Publié le 17 novembre 2019 – par Cyrano (RL)
A une semaine d’intervalle, deux manifestations se sont déroulées dans les rues de Paris. La semaine dernière, à l’appel de cinquante personnalités, islamistes et gauchistes-collabos marchaient pour dénoncer l’islamophobie, et notamment la persécution que subiraient, dans notre pays, les femmes voilées.
Nous avons entendu « Allah akbar » dans les rues de Paris, ainsi que des slogans hostiles à Eric Zemmour, Zineb el Rhazoui ou Laurent Bouvet, ceux qui osent dénoncer l’islamisation de notre pays. Nous avons également écouté attentivement le Grande Gueule Anasse Kazib, co-organisateur de la manifestation, défendre les musulmans qui, dans l’entreprise, refusent de serrer la main aux femmes et exigent des salles de prières.
Nous avons également vu l’instrumentalisation scandaleuse de l’étoile jaune portée par les juifs, pour mettre en musique la propagande, vieille de trente ans, consistant à comparer le sort des juifs, dans les années 1930, à celle des musulmans.
Nous avons vu toute la gauche islamo-collabo dans ses basses oeuvres : Mélenchon et toute sa clique d’Insoumis, Plenel et Médiapart, Martinez et la CGT, Besancenot et NPA, Jadot et les écolos, la sénatrice aux trois nationalités Esther Benbassa, la LDH de Mario Stasi, la féministe Caroline de Haas, les LGBT, Jérôme Rodrigues, idiot utile des Gilets jaunes, joindre leur signature et leurs troupes à cette manifestation qui réclamait le retour du délit de blasphème et qui vantait les femmes voilées.
Sans vergogne, nous avons donc vu toute cette gauche tourner le dos aux traditions laïques françaises, faites de la défense de la liberté d’expression, du droit à la libre critique de tous les dogmes, donc de toutes les religions, et s’aplatir devant les islamistes du CCIF et Marwan Muhammad, à la manoeuvre. Sans doute grisé, ce dernier, après avoir fait scander « Allah akbar » dans les rues de Paris, pensait continuer à narguer la France, en allant signer son dernier livre à Magnanville, là où un de ses coreligionnaires avait assassiné deux policiers en leur domicile, devant leur enfant de trois ans. Ce coup-là, c’était un peu gros, et ils ont dû annuler l’initiative.
Et puis, ce dimanche, à 14 heures, depuis Denfert-Rochereau, il y avait donc la manifestation de Génération Identitaire. Aucun grand média n’en a parlé avant qu’elle n’ait lieu. Seuls quelques réseaux sociaux et quelques sites en ont fait la promotion. Même si elle fut particulièrement dynamique, elle n’a pas atteint, loin de là, le nombre de manifestants de la semaine dernière.
Ses mots d’ordre étaient sans ambiguïté, comme le sont, depuis des années, les actions de Génération Identitaire : non à la submersion migratoire, non à l’islam en Europe et en France, on est chez nous, la France aux Français.
C’était le cri de tout un pays, de tout un peuple, de toute une civilisation, qui ne veut pas mourir. Bien sûr, ils seront dénoncés par les médias, qui vont les qualifier de « racistes-fascistes-nazis ». On peut s’attendre à voir les belles âmes de gauche occuper les plateaux de télévision, et nous renvoyer dos-à-dos les Identitaires avec les plus radicaux des islamistes, expliquant qu’ils refusaient le vivre ensemble et l’unité du peuple français (le collabo Mélenchon est excellent dans ce registre).
Ces imposteurs, en 1940, auraient reproché à Jean Moulin d’avoir un discours de haine avec l’occupant nazi. Rappelons que les communistes et les gauchistes, au nom de l’internationalisme et du pacifisme, appelaient nos compatriotes à fraterniser avec les soldats allemands.
Et pourtant, ces deux France qu’on nous présente ne peuvent cohabiter. D’abord parce que le CCIF et les islamistes qui le soutiennent ne sont pas la France. Les musulmans qui les soutiennent ont sans doute la nationalité française, mais ils ne sont pas Français. La meilleure caricature est l’ineffable Indigène de la République Maboula Soumahoro, qui a crié sa haine à Alain Finkielkraut et à notre pays, tenant des paroles désormais célèbres : « Votre monde se termine, vous pourrez paniquer tant que vous voudrez, c’est terminé ! ».
http://www.fdesouche.com/1295227-maboula-so
Longtemps, seul Eric Zemmour osait dire que la guerre civile était inévitable, ce qui lui valait, bien sûr, les insultes et les menaces de ceux qui lui reprochaient, avec une rare malhonnêteté, d’en faire l’apologie.
Puis, il y a quelques jours, avec ses mots à lui, Jean-Paul Brighelli, dans un remarquable article, a dit à peu près la même chose.
L’économiste Charles Gave juge, dans une de ses vidéos, ne dit pas autre chose.
Au-delà de la sémantique (nous préférons le terme « Reconquista » ou « Guerre de reconquête), plus les jours passent, plus cette issue, que nous annonçons depuis dix ans, paraît inévitable. Pire, si elle ne se déclenche pas, cela sera pour la France le pire scenario : la conquête musulmane sans combat, par la soumission des Français résignés.
Avec le complicité de ces ordures de collabos, qu’on a vu manifester dimanche avec les envahisseurs, méritant la comparaison avec Laval, que Gilbert Collard a infligé à Mélenchon. Et tous les collabos, coupables de cette situation, n’étaient pas là, il manquait le PS, la Licra et BHL, entre autres.
Tous ces collabos méritent de subir le sort qui, de tous temps, a été réservé aux traîtres en temps de guerre, comme le disait fort justement Georges Clemenceau.
Il est encore temps de sauver la situation, en portant au pouvoir un gouvernement de salut public, qui mettra fin à l’invasion migratoire, à la conquête des soldats d’Allah, et fera la Grand ménage, qui sera certes coûteux, mais limitera quand même la casse.
Et 2022 sera notre dernière chance démocratique…