Le fondateur de Greenpeace dénonce l’escroquerie du climat !

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Publié le 22 mars 2019 – par Thierry Michaud-Nérard (Riposte Laïque)

Le fondateur de Greenpeace dénonce le canular mondial du réchauffement climatique anthropique ! Patrick Moore, cofondateur et ancien président de Greenpeace Canada, a décrit les machinations cyniques et corrompues des gouvernements en manque de projets politiques qui alimentent l’escroquerie intellectuelle et fiscaliste du réchauffement climatique d’origine humaine dans une interview au magazine Breitbart News.

Moore a expliqué comment les partisans du changement climatique ont su tirer parti et avantages de l’instrumentalisation de la peur et du mythe de la culpabilité artificielle de la propagande anti-diesel anti-CO2.

De tous temps, la stratégie de la peur a été utilisée pour contrôler les populations. Le coup foireux de Macron incompétent en politique, c’est le chantage des incapables : Moi ou la barbarie, Moi ou le chaos !

Pour faire accepter l’escroquerie du réchauffement climatique, le temps des charlatans a besoin de la propagande alarmiste pour créer la confusion dans les esprits et légitimer le racket fiscal anti-CO2. Le mythe de la catastrophe climatique est mis en scène par des campagnes médiatiques basées sur la peur. C’est ce qu’on appelle le terrorisme climatique en guerre contre un produit naturel indispensable à la vie : le CO2 !

Moore rapporte que les scientifiques sont cooptés et corrompus par les politiciens et les bureaucraties investies dans la propagande du changement climatique afin de centraliser davantage le pouvoir et le contrôle politiques. Depuis Al Gore et son grand « Mensonge qui dérange », les entreprises opportunistes soi-disant vertes parasitent les contribuables grâce à l’effet d’aubaine des réglementations absurdes et des subventions injustifiées si ce n’est par les menaces alléguées du changement climatique des propagandistes des médias.

Ainsi, les activistes du mouvement écolo-gauchiste révolutionnaire suscitent la peur dans le public et répandent des fausses nouvelles que rediffusent les médias. Tout ce petit monde vit grassement de la rente dorée que représentent les subventions massives au profit des politiciens verts et des scientifiques avec de l’argent du gouvernement pour créer la peur chez les gens. Moore rapporte que des scientifiques participent de leur plein gré au dogme réchauffiste, car ils vivent essentiellement des subventions gouvernementales.

Le mensonge du consensus de 99 % [parmi les scientifiques] qui partagent des convictions au sujet du changement climatique, c’est la meilleure explication de l’absence de toute preuve indiscutable. La science ne repose pas sur des opinions qui voudraient justifier des erreurs unanimement partagées.

Moore cite après bien d’autres (Claude Allègre et Serge Galam en France) la croyance générale que la Terre était au centre de l’univers. Quand Galileo a découvert que le soleil était au centre du système solaire et que la Terre tournait autour de lui, il a été condamné par la science des réchauffistes de l’époque.

Moore a conclu : Quand la superstition et une combinaison toxique de religion et d’idéologie politique prennent le dessus sur la science, il n’y a pas de vérité scientifique. C’est un canular absolu et une arnaque.

Régis Crépet : Non, le réchauffement climatique n’est pas évident pour une partie des scientifiques. Il a même marqué une pause depuis une quinzaine d’années. Dans ces conditions, le redémarrage à la hausse du réchauffement n’est pas plus probable que la poursuite quelques années encore d’un état stationnaire.

Le Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), ne doute pas que le réchauffement climatique contemporain est directement lié aux activités humaines et aux émissions de gaz à effet de serre. C’est un raisonnement qui ne se vérifie pas systématiquement à travers les chiffres. Dans ses différents rapports rendus publics, le Giec se base sur la corrélation des courbes d’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère depuis le début du XXe siècle et la hausse des températures planétaires mais sans jamais apporter la preuve du lien de cause à effet. Si la communauté scientifique admet que le réchauffement climatique « a été exacerbé par l’effet de serre d’origine anthropique », elle reconnaît que ce réchauffement a pu avoir une origine cyclique naturelle. Pour expliquer la pause du réchauffement climatique, des hypothèses sont émises telles la capacité des océans à absorber davantage de chaleur que prévu, le rôle des multiples éruptions volcaniques qui diffusent des aérosols dans la haute atmosphère et qui filtrent un pourcentage du rayonnement solaire ou la baisse d’activité du cycle solaire en cours depuis 10 ans. « N’oublions pas la variabilité naturelle du climat par cycles depuis bien avant notre ère contemporaine », rappelle Régis Crépet.

Malgré la version officielle émise dans les conclusions du Giec, il subsiste de grandes inconnues. Et si tout cela reposait sur une énorme erreur d’interprétation de cause à effet ? Si le réchauffement climatique n’était en définitive qu’un cycle naturel tel que la planète en a connu bien avant notre époque industrielle ?

Régis Crépet souligne que les cycles naturels de la planète liés aux phénomènes extérieurs (cycles solaires notamment, ou encore variation de l’orbite terrestre) auraient sur les changements climatiques une influence nettement supérieure à celle d‘origine anthropique. Depuis Al Gore et son grand « Mensonge qui dérange » et ses 6 mètres d’élévation du niveau de la mer : réalité 1,7 mm par an ! Les relevés altimétriques par satellite (projet Topex-Poséïdon) révèlent que l’élévation globale fut quasi nulle au cours du XXe siècle. L’élévation du niveau des océans serait ainsi comprise entre 17 cm et 59 cm (Giec) à l’horizon 2100. Selon la NOAA-GISS, la hausse des températures mondiales serait proche de +0,2°C seulement à l’horizon 2100.

L’alarmisme climatique est la plus grande fraude scientifique. Walter Cunningham, astronaute d’Apollo 7, critique sévèrement la position des alarmistes climatiques. L’alarmisme climatique est la plus grande fraude dans le domaine de la science et la revendication d’un consensus à 97 % est absurde ! Je n’ai pas trouvé une seule des revendications alarmistes qui ait une base solide en quoi que ce soit. Si on s’en tient à l’hypothèse réchauffiste, pas une théorie, mais une hypothèse, ils dénoncent des niveaux de CO2 anormalement élevés pour faire peur aux gens par de pures absurdités et des vœux pieux de la part d’alarmistes qui recherchent de plus en plus à se faire de l’argent sur le dos des contribuables. Il faut savoir qu’en ce moment, le CO2 et la température sont simultanément à l’un des niveaux les plus bas des derniers 600 à 800 millions d’années. C’est pourquoi, il dénonce l’alarmisme climatique comme la plus grande fraude du domaine scientifique !

Marc Mennessier : Le Giec n’est pas le garant de la vérité scientifique. Le géophysicien Vincent Courtillot répond à la pétition des climatologues (grassement subventionnés). 400 chercheurs spécialistes du climat se sont plaints des accusations mensongères portées contre eux par les climato-sceptiques !

Le professeur Vincent Courtillot, directeur de l’Institut de physique du globe à Paris, nommément mis en cause, a accepté de répondre à ces accusations. Je suis attaqué de manière profondément fausse et choquante. Je partage cet honneur avec Claude Allègre qui n’a pas besoin de moi pour défendre son point de vue. Si une partie de nos conclusions sur la question de l’origine du réchauffement climatique sont proches, il a ses arguments et ses méthodes et moi les miens. Je me bornerai à répondre aux accusations explicitement portées contre moi comme celle de porter des accusations mensongères à l’encontre de la communauté des climatologues ! Il faudrait d’abord définir qui sont ces climatologues ! Jean Jouzel et Hervé Le Treut sont des spécialistes de géochimie et de modélisation numérique. Ils confondent (volontairement ?) leur communauté avec le Giec. C’est lui dont je critique le mécanisme. Je maintiens que même avec les scientifiques les plus nombreux, un système de ce type ne garantit en rien de dire, à un moment donné, la vérité scientifique.

Celle-ci ne peut pas être le résultat d’un vote démocratique ! Un seul avis contraire peut être exact. Le Giec ne peut décréter la vérité officielle soi-disant scientifique qu’avec un consensus illusoire d’opinions sans preuve scientifique. Mais, jusqu’à nouvel ordre, il n’y a pas de censure idéologique en sciences ! La meilleure manière de critiquer nos résultats scientifiques n’est pas d’envoyer une pétition (aux généreux dispensateurs de riches subventions) mais de soumettre par les mêmes voies des articles pour publication. Comme l’écrit mon collègue physicien Jean-Marc Lévy-Leblond, le fait que les signataires jugent nécessaire de faire appel aux pouvoirs politiques et administratifs pour étayer (justifier) leurs positions revient à reconnaître le manque d’indépendance qui leur est reproché par leurs adversaires, ce qui obère la fiabilité des travaux du Giec !

Moralité, avec l’escroquerie du réchauffement climatique, le temps des charlatans est de retour !

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