Viols en pleine rue à Paris: où sont les féministes? Spread the love Articles : Mai 2021 – Avr. 2021 – Mar.2021 – Fev.2021 – Jan.2021 Un autre viol perpétré par deux toxicomanes a eu lieu une semaine plus tard. Bizarrement, ces affaires n’ont pas suscité l’indignation qu’elles méritent de la part des milieux féministes. Est-ce parce qu’elle est survenue au cœur d’un quartier rebaptisé «Stalincrack» par ses habitants excédés, où migrants et toxicomanes envahissent l’espace public?[…]D’ordinaire promptes à se saisir du moindre fait divers pour mettre en cause l’État et les politiques publiques et demander davantage de moyens, les associations féministes sont restées étrangement silencieuses. Ainsi, Osez le féminisme a à peine réagi avec un simple tweet. L’association Nous Toutes, pourtant en pointe dans la dénonciation de la «culture du viol», n’a pas daigné non plus s’indigner. Quant à la présidente de la Fondation des femmes, Anne-Cécile Mailfert, elle s’est émue, non pas des faits, mais du fait que la vidéo ait été partagée sur les réseaux sociaux. «C’est inhumain» a-t-elle commenté, réclamant son retrait (à juste titre). Acharnées à demander qu’on nettoie les rédactions des «boys’ club» (espaces de conversation masculins) après l’emballement disproportionné de la «Ligue du LOL», les néoféministes gardent leurs indignations en poche dès que les faits interviennent dans les territoires perdus de la République.[…]Le Figaro Web Stats Laisser un commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Navigation de l’article Précédent Publication précédente : Nîmes : dans certaines écoles, la journée de classe est rythmée par les cris des guetteursSuivant Publication suivante : Gap : deux mois de prison pour deux militants engagés auprès des migrants dans les Hautes-Alpes