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#webtube : Si Poutine parle ainsi de la France, c’est parce que Macron a trahi sa confiance en 2022. Parler de paix avec le Tsar tout en livrant dans son dos nos canons Caesar à Zelensky, ça ne pouvait que se terminer par l’humiliation de la grande table. Depuis, Macron, qui a la rancune tenace, est le plus belliciste de la bande... Les mêmes qui nous disent que l’armée de Poutine est à bout et piétine dans le Donbass après plus de 1200 jours de guerre agitent l’épouvantail d’une invasion russe en Europe. Un peu de cohérence et de décence ne seraient pas de trop !
Ce ne sont pas les missiles russes qui planent sur la France, mais l’immigration de masse qui nous entraîne par le fond et l’islam intégriste qui s’oppose frontalement à la République et noyaute tous les secteurs de la société afin d’imposer sa propre loi. Les mini-califats se multiplient partout dans le pays, sans la moindre réaction des élites. Soumission totale.
Les Frères musulmans n’ont jamais pratiqué de taqîya, ils annoncent la couleur.
“Avec vos lois démocratiques, nous vous coloniserons. Avec nos lois islamiques, nous vous dominerons”, déclarait leur maître à penser Al-Qaradawi.
Au lieu de nous bassiner avec leur russophobie maladive, nos responsables politiques seraient mieux inspirés en relisant la tribune des généraux de 2021. La vraie menace est bien là, un péril majeur que le pouvoir refuse obstinément de voir et de nommer.
Quand les 3/4 des jeunes musulmans placent leur religion avant la loi républicaine, on voit mal comment la France pourrait mener une guerre avec un peuple où deux communautés ne partagent pas le même avenir. C’est le côte à côte avant le face-à-face, disait Gérard Collomb. Voilà un danger autrement plus grave que la menace russe.
Certains ont oublié la mutinerie de 1999 à bord du porte-avions Foch, quand une soixantaine d’appelés musulmans ont refusé de participer à la mission de bombardement du Kosovo musulman.
D’autres ont oublié que des soldats français musulmans ont refusé d’aller combattre en Afghanistan, contre un peuple frère parce que musulman.
Mais on préfère agiter une imaginaire menace russe plutôt que de combattre un islamisme qui tisse quotidiennement sa toile avec la bénédiction d’un État complice, qui prétend que l’intégration est réussie et craint par-dessus tout un embrasement des cités.
Dans un discours surréaliste, le chef d’état-major des armées, le général Thierry Burkhard, nous dresse un tableau apocalyptique du monde actuel. Comme si la géopolitique n’était pas un chaudron en ébullition permanente. Inutile de faire peur aux Français avec des menaces hypothétiques, alors que la désintégration de la nation annonce des lendemains tragiques. Le général Burkhard enfonce des portes ouvertes à l’international mais passe sous silence le péril majeur que représente l’islam politique en France. En fait, toutes ces menaces égrenées par le général n’ont rien de bien nouveau.
– Israël en guerre depuis 1948, c’est malheureusement une tragédie permanente ;
– L’Iran des mollahs, principal artisan du terrorisme depuis 1979, ce n’est pas un scoop ;
– Les deux Corée en guerre larvée, cela dure depuis 1953 ;
– La question taïwanaise est sur le tapis depuis 1949 et Pékin va la régler.
Je trouve donc assez sidérant que le général Burkhard, censé préparer la nation aux périls futurs, n’ait pas prononcé une seule fois les mots immigration et islamisme, autrement plus graves pour le peuple français que les tensions internationales.
C’est pourtant un discours politique qu’il nous a servi sans s’attarder sur l’état de nos armées, lesquelles sont réduites à leur plus simple expression.
Quand on parle de guerre en Ukraine, de conflits au Proche-Orient, de tensions en Indo-Pacifique, du terrorisme, de l’espace et de la cyberguerre, des fonds marins, des trafics et du crime organisé, de la puissance de l’information et même du changement climatique, mais sans évoquer le tsunami migratoire et l’islam radical qui sont en passe de disloquer la nation, on se fait le supplétif des mondialistes, à 180° de l’alerte lancée par la « tribune des généraux ».
Avec l’Ukraine, le pouvoir fait diversion et détourne l’attention des véritables menaces qui pèsent sur le pays. Ce qu’il faut retenir, en fait, c’est le cri d’alarme des militaires en 2021 :
« L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent. »
« Aujourd’hui, certains parlent de racialisme, d’indigénisme et de théories décoloniales, mais à travers ces termes c’est la guerre raciale que veulent ces partisans haineux et fanatiques. Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture, et veulent le voir se dissoudre en lui arrachant son passé et son histoire. »
Voilà un discours de vérité autrement plus crédible que la menace russe. Nos généraux évoquent les seuls dangers mortels intérieurs, que Macron évacue depuis toujours. Il met toute son énergie à attiser les braises contre Moscou.
Il oublie que la Russie a été notre alliée en 14-18 et a détruit 80 % de l’armée allemande en 1945. Sans les Russes, aucun débarquement allié n’aurait été possible.
Le général Burkhard déclare :
« À l’horizon 2030, la Russie constituera une vraie menace à nos frontières »
« L’objectif de Vladimir Poutine étant d’affaiblir l’Europe et démanteler l’Otan »
Voilà qui ne manque pas de sel !
Rappelons qu’en 1990, Gorbatchev souhaitait intégrer l’Europe et même l’Otan. Les Occidentaux lui ont dit non.
Rappelons que l’Otan est passée de 16 à 32 membres depuis 1990. Contre qui ?
Rappelons également que c’est la CIA qui a renversé le régime pro-russe en place à Kiev pour y installer un régime inféodé à Washington.
Rappelons que malgré la fin de la guerre froide, les Américains ont maintenu leur arsenal nucléaire dans 5 pays européens. Contre qui ?
Enfin, qui a refusé d’appliquer les accords de Minsk de 2015, qui auraient permis d’éviter la guerre ? Poutine ou bien le trio belliciste Kiev, Paris et Berlin ?
En réalité, c’est l’Otan qui n’a cessé de menacer la Russie et de resserrer l’étau autour de ce pays.
Le général Burkhard ajoute que la guerre en Ukraine, le terrorisme iranien ou l’espionnage chinois sont des crises qui menacent la cohésion nationale.
Non, mon général. Ce qui menace la cohésion nationale c’est avant tout l’islam conquérant et l’échec de l’intégration, deux fléaux que vous avez prudemment évacués.
Sur l’issue de la guerre en Ukraine, vous savez parfaitement que nul ne peut vaincre la Russie, pas même les États-Unis qui ont 20 ans de retard technologique sur Moscou. Trump, après ses rodomontades ridicules ne peut donc que se plier à la volonté de Poutine.
Enfin sur l’état de nos forces, « avec un modèle d’armée complet « , le général Burkhard se fait très discret. Où en sommes-nous après avoir liquidé nos stocks d’armements au profit de Kiev pour mener une guerre ingagnable ?
En quittant ses fonctions, le général Pierre de Villiers avouait qu’avec seulement 5 000 hommes engagés sur la durée au Sahel, l’armée française était à l’os. Cannibalisation des matériels, parfois vieux de quarante ans, relèves des personnels et entraînements difficiles, les opérations Serval et Barkhane ont été un casse-tête pour les états-majors.
Par conséquent, avec une armée de 200 000 soldats sans aucune expérience de la guerre de haute intensité, j’ai bien du mal à écouter les discours bellicistes d’Emmanuel Macron, qui laisse encore planer le rêve d’une défaite russe. Est-ce bien sérieux ?
Ni la France, ni le Royaume-Uni, ni l’Allemagne, ni la Pologne ne peuvent tenir tête à l’armée russe, beaucoup plus puissante aujourd’hui qu’en 2022. L’industrie russe produit davantage de munitions que l’Otan. À quoi bon s’acharner et poursuivre l’hécatombe ?
« Si le point de sortie de la guerre en Ukraine est une victoire de la Russie, ce sera une défaite européenne », prévient le général Burkhard.
C’est exact. Et comme la Russie ne perdra jamais cette guerre, tout acharnement thérapeutique pour sauver l’Ukraine est totalement inutile.
L’Ukraine est un problème russe, Taïwan est un problème chinois, la question coréenne concerne Pyongyang et Séoul, tous ces conflits ne sont pas les nôtres.
La France n’a qu’un seul ennemi : l’islamisme qui œuvre à notre perte.
Seul Israël, que les mollahs et autres entités terroristes veulent rayer de la carte, mérite tout notre soutien. La France de 2025, ruinée et trop faiblement armée, n’a plus les moyens de peser sur l’échiquier international, sauf à œuvrer pour la paix.
Ce que Macron n’a pas su faire avec Poutine.
Pour conclure, je crois vraiment que la probabilité d’un engagement de l’armée française contre la Russie est proche de zéro. Tandis que le risque d’une guerre civile est bien réel. Mais le pouvoir fait le choix criminel de mentir aux Français.
Encore une fois, c’est la tribune des généraux qui est dans le vrai.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque