Une vidéo du meurtre du jeune homme de 28 ans poignardé à Lyon circule sur les réseaux sociaux

Ce mardi 5 mars, un jeune homme de 28 ans a été retrouvé poignardé chez lui à Lyon. Le journal Le Progrès ainsi que des proches révèlent avoir reçu la vidéo du meurtre diffusée sur le réseau social Facebook.

Les autorités appellent les internautes à ne pas relayer la vidéo. Ce mardi 5 mars, le journal Le Progrès révélait avoir reçu via les réseaux sociaux une vidéo montrant le meurtre d’un jeune homme de 28 ans perpétré à La Croix Rousse à Lyon. La police a elle-même été informée par un proche de la victime après qu’il ait également reçu la vidéo. Sur place, les sapeurs-pompiers ont découvert le corps du jeune homme allongé sur le sol, pieds et poings liés. Il a été poignardé à huit reprises dans le dos.

D’après Le Progrès, le meurtre aurait été filmé par l’un des protagonistes. Le fichier “aurait été envoyée depuis Lyon vers Mostaganem, en Algérie, puis aurait été transférée via la messagerie, en France, dans le Var et le Rhône”. Le parquet de Lyon a ouvert une enquête pour meurtre avec actes de tortures en bande organisée.

Alors qu’une deuxième victime et les auteurs du crime sont activement recherchés, la vidéo serait encore visible sur le réseau social Facebook. La police locale a déjà appelé les internautes à ne pas regarder la vidéo, à ne pas la partager et à ne pas réagir dans le cadre du protocole Pharos, la plateforme d’harmonisation, d’analyse, de recoupement et d’orientation des signalements.

La voici telle que diffusée par
Démocratie Participative

Gilets jaunes acte 17

Direct depuis le terrain grâce aux reporters indépendants !

  • Gilets jaunes, acte 17. Pour le dix-septième épisode de la mobilisation du mouvement contestataire, un “acte décisif” est promis apr Eric Drouet et d’autres leaders. A l’approche de la fin du grand débat, il semblerait que les gilets jaunes souhaitent se réinventer.
  • À Paris, plutôt que les habituelles manifestations du samedi, il est prévu un “sitting” au Champs-de-Mars durant tout le week-end. Par ailleurs, on note un appel au rassemblement surprise à Roissy-Charles de Gaulle.Un projet de manifestation serait également prévu, ce samedi, partant des Champs-Elysées.
  • En province, Bordeaux, Toulouse et le Puy-en-Velay semblent partis pour être de nouveaux des points chauds des gilets jaunes.

DIRECT 1 :

DIRECT 2 : https://www.facebook.com/brutofficiel/videos/334695160497959/?notif_id=1552038459635866&notif_t=live_video

ARCHIVE 1 : https://www.facebook.com/AlexGiletjaunes2018/videos/254001558877622/UzpfSTEwMDAxNDg5MzYzODkyNTo1NjA5Nzk3MjEwNzUxNDQ/

Barbarin condamné, mais pas touche au prophète de l’islam…

Source Riposte Laïque.

Le cardinal Barbarin a été condamné à 6 mois de prison avec sursis dans l’affaire du prêtre pédophile Bernard Preynat. Les catholiques, les Français, sont divisés sur cette condamnation. Une minorité désapprouve totalement. Une majorité, dont je suis, salue cette décision.

Qu’a fait le Cardinal Barbarin ? Pas grand chose… il n’a rien fait. Et c’est justement ce qu’on lui reproche : il a agi par omission. C’est dans le droit pénal : non-dénonciation d’infraction, et… dans le catéchisme, dont se réclame le cardinal Barbarin  : on pèche par action, par pensée ou par omission.

Le cardinal Barbarin n’a pas mesuré la gravité des faits. Il les a signalés au pape en 2014 mais pas à la justice. Ses prédécesseurs aussi sont coupables, car les agissements du Père Preynat étaient connus de l’Église depuis 1991, date d’une première dénonciation de l’une de ses soixante dix-victimes. On pense que le cardinal Barbarin était au courant depuis 2010.

Pour les victimes, laissées sans défense aux mains du P. Preynat, et dont la vie a été brisée par ses agissements, cette absence de mise à l’écart du prédateur, cette absence de reconnaissance de leur souffrance, leur immense solitude alors que l’Église devait prendre soin d’eux et éloigner les prédateurs, est inqualifiable. Tout cela sous prétexte d’épargner l’institution, qui en sort davantage flétrie.

Le cardinal Barbarin a fait ce qu’il fallait faire : il a à nouveau présenté sa démission au pape. Il serait bien d’aller un peu plus loin, et de renoncer à faire appel. Il faut accepter la justice des hommes. Un appel rouvrirait les plaies.

Ce procès va, on l’espère, secouer l’Église de manière salutaire : désormais les actes des pervers, violeurs ou pédophiles, devront être, dès qu’ils sont connus, dénoncés à la justice. Que ces prédateurs sachent qu’ils seront sur le champ exclus de l’Église. Cela pourrait les dissuader.

Bien sûr, il faudrait en amont exercer un meilleur discernement sur les entrées au séminaire et ne pas recruter de personne ayant des penchants pervers…

Au-delà de cette salutaire condamnation, un vaste champ est ouvert. Ce n’est pas seulement l’Église qui doit impérativement faire le ménage, c’est aussi le pouvoir politique, et bien sûr l’islam. Car il est bien facile de condamner le cardinal Barbarin d’un côté et de l’autre de fermer les yeux sur ceux dont les actions sont bien plus graves.

Parmi nos politiciens, certains se sont rendus coupables des mêmes faits, ou ont montré les mêmes penchants, sans qu’aucun frein n’y soit mis. Tout le monde connaît l’attirance de Daniel Cohn-Bendit, député européen, qui a failli devenir ministre de l’Écologie de Macron, pour les petites filles défaisant sa braguette. Tout le monde a entendu parler du tourisme sexuel de Jack Lang ou de Frédéric Mitterrand. D’autres sont encore à débusquer. Il faudrait leur enlever toute parcelle de pouvoir.

Et que dire de l’islam ?… C’est vrai, on n’a plus le droit de parler de cette question depuis l’affaire d’Élisabeth S-W condamnée par la CEDH (mais l’appel est en cours.) Dire ce qu’il en est en islam semble désormais interdit.

Pourtant cette religion doit également faire un ménage conséquent chez elle. Adorer un prophète qui a épousé une fillette de 6 ans pour la déflorer à 9 ans est confondant, pour nous, Occidentaux. Promouvoir de ce fait, comme le fait l’islam, le mariage le plus tôt possible et bien sûr sans consentement en imitation du « beau modèle », ne peut que nous interroger, si on en a encore le droit.

Qu’est-ce qui est ainsi légitimé, auquel on donne un statut, et dont on ne peut faire état ?… C’est mille fois pire que ce qui se passe dans l’Église. Car dans l’Église ces actes, loin d’avoir un statut, à mille lieues d’être inscrits dans les textes religieux, sont normalement sanctionnés, même s’il y a de terribles couacs. La question, dans l’Église, peut être soulevée, et des plaintes déposées. En islam, impossible.

Les textes islamiques sur le sujet semblent être légion, mais non, non, ils n’encouragent pas des actes non consentis entre un majeur et un mineur… Qu’il suffise de citer d’abord le Coran, sourate 65-4, qui parle évidemment du mariage de filles prépubères, puisque même si elles n’ont pas eu leurs règles, il leur faut attendre trois mois de viduité avant de se remarier après répudiation.

En islam, le mariage selon certains « savants » peut être conclu dès le berceau, et la discussion entre deux « savants » pour savoir si un bébé peut supporter ou non la pénétration est écœurante :https://www.youtube.com/watch?v=JNEH0bI6lUk

Selon Boukhari, les pères peuvent donner leur fille en mariage dès le berceau : (Ibn Battâl dans son Explication du Sahih d’al’Boukhâri p. 172-173)

L’imam Khomeiny dans ses fatwas justifiait qu’un homme puisse éjaculer entre les cuisses d’un nourrisson : https://islamlab.com/lhorrible-fatwa-pedophile-de-khomeiny-depuis-son-propre-livre/

Dire et faire connaître la vérité ne peut faire de mal à personne, seul le mensonge est une nuisance.

Le Coran et les autres textes musulmans doivent être expurgés des textes normalisant toute perversion. Les imams faisant des prêches en ce sens doivent être mis en prison, ou expulsés sans espoir de retour. Toutes les dispositions doivent être prises pour que ce scandale cesse. Le mieux évidemment étant de ne pas autoriser l’islam en France tant qu’il ne se sera pas réformé.

On ne peut pas faire deux poids, deux mesures : on ne peut pas condamner (à juste titre) ce qui se passe dans l’Église sans condamner ce qui se passe dans l’islam et qui est, si on peut établir une échelle dans le mal, encore plus grave, choquant les non-musulmans, sauvage, barbare, et tout à fait contraire à l’ordre public.

Sophie Durand

Églises profanées et vandalisées : le silence « monacal » du pouvoir

Source “Boulevard Voltaire”


La semaine dernière, une stèle commémorant l’ancien emplacement de la synagogue de Strasbourg était endommagée. Avant tout résultat d’enquête, on criait au loup antisémite. Pour apprendre, une semaine après, que l’acte était accidentel… Devra-t-on, désormais, parler d’antisémitisme accidentel pour éviter le ridicule à toutes les bonnes âmes qui s’émeuvent par réflexe au moindre graffiti ?

Dimanche dernier, la prestigieuse basilique Saint-Denis, nécropole des rois de France, subissait des dégradations : grand orgue endommagé, des vitraux brisés. Cela n’a rien à voir, mais rappelons qu’il y a quelques mois, la basilique avait subi l’outrage de migrants, soutenus par l’extrême gauche, qui avaient manifesté dans le sanctuaire comme dans la rue. Comme dans la rue où l’on casse les vitrines, dans l’église on casse des vitraux ! Mercredi, c’est un lieu de culte catholique plus modeste, l’église paroissiale de Reichstett en Alsace, qui a subi des dégradations : un vitrail centenaire brisé, des portes forcées, des vitres cassées. Des inscriptions à caractère satanique à la craie ont été retrouvées sur les murs de l’église. BFM TV, ce vendredi, rappelait qu’en 2018, 90 % des dégradations d’édifices religieux concernaient des bâtiments chrétiens : 878 exactement. Les statisticiens auront beau jeu d’expliquer que cette proportion est normale car (pour l’instant) les lieux de culte les plus nombreux en France sont chrétiens, et principalement catholiques.

Notons, tout de même, que le ministre en charge des Cultes, Christophe Castaner, ne semble pas avoir l’émotion compulsive sur Twitter qu’on peut lui connaître par ailleurs. Pas le moindre tweet ministériel pour condamner de la façon la plus ferme ces actes ignobles et inadmissibles dans une République qui assure à toutes et à tous la liberté de croire ou de ne pas croire. Des actes, qui, croyez le bien, ne resteront pas impunis, etc. Enfin, vous connaissez la chanson… Il est vrai qu’on ne connaît pas encore leurs auteurs et qu’il faut se garder de toute précipitation et surtout d’amalgame, n’est-ce pas. Une marche vespérale à la lumière des bougies n’est donc pas appropriée. Et puis, il se peut aussi que le ministre ait usé son crédit mensuel de superlatifs et d’hyperboles et finisse par être à court.

Cela dit, Christophe Castaner est tout excusé, quand on écoute les propos plutôt lénifiants du président de la Conférence des évêques de France, Mgr Pontier, archevêque de Marseille. Interrogé par Le Point, la semaine dernière, sur la série de profanations d’églises dans le pays, le prélat se voulait rassurant. Et quand des politiques, comme Ciotti, dénoncent une « cathophobie qui gagne tous les milieux et conduit à des violences », l’archevêque répond benoîtement : « Je ne vois pas quels faits permettent à ces politiques de tenir un tel discours. » Vu comme ça, effectivement… Comme disait le prophète Jérémie, « ils ont des yeux mais ne voient point ».

En un temps lointain, on ferma et transforma en parc à fourrage les églises. Bien longtemps après, un certain clergé up to date voulut en faire des lieux de vivre ensemble enrubannés de papier crépon où l’on se regardait le nombril plutôt que de regarder le bon Dieu. Puis, donc, aujourd’hui, le retour des vandales. Et pire que tout : le temps de l’indifférence. Grande pitié des églises de France, pour reprendre le titre d’un livre de Barrès !

La panique de Laurent Ruquier, dans la rue, face à un youtubeur, est jouissive…

Ruquier n’a pas d’humour… la preuve par 9 !

Bah dites-donc, il manque sérieusement d’humour, le p’tit Ruquier, quand il n’est pas aux manettes de son émission du samedi soir !

C’est qui Ruquier ?

Non mais des fois… « Y a pas » que des navets comme « Plus belle la vie » à la télé, il y a aussi de grands moments audiovisuels, notamment chaque samedi en fin de soirée, avec le merveilleux « talk-show » de France 2, payé très cher avec nos sous, et baptisé « on n’est pas couché », précisément mené par le grand manitou du service public… Laurent Ruquier soi-même.

Et pour ceusses qui s’y rendraient pour la première fois, Ruquier, c’est le petit crétin à lunettes qui tressaute stupidement à chacune de ses blagues, qu’il trouve tellement géniales qu’il n’en peut plus… et auxquelles le public, trié sur le volet (un peu comme celui des rencontres avec Macron vous voyez ?) fait écho en s’esbaudissant, ainsi que les VIP invités, également sur le même moule, et gare à ceux qui n’emploieraient pas le politiquement correct…