide ailleurs dans la ville. On n’est pas sûr de ne pas rencontrer des difficultés en cours de trajet d’un point à un autre.
Identifier les personnes de sa famille ou de son entourage qu’on entend protéger. Quand ça tournera vraiment mal, il faudra faire vite et avoir fait ses choix à l’avance. On ne pourra pas protéger tout le monde. D’abord parce que certains ne le voudront pas. Ensuite parce qu’au-delà de 5 ou 6 personnes, ça sera très difficile d’évacuer tout le monde.
L’anticipation, clé de la survie. Sauf cas improbable, les choses n’arriveront pas brutalement, ni partout au même moment. Avant les émeutes, il y aura un crescendo de 24 à 48 heures, qui vous laissera le temps d’anticiper et de décrocher. L’observateur attentif veillera à identifier les signaux annonciateurs de l’explosion.
À partir de maintenant il faut être en veille permanente. C’est-à-dire, apprécier l’imminence du phénomène afin de prendre les bonnes décisions. Il vaudra mieux avoir décroché alors que rien ne se sera finalement passé, plutôt que d’avoir trop attendu et voir débouler plusieurs centaines de furieux au bout de sa rue ou en bas de chez soi.
Point de chute final. Première des choses, il faut avoir identifié un point de chute final où pouvoir se tenir pour une durée indéterminée. Peut-être quelques jours, peut-être des mois, peut-être pour toujours. Dites-vous qu’on a accueilli massivement des réfugiés du monde entier mais que lorsque ce sera à notre tour de devoir fuir nous n’aurons nulle part où aller. Les frontières autour de nous se fermeront, il n’y aura ni pays voisins, ni ONG ni ONU pour nous venir en aide. Les plus avisés et les plus fortunés trouveront toujours une porte de sortie. Les autres resteront coincés.
Moyens de paiement. Il est recommandé à ceux qui le peuvent de disposer de liquidités et de pièces d’or pour pouvoir payer un passage. En cas de chaos, pas sûr que le retrait bancaire soit possible dans l’urgence, pas sûr que les euros soient les plus recherchés… C’est la raison pour laquelle la personne avisée pensera à se procurer à l’avance quelques pièces d’or.
Le choix du point de chute final est une question fondamentale qu’il vaut mieux avoir explorée à l’avance et non pas dans la panique. Là encore, il appartiendra à chacun de faire son choix bien à l’avance.
Quand décrocher ? Le plus généralement, on ne quittera pas sa maison trop à l’avance, mais seulement quand on mesurera que la situation est réellement en train de se dégrader là où on est. La plupart ne quitteront pas tout, tout de suite, en une seule fois. Tout dépendra de la tournure que prendront les événements. Certains s’éloigneront pour quelques jours le temps de voir, puis reviendront si ça se calme. D’autres n’auront plus de chez eux, leur maison aura été brûlée, leur quartier dévasté. D’autres quitteront le pays. Toutes les situations sont à envisager. Il faudra s’être préparé à tout.
Il faut bien comprendre que si ça tourne vraiment mal, pour les plus mal placés, le choix sera entre la valise ou le cercueil. Mieux vaudra alors avoir tout perdu, plutôt que sa vie et celle de ses proches.
Pas de fuite en voiture au dernier moment à travers les zones d’insurrection. C’est le plus sûr moyen de se retrouver bloqué dans un gigantesque embouteillage à la merci de barbares qui remonteront la colonne de voitures pour vous liquider. L’hypothèse de départ en convoi est à déconseiller. Elle a été envisagée par d’autres, à mon avis elle est inadaptée, particulièrement à la dernière minute et depuis des zones de forte densité urbaine.
Cas particulier des métropoles cernées par un boulevard périphérique. Attention, pour s’extraire, il faudra franchir le périph. C’est-à-dire transiter par quelques points de passage obligés particulièrement exposés, le plus souvent des ponts. Attention, le périph est souvent en tranchée profonde ou bordé de murs anti-bruit impossibles à franchir. Une solution peut-être de sortir à pied par les voies ferrées moins connues et moins risquées, dont on peut espérer qu’ils ne penseront pas à les bloquer tout de suite.
Points délicats à éviter. Il faudra avoir identifié les points délicats à éviter : zones infestées à éviter à tout prix, zones commerciales soumises au pillage, autres zones pavillonnaires à majorité blanche visées en premier lieu, routes et voiries particulièrement infestées de ronds-points au-delà du tissu faubourien au sortir des villes.
Quelle heure choisir ? L’expérience montre que les émeutes se calment au petit matin et dans les premières heures de la matinée. L’heure la plus propice pour partir sera sans doute le petit matin, en espérant que l’État n’impose pas un couvre-feu, (uniquement pour les Blancs, pas pour les autres qui auront toute latitude de razzier) ; ceci de manière à nous maintenir séquestrés dans les villes. Ce n’est pas à exclure vu le niveau stratosphérique de perversité dont le pouvoir a fait preuve à notre encontre lors des dernières crises.
Il faut bien le comprendre, l’État n’est pas un ami de la classe moyenne de souche. C’est même strictement l’inverse, tout le démontre.
Cas des enfants et des personnes fragiles. Il faudra les avoir exfiltrés suffisamment à l’avance pour ne pas en être encombrés au dernier moment dans l’urgence. Cas délicats, solutions de relogement durable à prévoir.
Une fuite en deux temps préparée à l’avance. Tant que la menace n’est pas encore trop prégnante, rester à son domicile, rester à son travail, poursuivre ses activités normalement. Dès que les premiers signes de complications apparaîtront, positionner une voiture dans un lieu sûr à une journée de marche maximum de son point de départ (généralement, son lieu de résidence). Cela suppose une certaine vigilance et une certaine acuité pour détecter les signes avant-coureurs. Il sera utile de s’être organisé en réseau de proximité pour échanger afin d’évaluer la situation et les risques.
NB : On n’est pas sûr de pouvoir tous partir du même endroit au même moment. Par conséquent, toutes les personnes à exfiltrer devront savoir où retrouver la voiture en cas de pépin. Cela se prépare, tout comme l’identification des itinéraires de fuite.
Pré-positionner sa voiture hors zone d’émeute. Selon les cas, il pourra être judicieux d’avoir pré-positionné son véhicule hors zone d’émeute. On y aura laissé des effets, des provisions et son matériel d’évacuation. Cela permettra ensuite de repartir beaucoup plus loin s’il le faut en direction de son point de chute final.
Départ à pied. Ce n’est que quand la menace deviendra trop directe qu’il faudra décrocher et partir à pied pour rejoindre son véhicule pré-positionné à une demi-journée, une journée de marche maxi. De là, on prendra son véhicule pour rejoindre soit son point de chute final, soit une maison-relais amie en attendant d’aller plus loin.
Trajet pour rejoindre son véhicule. L’endroit où on aura pré-positionné son véhicule sera choisi en fonction du trajet à effectuer pour le rejoindre. Il faut choisir l’itinéraire le moins exposé, même si ce n’est pas le plus direct. Par ailleurs, il faudra avoir prévu de devoir partir de n’importe où, dans l’urgence. Par exemple de son lieu de travail, de l’école où on sera allé chercher ses enfants. Ce ne sera pas obligatoirement de son domicile qu’on ne pourra pas forcément rejoindre. Le trajet doit avoir été repéré et effectué à pied à l’avance. Lors du repérage, penser à identifier les points de halte intermédiaires, les abris, les planques ainsi que les points où prendre de l’eau, du ravitaillement, etc.
Maisons relais en zone sûre. On n’est pas certain de pouvoir rejoindre directement son point de chute final, parfois assez éloigné. Par conséquent, il faudra s’être organisé avec son réseau de proximité pour pouvoir être accueilli quelques jours hors zones de chaos, le temps d’aviser, de digérer le choc, de se remettre de ses émotions. La maison relais pourra être organisée de manière à ce que les gens qui y seront reçus aient pu y pré-stocker des vivres, des effets personnels, des moyens d’abri et de couchage sommaires avant de repartir plus loin (une ou deux cantines par exemple). Il ne sera pas inutile d’avoir équipé et fortifié la maison relais. Ceux qui auront été obligés de fuir pourront y avoir pré-stocké leurs moyens de protection personnelle.
Entraide en zone sûre. Ceux qui le peuvent et qui sont positionnés à la distance voulue en dehors des zones à risque devront se mettre en condition de pouvoir accueillir les personnes de leur réseau de proximité obligées de fuir. Cela se prépare et se convient à l’avance. Qui accueillir ? Qui refuser ? Encore un choix personnel à faire. Attention, ça risque de se bousculer au portail… Vous risquez de vous découvrir des amis que vous n’attendiez plus…
Ne pas partir trop chargé. Si on doit tout perdre, un peu plus ou un peu moins, ce n’est pas ce qui fera la différence. Ne pas s’encombrer, partir léger pour dégager vite.
Agression isolée, panic room, fortification du domicile. Pour ceux qui habitent en maison individuelle, il est conseillé de prévoir un espace sécurisé à l’intérieur de la maison. Cela pourra toujours être utile, surtout en cas d’agression isolée (en cas d’émeutes de masse, il vaudra mieux être parti ailleurs, inutile de rester pour rôtir sur place). Si maison à étage, isoler la partie nuit au moyen d’une grille au débouché de l’escalier. Cela permettra de se réfugier à l’étage et d’attendre les secours en cas de pépin. Si vous avez de quoi tenir les assaillants à distance en faisant du bruit, c’est mieux. Si maison de plain-pied, isoler le coin nuit par une grille et placer des volets métalliques ou grilles métalliques fortes devant les fenêtres de la partie nuit. Budget de plusieurs milliers d’euros à prévoir. En copropriété, porte blindée obligatoire (prévoir un budget de quelques milliers d’euros pour une porte blindée sérieuse).
Bref, où que l’on soit, l’agression isolée au domicile devient un risque sérieux contre lequel il faut se prémunir et pour lequel il faut prévoir un certain budget. Pas d’électronique, pas d’alarmes, pas de trucs sophistiqués. Du métal, des grilles, des verrous et je le redis encore, des chiens. Même petits, ils vous préviendront toujours.
Ce document n’est pas exhaustif, il a pour but d’éveiller à la problématique. Il jette quelques hypothèses que chacun pourra enrichir et améliorer en fonction de son cas personnel.
Il est encore temps, préparez-vous.
Martin Moisan, pour le site Riposte Laïque
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