La logique écologique de Barbara Pompili : au secours le nucléaire et vive le charbon !

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La logique écologique de nos écologistes aurait-elle vocation à défier la plus élémentaire des logiques ? C’est à croire, Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, ancienne d’EELV, ensuite passée au Parti socialiste avant de se recycler chez les macronistes, annonçant que les centrales à charbon ont encore un avenir tout en assurant que « le charbon est l’ennemi numéro un ». Vous vous y perdez ? Vous devez sûrement être légion.

Barbara Pompili, donc : « On a remonté un petit peu le quota du charbon, parce qu’on a besoin de marges de manœuvre à cause des réacteurs nucléaires qui sont arrêtés alors qu’ils n’auraient pas dû l’être. » Vous vous y perdez toujours ? Vous n’êtes évidemment pas le seul. Certes, il est vrai que ces mesures « charbonologiques » ne jouent qu’à la marge, sachant qu’il est prévu de passer à un taux de « 0,7 kilotonne d’équivalent dioxyde de carbone » à une « kilotonne ». Selon les mêmes sources officielles, « ce taux passera à 0,6 kilotonne pour le reste de l’année 2022 et reviendra à 0,7 kilotonne en 2023 ». À quelques décimales près, c’est à l’aune des ambitions d’un gouvernement qu’on peut juger de sa vision du monde à venir.

Voilà qui appelle au moins une remarque quant à la cohérence de ces gens, Barbara Pompili se lamentant finalement que le parc nucléaire français n’ait pas été assez bien entretenu, « à cause de réacteurs nucléaires qui sont arrêtés alors qu’ils n’auraient pas dû l’être », alors qu’elle n’a pas ménagé sa peine pour qu’elles le soient, tout en appelant à la rescousse des centrales à charbon dont « deux sont fermées sur quatre », la troisième étant censée l’être au printemps prochain. Bref, au secours le nucléaire et, en attendant, vive le charbon !

À l’évidence, Florian Philippot, ancien numéro deux du Rassemblement national et actuel patron des Patriotes, raisonne d’or lorsqu’il tweete : « 1. Le gouvernement tue EDF via l’Union européenne 2. EDF n’investit plus assez et ferme 11 réacteurs nucléaires sur 563. On doit importer de l’électricité créée par le charbon et rouvrir 2 centrales à charbon. 4. Les prix flambent. Sortons de cette folie : service public national hors UE ! »

Et c’est là tout le paradoxe de nos verdâtres élus. Avec Anne Hidalgo, première des Parisiennes, la Ville Lumière n’a jamais été aussi sale et vilaine. Même si comparaison n’est pas raison, à Beyrouth, capitale ayant au moins l’excuse d’une guerre civile sans fin, on pourrait presque manger sur les trottoirs. En matière d’embouteillages, Paris n’a désormais plus rien à envier à New Delhi, mégapole ayant pourtant mis la barre très haut sur la question. Et ne parlons pas de sécurité, sachant qu’on risque peut-être moins dans les ruelles de Rio de Janeiro que dans celles de la place de la Chapelle.

Toujours dans la même démarche bienveillante – mais s’agit-il de sauver la planète ou d’encore un peu plus brimer les Français ? –, les feux de cheminée sont toujours en voie de potentielle interdiction pour cause d’émission de particules fines. « Fines », c’est le mot, car finalement à peine moins finaudes que les raisonnements de « celles et ceux » qui, toqués de naissance, nous parlent de nature, quoique ne sachant pas toujours faire la différence entre un poireau et un topinambour, tout en entendant nous dicter, pour notre bien, notre façon de vivre.

Plus que jamais, la défense de la nature est un sujet par trop sérieux pour être abandonné aux seuls écologistes.

Nicolas Gauthier, Boulevard Voltaire

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Commerce extérieur, immigration, insécurité : cinq années de perdues !

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Certes, la pluie de cadeaux financés par un endettement record, la diplomatie continentale et les annonces qui enjambent allègrement l’élection présidentielle, comme si celle-ci n’existait pas, doivent éberluer bon nombre de Français. Certes, les calculs et les connivences des élus socialistes et autres ralliés à la Macronie tissent un réseau de soutiens intéressés qui explique la courtisanerie des signatures en faveur de celui qui n’est pas encore candidat parce qu’il souhaite profiter au maximum de la présidence pour faire campagne de haut et à bon compte. Certes, enfin, la complicité des médias qui ont assuré son élection en 2017 perdure en grande partie, mais on peut quand même s’interroger sur des sondages qui semblent ne tenir aucun compte des réalités les plus marquantes qui composent un bilan désastreux.

Ne retenons que trois chiffres : le premier est celui du commerce extérieur, qui affiche un record historique pour notre pays de 84,7 milliards d’euros en 2021 ; le second est celui de l’immigration, avec 270.000 titres de séjour accordés l’année dernière, un redémarrage après le blocage lié au Covid et non à la politique gouvernementale ; le troisième est celui de la délinquance violente, puisque le total du nombre de victimes de coups et blessures volontaires (sur personnes de 15 ans ou plus) enregistrées augmente très fortement en 2021 et s’établit à 306.700. Il était de 274.300 en 2020 et de 225.500 en 2016.

Ces trois chiffres mettent au pilori le quinquennat macronien, les discours autosatisfaits du pouvoir et les annonces tardives de mesures à visées électoralistes. Le dernier a donné lieu à un échange entre le ministre de l’Intérieur et Apolline de Malherbe. Une augmentation de 33 % des violences sexuelles et des violences de 12 % est rappelée par la journaliste, qui cite les données du ministère. L’ambitieux frénétique inquiet pour son avenir n’hésite pas à mentir effrontément : par omission surtout, puisqu’il s’appuie sur la diminution toute relative des atteintes aux biens, en oubliant que le confinement qui a maintenu les Français à domicile a freiné les cambriolages, et en passant sous silence la reprise des vols en 2021 (+5 %) et l’envolée des escroqueries (+15 %). Le plus saillant est le passage de l’objectivité des chiffres à l’idéologie des mots : dire que la violence augmente est populiste.

Dire que cette violence, la délinquance en général, le trafic des stupéfiants en particulier (+38 %), sont liés à l’immigration et à la multiplication des quartiers de non-droit doit évidemment aussi être une marque de populisme. La volonté d’enrayer le processus migratoire est un marqueur d’extrême droite. « Ben voyons » ! C’est la raison pour laquelle il paraît scandaleux, aux yeux du pouvoir actuel, de dénoncer la réalité du « Grand Remplacement », alors que la demande d’asile a augmenté de 28 % en 2021, que le regroupement familial a crû de 18 % et que les naturalisations ont progressé de 50 %. Cette question ferait partie des obsessions idéologiques qui génèrent les « sentiments » d’insécurité ou de changement de population, lesquels doivent laisser place au domaine sérieux de l’économie.

L’ennui, c’est que le juge de paix de notre économie – la balance commerciale – vient de se prononcer. La planche à billets de l’endettement permet d’annoncer une croissance record, après une récession plus importante que ce rattrapage, la formation et l’apprentissage en particulier améliorent apparemment les chiffres du chômage, qui restent cependant deux fois plus élevés que ceux de l’Allemagne, qui n’a nullement dû creuser les déficits pour y parvenir. Mais cette surchauffe artificielle se traduit par le déficit le plus élevé de la balance commerciale connu par notre pays. Nous importons de l’énergie devenue plus chère, mais aussi des biens que nous ne parvenons plus à produire à des prix compétitifs, ou avec une qualité suffisante quand nous les produisons. L’Allemagne a, elle, engrangé un excédent commercial de 173 milliards d’euros en 2021. « Une grande nation se mesure à son commerce extérieur » : cette phrase est de Bruno Le Maire ; elle suffit à juger la réalité d’une économie qu’il prétend aujourd’hui dans une forme olympique.

Une campagne présidentielle digne de ce nom devrait permettre aux Français d’appréhender l’état véritable de leur pays, entre déclin et décadence. On comprend que le locataire de l’Élysée préfère jouer les importants sur la scène internationale. Mais, là encore, la froideur de l’accueil moscovite, la longueur des tables et les démentis dissipent les illusions entretenues. Le mandat macronien ? Cinq années de perdues !

Christian Vanneste, Boulevard Voltaire

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Convoi pour la liberté, un phénomène mondial

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Klaus Schwab a écrit que la crise du covid devait être une fenêtre d’opportunité pour instaurer un gouvernement mondial, et c’est pour cette raison que la réponse à ce projet fou ne pouvait qu’être planétaire. Et ce sont les routiers qui sont devenus le symbole de la résistance à la tyrannie covidiste, prélude à la domination des élites mondialisées.

Faisons le tour du globe des points de résistance.

Au Canada, malgré le déluge de feu de la propagande mainstream, le mouvement va en s’amplifiant et gagne les cœurs des Canadiens.

Trudeau sur la défensive tente bien de déverser sa haine en utilisant l’habituel cortège d’insultes, mais cela ne prend plus, les Canadiens soutiennent le mouvement. La division gagne même les libéraux, le parti de Trudeau :  « après avoir lancé un pavé dans la mare en accusant son propre gouvernement d’avoir divisé la société avec son « ton » dénigrant envers la minorité non vaccinée, le député libéral fédéral Joël Lightbound a annoncé qu’il quittait son poste de président du caucus du Québec des libéraux fédéraux. »

Mais c’est aussi les Premiers ministres des États du Canada qui tout en dénonçant les manifestations semblent terrorisés à l’idée d’affronter les manifestations dans leur ville ; ils annoncent les uns après les autres la fin des restrictions,  comme le Premier ministre Legault du Québec, qui a donné un plan de déconfinement progressif jusqu’en mars. Son homologue de l’Alberta  a annoncé que l’exigence du passeport vaccinal cesse dans son État  tandis que les masques suivront dans 3 semaines.

Voilà, Justin Trudeau dit Coward-19 semble donc de plus en plus isolé !

En Nouvelle-Zélande, l’ancienne Young leader global Jacinta Ardem est aussi contestée ; il faut dire qu’elle est allée très loin dans la persécution des non-vaccinés et les restrictions. Le convoi  pour la liberté qui a roulé sur la capitale a eu un certain succès et va obliger les politiques à lâcher du lest. On attend une réponse politique dans les prochains jours.

Le Premier ministre australien Scott Morrison, chahuté cette semaine par le convoi de la liberté à Canberra,  a repris la main, et il a surpris tout le monde en annonçant la réouverture des frontières, fermées depuis deux ans, alors qu’elles devaient rester fermer jusqu’à juin. À la fin du mois, toutes les restrictions comme le port du masque devraient être levées.

À Londres et à New York, des rassemblements ont eu lieu pour soutenir les mouvements des routiers canadiens, symbole de l’oppression covidiste. Trump a même déclaré qu’il faudrait peut-être organiser un mouvement comme cela aux USA pour obliger Sleepy Joe Biden à se réveiller sur la question. Un bon coup de klaxon dans les oreilles !

Et la France dans tout cela ? Un mouvement s’organise, et cela bruisse dans les rédactions que Macron serait terrorisé, comme son petit copain le pétochard Trudeau, à l’idée d’affronter un nouveau mouvement de Gilets jaunes !  Il vient de recevoir en urgence les syndicats de routiers. Va-t-il les acheter comme les syndicalistes Manigold ou doc Marty ?

Mais ce convoi ne sera pas majoritairement composé de camions, tous les véhicules participeront à cette manifestation d’un nouveau genre. Ce mouvement a pour objectif de se rassembler à Paris le 11 février, puis à Bruxelles le 14 février. C’est un mouvement apolitique qui réunit tous les déçus de Macron, les Gilets jaunes, les anti-passe vaccinal… Cela pourrait faire du monde ! En tous les cas, ce convoi pour la liberté a remporté de belles victoires à travers le monde, on lui souhaite le même succès en France !

Marquis de Dreslincourt, Riposte Laïque

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Alice Coffin, aujourd’hui soutien des “Hijabeuses”, scandait en 2004 “Non au voile”, le considérant comme un “symbole d’oppression” et signait dans Libération une tribune au vitriol sur les dérives de l’antiracisme

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2022

2004

Je suis dépassée, hystérique, victimaire, stigmatisante, voire raciste, volontiers catastrophiste, et un tantinet néocolonialiste. Qui suis-je ? Une féministe de 25 ans. Fière de l’être mais malheureuse d’appartenir à une génération ingrate. (…)

Nous estimons qu’il y a urgence à connaître les acquis et les revendications féministes. Car le machisme (…) s’exerce désormais sous des formes beaucoup plus hargneuses, en plein espace public. (…) Les jeunes femmes sont ainsi fréquemment confrontées dans la rue ou les transports en commun aux regards libidineux ou haineux de certains hommes, voire de jeunes garçons, aux insultes ou parfois même aux crachats.

Le peu de soutien reçu par le projet de loi antisexiste est incompréhensible. Un pays où l’on entend des insultes comme « sale chatte », expression la plus en vogue du moment, doit se doter d’un arsenal législatif conséquent. (…)

Nous serions dépassées aussi, selon certains, parce qu’au regard des enjeux politiques actuels, le féminisme (…) deviendrait même une idéologie au service de la défense des intérêts occidentauxLorsque nous avons pris parti pour la loi contre le port des signes religieux à l’école et que nous dénoncions dans le voile un symbole d’oppression sexiste, nous avons rencontré l’hostilité des milieux d’extrême gauche qui nous ont reproché d’être « stigmatisantes », «racistes» ou «néocolonialistes».

Parce que nous sommes profondément et prioritairement féministes et que nous ne cédons pas devant les intimidations de ceux qui essaient de jouer sur notre culpabilité de femme occidentale, nous dénoncerons toujours les méfaits faits aux femmes au nom des cultures et des traditions. Nous luttons contre toutes les religions en général, lesquelles n’ont jamais aimé les femmes (toujours suspectées d’impureté, toujours diabolisées), pourquoi pas contre l’islam ?

Lorsque les milieux d’extrême gauche voient dans la communauté d’origine arabo-musulmane les nouveaux opprimés qu’il faut soutenir jusque dans leur repli religieux et traditionaliste, sans doute ne considèrent-ils pas que ce contre-modèle identitaire n’a rien à proposer si ce n’est une réelle oppression machiste. La forme la plus insidieuse, la plus sournoise du sexisme, est la forme antiraciste. Sous prétexte d’antiracisme et du respect des cultures, certains en sont venus à défendre l’excision, le port du voile, la polygamie. Là où leur antiracisme pèche, c’est que précisément ils pensent en termes de races et de catégories. Ce qu’ils jugeraient scandaleux pour eux-mêmes, ils le considèrent bon pour les autres. (…)

Autrefois, au nom de la priorité des luttes, une partie de l’extrême gauche dénigrait le féminisme. En attendant le grand soir, ce sont les femmes qui continuaient d’endurer une double oppression, sociale et domestique. Aujourd’hui encore, nombre de jeunes gens et de jeunes filles ont intériorisé ces réflexes bien-pensants, refusant de voir le sexisme quand il touche aux communautés issues de l’immigration, maghrébine notamment. «Chut, camarade, tu stigmatises !» Cette génération qui a grandi dans les années 80, les années Mitterrand, est une génération qui a été dressée à la culpabilité liée à la colonisation et à un antiracisme devenu vide de sens tant elle profère à tout bout de champ «raciste» et «facho» à ceux qui, humanistes, dénoncent l’oppression engendrée par les croyances et les traditions. (…)

Libération, 5 août 2004

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Fürth (Allemagne) : le chauffeur turc d’un poids lourd sème le chaos en plein centre-ville en percutant une trentaine de voitures, un immeuble en flammes…

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« C’est du jamais vu à Fürth » selon la police de cette ville de Bavière de 130 000 habitants, située près de Nuremberg. Mardi vers 19h, le chauffeur d’un poids lourd a d’abord grillé un feu rouge puis continué sa course en semant le chaos dans une rue du centre-ville. Il a percuté une trentaine de voitures qui se trouvaient soit en circulation, soit en stationnement. Certains véhicules ont pris feu et les flammes se sont propagées à un immeuble dont les occupants ont dû être évacués et relogés.

(…) De nationalité turque et âgé de 50 ans, il affichait un taux d’alcoolémie de 2 grammes par litre de sang.

L’Alsace 

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Insécurité à Rennes : “En quittant la Seine-Saint-Denis pour venir ici, je pensais vivre dans un cadre plus agréable (…) Je fais comme tout le monde. Je baisse les yeux”, témoigne un riverain, qui dénonce l’inaction de la mairie

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Les riverains des immeubles du 2, 6 et 9 de la rue Arthur-Fontaine, près du cimetière de l’Est, à Rennes, n’en peuvent plus. Depuis six mois des dealers occupent les halls d’immeuble et ont transformé les lieux en véritable décharge à ciel ouvert. Et n’hésitent pas à fouiller les habitants !

« En quittant la Seine-Saint-Denis pour venir habiter à Rennes, je pensais vivre dans un cadre plus agréable », raconte, amer, ce sexagénaire croisé vendredi dernier aux abords du 6 de la rue Arthur-Fontaine. Un groupe de petits immeubles situés tout près du parking du cimetière de l’Est et bordé par le boulevard Villebois-Mareuil. À moins de 3 km de la place de la mairie. « Depuis environ six mois, les dealers qui se sont installés là nous pourrissent la vie. Mais je ne veux pas d’emmerde. Alors, quand je dois passer entre eux pour rentrer chez moi, je fais comme tout le monde. Je baisse les yeux. » Il doit faire avec. Contraint et forcé. « Trouver un autre appartement social ? Je n’y crois pas. Pourtant si je pouvais… »

(…) Ouest-France

(…) Tous vivent dans la terreur depuis six mois, et l’installation d’un point de deal à proximité du cimetière de l’Est. Dans le hall d’un immeuble de la rue Arthur-Fontaine, les journalistes de Ouest-France tombent sur « une dizaine de jeunes (…) tous en survêtement et capuche sur la tête ». Le sol est décrit comme jonché de déchets : emballages de kebabs, canettes, mégots… et flaques d’urine.

« Ces dealers nous ont mis en mort sociale », se lamente un riverain, qui pointe l’inaction de la mairie et de la préfecture.

(…) Valeurs

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