Nantes. Place du commerce : à la FNAC « parfois les clients ont peur de venir »

Articles : Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Autour de la place du Commerce à Nantes, la réouverture à venir des cafés et restaurants engendre des inquiétudes. Et pas seulement celles des riverains qui craignent de perdre leur sommeil. « Les terrasses, ça attire les bandes de voleurs, et il y en a déjà assez comme ça », s’inquiète une riveraine. La place du Commerce, au cœur de Nantes, est à l’image de la ville – le théâtre d’une délinquance du quotidien, le plus souvent d’origine extra-européenne, qui ne prend même plus la peine de se cacher.

Du sang sur les pavés… 

« On a régulièrement des intrusions dans l’immeuble, des rixes sous nos fenêtres, tous les soirs, à 16, 17 heures, ça commence à crier. Il y a du sang sur les pavés parfois. Ils sont bourrés, drogués, ils sont comme chez eux. Ils sont tous armés et ils ont des passe postes, on a mis un Vigik mais il y a des intrusions quand même, c’est très inquiétant de vivre ici, surtout le soir et la nuit ». On pourra compter sur Johanna Rolland pour faire visiter la place du Commerce au ministre Darmanin ?

À la FNAC voisine, certains vendeurs vont jusqu’à conseiller aux clients de cacher les smartphones et autres objets connectés qu’ils viennent d’acheter. « On n’a pas eu, à ma connaissance, de clients qui se sont faits détrousser, mais c’est vrai que c’est insécurisant. Parfois nos clients ont peur de venir », confie un vendeur.

Autour de la Fnac, deux bandes au moins de délinquants nord-africains sont à poste permanent – l’une sur les marches dos à la ligne de tramway, l’autre au fond de la place près de la rue de Gorges. Et confinement ou pas, les vols à la tire dans le tramway ou sur la place, voire rue de la Fosse, derrière, sont toujours fréquents.

« Ils s’attaquent toujours aux mêmes : les jeunes gens avec leurs écouteurs, les femmes seules, les personnes âgées. »

 Certes, les policiers sont souvent présents, « mais ça ne fait que déplacer le deal et les vols. Quand les flics sont là, les bandes se déplacent entre les deux stations de tram ou plus à l’ouest de la place, et dès que les flics s’en vont, ils reprennent leurs places habituelles », décrit un riverain. « Après, ils s’attaquent toujours aux mêmes : les jeunes gens avec leurs écouteurs, les femmes seules, les personnes âgées. C’est une délinquance qui n’a pas beaucoup de courage, ils ne tirent jamais un téléphone à un mec musclé de 120 kilos, comme par hasard ».

S’ajoute à la persistance de la délinquance extra-européenne l’effet chantier. « Depuis que le sud de la place, le long de l’allée Duguay Trouin, a été achevé et pourvu de plantation et d’éclairages, les bandes se sont relocalisées au nord. On verra si ça change avec la réouverture du café, mais pour l’instant, c’est le nord de la place qui subit plus », constate un habitant de l’ile Feydeau. « D’autant qu’il y a plus de monde et plus d’issues, et relativement peu de caméras. On peut toujours aller de la rue du Calvaire à la place du Commerce sans tomber dans leur objectif, et les délinquants le savent, visiblement ».

Louis Moulin


[cc] Breizh-info.com, 2021

Pourquoi la France fait face à un risque d’effondrement ?

Articles : Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Avec des Bourses au plus haut et sans visibilité sur l’inflation à venir, le spectre de l’intervention des banques centrales préoccupe les investisseurs ; les Bourses jouent donc au yo-yo, plombées par la peur de l’inflation, mais elles sous-estiment les risques de faillites d’entreprises et de pertes financières pour les banques.

Afin de juguler l’inflation, la Fed pourrait diminuer ses achats d’actifs obligataires qui s’élèvent à 120 milliards de dollars par mois ; elle imagine cette possibilité pour fin 2021-début 2022, mais il est possible qu’elle soit obligée d’intervenir beaucoup plus tôt. Pour l’instant, suite à la vente de titres obligataires par les investisseurs, le taux des bons du Trésor à dix ans est de 1,672 %. Quant à la BCE, en raison des taux d’inflation actuels très bas en Europe, il n’est pas question de diminuer les achats de titres obligataires, et les taux d’emprunt augmentent très lentement (0,244 % en France et 1,081 % en Italie). Si les taux d’intérêt devaient augmenter brusquement en 2021, suite à une inflation qui augmente, à un niveau d’endettement des États de plus en plus élevé et à une croissance économique insuffisante, la BCE se trouverait dans une situation impossible, devant alors choisir entre la peste de l’hyperinflation inacceptable (augmentation des achats de titres) et le choléra des taux d’intérêt élevés (diminution des achats de titres) et, donc, de la banqueroute des États (France et Italie).

Au-delà du risque d’inflation, suite à l’augmentation de la masse monétaire par les banques centrales, il y a également un risque d’inflation par les coûts. Au manque de conteneurs pour le transport maritime, à la pénurie de puces électroniques, à la hausse d’un grand nombre de matières premières telles que le cuivre, le bois, le lithium, de nouvelles pénuries apparaissent : manque de pneus et de caoutchouc et même de palettes en bois et de clous ! Les palettes en bois ont augmenté de 50 % en un an et le prix des clous de 36 %. Les entreprises du BTP éprouveraient aussi de grandes difficultés pour effectuer leurs achats nécessaires aux chantiers. Il semblerait que la Chine ait acheté de grandes quantités de caoutchouc partout dans le monde. Les Chinois chercheraient à se débarrasser de leurs dollars qui ne leur rapportent rien en achetant et stockant des matières premières susceptibles de flamber dans les mois qui viennent.

L’Institute of International Finance explique comment la réponse à la pandémie Covid-19 a ajouté 24.000 milliards de dollars à la montagne de la dette mondiale qui a atteint, en 2020, un nouveau record historique à 281.000 milliards de dollars. La BCE, de son côté, alerte sur les risques élevés de crise financière. Les faillites vont se multiplier car les taux d’endettement ont bondi de 220 % des fonds propres, fin 2019, à 270 % en moyenne, fin 2020, pour les 10 % des entreprises les plus endettées. Les États de la zone euro vont donc aussi faire face au dilemme de la faillite des entreprises ou des dépenses trop importantes du « quoi qu’il en coûte » car l’endettement moyen des États de la zone euro est passé de 86 % du PIB, en 2019, à 100 %, en 2020.

Les dilemmes seront encore d’autant plus cornéliens dans la zone euro qu’une hausse des défaillances d’entreprises fragilisera très fortement les banques. Ces dernières devront augmenter leurs provisions pour créances douteuses, tout en étant exposées à un risque de correction du prix des actions, voire de l’immobilier. Il se trouve que la rentabilité des banques européennes est actuellement très faible (1,3 % de rentabilité des capitaux propres, alors qu’elle était de 5,3 % avant la pandémie) et qu’elle est de 10 % pour les banques américaines. La rentabilité devrait progresser un peu de nouveau, mais la BCE ne voit que les mariages entre établissements (avec, donc, des licenciements pour diminuer les coûts) afin de remédier aux problèmes structurels du secteur.

Pas besoin, donc, de sortir de Polytechnique pour réaliser que les propos optimistes du gouvernement ne correspondent en rien à la gravité de la situation en France au sortir de la crise sanitaire. Si l’on ajoute au risque économique, financier et boursier un risque non négligeable de crise politique, d’explosion sociale ou populiste, parler de risque d’effondrement de la France n’est pas exagéré.

Marc Rousset, Boulevard Voltaire

La chanson du jour, Let The Music Play – Barry White

Les années 70/80 étaient incroyables: Boney M, Abba, Blondie, Barry white, Phil Collins, Lionel Richie, Rick Astley, Bonnie Tyler, Mdonna, prince, Micharl jackson, Duran Duran, Donna Summer ... des décennies de musique incroyables...Let The Music Play fait partie de ces standards !

USA : recomptage des bulletins, fraude avérée. Que peut-on attendre ?

Articles : Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

L’audit des votes du comté de Maricopa (Arizona) est loin d’être terminé puisque seuls 500.000 bulletins (sur 2.100.000) ont été recomptés. Il demeure que ce chiffre est statistiquement assez élevé pour donner une idée plus précise de l’ampleur de la fraude : les auditeurs ont signalé des écarts de 5 à 17,5 % selon les lots, au profit exclusif de l’actuel président. Rappelons qu’il n’a remporté officiellement le comté que de seulement 2,2 %.

Bon, et maintenant ?

Eh bien, même si le recomptage confirmait ce qu’on sait déjà, il ne se passerait probablement rien. Les médias feraient le black-out sur l’information et les élections ne seraient pas pour autant invalidées pour une impérieuse raison : le Congrès les a ratifiées par un vote le 6 janvier.

Il s’agit d’une disposition de la Constitution américaine qui neutralise les recours en annulation pour éviter de perturber l’exercice de ses fonctions par le président nouvellement élu.

C’est pourquoi le Congrès, et notamment Pence qui présidait alors le Sénat, avaient le pouvoir de reporter la validation et d’ordonner un audit. Ce ne fut pas le cas. Le Congrès est souverain et Joe Biden fut désigné comme le 46e président des USA.

Certes, celui-ci pourrait démissionner sous la pression. OK, mais dans ce cas, Kamala Harris prendrait sa place. Et si celle-ci se retirait également, le rôle reviendrait à Nancy Pelosi, etc.

Alors à quoi bon ? Que peut-on espérer dans ces conditions ?

Ce qu’on peut raisonnablement attendre, c’est que l’audit de Maricopa et les autres qui suivront (notamment dans le comté de Futon, en Georgie, sur ordre d’un juge, le 21 mai 2021) jettent sur le système électoral américain un discrédit tel que les législateurs (parlementaires) de chaque État n’aient d’autre choix que de réformer drastiquement les règles de scrutin.

Le Congrès étant à majorité républicaine dans les États clés, ce scénario est tout à fait plausible.

Seul problème : les républicains corrompus qui refuseront de voter la nécessaire réforme. Et ils sont nombreux, les RINO (Republican In Name Only) à avoir poignardé l’ancien président dans le dos.

Il l’a payé très cher et il compte bien leur rendre la politesse en les boutant hors du champ politique grâce à la tactique de l’endorsement qu’il a exposée publiquement, il y a quelques semaines : en substance, « si vous ne défendez pas la réforme pour restaurer l’intégrité des élections, je ne vous soutiendrai pas et, pire, je placerai un vrai patriote face à vous dans chaque primaire. Vous pourrez alors dire au revoir à votre siège d’élu. »

Il faut reconnaître que les quelques élections intermédiaires (il y en a chaque semaine) qui se sont récemment déroulées semblent lui donner raison. La confiance que le peuple accorde à Trump est telle que toute candidature républicaine sans son appui (endorsement) est vouée à une défaite quasi certaine.

C’est pourquoi sa nouvelle résidence de Palm Beach (Mar-a-Lago) abrite depuis plusieurs mois un défilé discret mais continu de responsables politiques désireux de se faire adouber par le nouveau patron du parti républicain.

Elle est là, sa stratégie, pas ailleurs : faire le grand ménage au sein de son parti, majoritaire dans une trentaine d’États (sur cinquante) en s’assurant la loyauté de ses membres. À partir de là, les législatures (Congrès de chaque État) pourront légiférer afin de durcir les conditions de vote. En ligne de mire : les élections midterm 2022 destinées à renouveler une fraction des sièges du Congrès fédéral à Washington, DC.

Il faut bien comprendre que les républicains ne pourront jamais en reprendre le contrôle sans mettre préalablement un terme à la fraude.

Et aucun candidat à la fonction suprême ne pourra virer les démocrates de la Maison-Blanche en 2025 sans l’appui d’une majorité républicaine au Congrès. Trump a, d’ailleurs, annoncé qu’il ne se représentera en 2024 qu’à cette condition. Et cette condition se réalisera en 2022 si on restaure la fiabilité du scrutin. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, comment pourrait-il, à défaut, nourrir le moindre espoir de retour aux manettes ?

L’Occident s’est couché devant ceux qui rêvent d’un nouvel holocauste

Articles : Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Il fallait s’y attendre. Après le cessez-le-feu décrété entre Israël et le Hamas, ce dernier crie victoire et entend peaufiner son image de seul défenseur de la cause palestinienne.

Les scènes de liesse se propagent dans la bande Gaza, masquant l’écrasante défaite militaire subie par l’organisation terroriste, qui a perdu la quasi-totalité de ses infrastructures militaires offensives.

Un cri de victoire aussi provocateur que mensonger certes, mais qui trouve un écho favorable auprès de la population hiérosolymitaine, puisque c’est de l’esplanade des Mosquées qu’est partie l’étincelle qui a embrasé la région.

Un cri de victoire qui fait dire à la droite israélienne ultra que Netanyahu a capitulé face au Hamas, alors qu’il fallait l’anéantir à jamais. Un goût d’inachevé.

Soutenu par le camp occidental bien-pensant, le Hamas peut donc se vanter d’avoir gagné la partie au plan politique. La cause palestinienne délaissée par les pays arabes désireux de se rapprocher d’Israël pour affronter l’ennemi commun iranien a soudain repris des couleurs.

Le conflit israélo-palestinien mobilise à nouveau les foules, mettant en lumière la haine anti-Juifs qui couve dans les démocraties occidentales, soucieuses de faire allégeance à leurs minorités musulmanes dont l’antisémitisme viscéral n’est plus à démontrer.

En France, plus rien ne se décide sans tenir compte, non pas du peuple gaulois encore majoritaire, mais des minorités de plus en plus revendicatrices.

La façon dont Darmanin s’est  précipité à Rennes pour assurer la communauté musulmane de son soutien mielleux et de sa compassion servile, pour 3 tags peints sur une mosquée, illustre à merveille la pitoyable soumission de l’exécutif à l’islam. Nos gouvernants sont terrorisés.

Comme le dit Finkielkraut, l’Occident n’a que faire des Ouïghours en Chine, des chrétiens d’Orient persécutés, des femmes afghanes promises à la violence des talibans, des convulsions africaines ou de la guerre civile en Syrie. Un seul combat monopolise les foules et les médias occidentaux : défendre la cause palestinienne.

On notera que l’opinion se focalise sur les 200 morts à Gaza, sans jamais évoquer les 4 600 roquettes lancées à l’aveugle sur les populations civiles israéliennes, et qui auraient fait des centaines de morts si 95 % d’entre elles n’avaient pas été détruites par le Dôme de fer.

Qui, en Occident, évoque les boucliers humains qu’utilise le Hamas pour protéger ses installations militaires ? Ce n’est pas un hasard si 58 enfants gazaouis ont été tués. Le Hamas a toujours fait peu de cas de la vie des enfants, martyrs de la bonne cause.

Comme l’a dit si justement  l’ambassadeur d’Israël à l’ONU :

“Israël utilise des missiles pour protéger ses enfants, le Hamas utilise ses enfants pour protéger ses missiles”.

Tout est dit. Toutes les larmes du chœur des pleureuses occidentales ne sont qu’hypocrisie.

Le jour où le Hamas et son suzerain iranien reconnaîtront le droit à l’existence de l’État hébreu, le jour où le Hamas consacrera les aides internationales au développement économique de Gaza, au lieu de construire des tunnels et des sites lance-roquettes pour détruire Israël, un accord de paix durable sera possible.

En attendant, c’est le discours de haine anti-Juifs que cautionne l’Occident, oubliant sciemment que ce que veut le Hamas, c’est un nouvel holocauste.

Ceux qui en France voient un néo-nazi derrière chaque arbre sont les mêmes qui soutiennent les terroristes du Hamas qui nient la Shoah !

Et il paraît que nous vivons dans la patrie des droits de l’homme !

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

L’islam, c’est l’islamisme au repos, l’islamisme, c’est l’islam en action

Articles : Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Zemmour toujours droit dans ses bottes, face à ceux qui noient le poisson et évoquent le droit d’asile et autres absurdités pour justifier l’invasion migratoire. Et il ne tourne pas autour du pot sur l’islam. “L’islamisme, c’est l’islam en action !” Il fallait que cela fût dit un jour publiquement, par une voix qui portât assez loin. “L’islam, c’est l’islamisme au repos” tient bien sûr lieu de réponse en miroir, nous le répétons depuis suffisamment longtemps. Ainsi le constat est-il complet. Une phrase pour tout résumer. Tout.

Chantage aux migrants : une industrie qui rapporte gros. Les vautours sont au festin. http://www.place-armes.fr/post/ceuta-ce-chantage-aux-migrants-qui-s-appr%C3%AAte-%C3%A0-submerger-l-europe

INVASION et ISLAMISATION

Comment se faire piéger par nos propres règles ; les clandos ont vite compris, bande de bouffons ! “Le bon plan semble circuler allègrement au centre de rétention administrative (CRA) de Lesquin. Ces derniers jours, au moins trois étrangers sans papiers sur le point d’être reconduits dans leur pays ont réussi, pour l’instant, à échapper à l’expulsion. La recette ? Surfer sur le principe de précaution provoqué par la pandémie de Covid-19. Avant d’embarquer dans un avion, tout passager doit désormais produire un test PCR négatif récent.” https://www.lavoixdunord.fr/1008854/article/2021-05-21/refuser-un-test-pcr-permet-aux-etrangers-au-moins-de-retarder-l-expulsion

Moussa est bien gentil avec ses “frères”: https://www.fdesouche.com/2021/05/22/gerald-darmanin-accorde-une-derogation-aux-musulmans-de-france-pour-se-rendre-a-la-mosquee-avant-la-fin-du-couvre-feu-ramadan/