Éric Zemmour pulvérise en direct les journalistes de France Inter

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Articles  :  Fev. 2022 – Jan. 2022 –   Dec. 2021 –   Facebook : https://www.facebook.com/ORTF-News-107572991571884

Comment ‘R: Eric Zemmour a raison, le service public de radio télévision est une branche pourrie qu’il faut traiter. Le traitement de M. Zemmour est peut-être un peu radical, voir la suite de mon raisonnement ci-dessous :

Il me semble que certaines chaines remplissent correctement leur rôle de Service Public : par exemple France 5, ARTE, et France 3. Il faudrait donc garder ces 3 chaines et garder la même ligne éditoriale. Il faudrait par contre que France 3 se rapproche plus des régions et que chacune de ces chaines soit beaucoup plus marquée par le terroir qu’elles représentent. France 2 doit être privatisée. Côté Radio, une grande chaine nationale est nécessaire. Il faudrait donc garder France Inter mais je comprends qu’il sera difficile de licencier certains journalistes ou présentateurs….. mais c’est ce qui s’est fait à la télévision en 1981 lors de l’arrivée de la Gauche au pouvoir. France Musique devrait perdurer, France Culture devrait se fondre avec France Inter et ne faire qu’un. Monsieur Zemmour, si vous me lisez essayez d’aller dans ce sens.

Invité sur France Inter, le moins qu’on puisse dire est qu’Éric Zemmour n’y a pas été avec le dos de la cuillère, sachant qu’il avait face à lui quatre ennemis, il a décidé de ne pas les ménager.

On remarque d’abord que les quatre journaleux sont masqués, ce qui n’est pas le cas d’Éric Zemmour. Craignent-ils de se voir contaminés par le discours zemmourien ?

Les deux animateurs sont Nicolas Domorand, ancien rédacteur en chef de Libération (tout un symbole) et Léa Salamé, compagne de Raphaël Glucksmann, connue pour ne pas masquer la haine que lui suscite Éric Zemmour. S’y ajoute Thomas Legrand, qui a l’habitude d’insulter grossièrement tout ce qui n’est pas de gauche. Bref, une caricature du pluralisme de France Inter, et plus largement du service public.

Il leur a d’abord expliqué qu’ils étaient la négation du service public, et se comportaient en propagandistes de gauche, sur toutes les thèses de la gauche : immigration, islam, homosexualisme, woke, climat, etc.

Ensuite, sans craindre les cris d’orfraie, il a expliqué pourquoi il supprimerait la loi SRU quand il serait élu, mettant à bas la théorie des journalistes selon laquelle 80 % des logements sociaux seraient réservés aux Français.

Et enfin, faisant s’étrangler de rage Léa Salamé, il a expliqué pourquoi il s’intéressait à d’autres sujets, mais qu’il considérait que le combat essentiel demeurait le Grand Remplacement.

Il leur a dit très clairement, les yeux dans les yeux, qu’ayant trahi les missions du service public, ils seraient tous privatisés.

Naturellement, la contre-attaque a été immédiate, et nous avons eu droit aux pleurnicheries de la présidente de Radio France, Sybile Veil, amie de Macron, qui ment grossièrement aux Français en parlant d’un pluralisme qui n’existe pas sur les chaînes publiques, et en attribuant aux propos d’Éric les prochaines violences qui pourraient toucher les journalistes.

Comme si les Français avaient besoin de Zemmour pour avoir compris que les journalistes du service public, et la plupart des autres, sont des collabos et des propagandistes du nouvel ordre mondial, et qu’ils méprisent notre pays et ses habitants.

Pour finir, quelques rappels sur deux des journaleux, parmi les six présents, qui voulaient se farcir Éric Zemmour.

Lucette Jeanpierre, Riposte Laïque

https://ripostelaique.com/hala-salame-nest-pas-quagressive-elle-est-dune-atroce-vulgarite.html

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