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#webtube : La guerre civile au quotidien s’ajoute à la spoliation des Français de ce qu’ils ont déjà payé et qui donc leur appartient. Ainsi l’État et ses prétendues « valeurs de la République » ne sert plus qu’à nous voler et à nous laisser massacrer. Plus rien ne justifie que nous lui accordions notre confiance, notre argent et le futur de nos enfants, dans aucune de ses institutions.
La semaine dernière j’ai dû me rendre en Lorraine pour des obsèques. J’ai donc réglé les péages de ces autoroutes déjà payées par nos impôts (Montpellier-Nancy). Une heure de stationnement à l’hôpital de Nancy coûte 4,50€, soit environ 30 francs de notre ancienne monnaie. Pourtant cet hôpital avec son parking a aussi déjà été payé par nos impôts. Mis à part le gavage éhonté des politiciens, le fauteuil du gros goitreux Larcher au prix exorbitant et les subventions pleuvant comme vache qui pisse sur les associations gauchistes et immigrationnistes, les millions donnés à Zelensky pour faire la guerre à la Russie – notre alliée des deux guerres mondiales – on se demande où passe notre argent tandis que les fermetures d’entreprises se multiplient et que les Français de souche sont de plus en plus nombreux à devenir pauvres.
Dans cette jolie Lorraine, où j’ai rencontré des gens fort sympathiques, vient de se produire l’une de ces agressions devenue si dangereusement banales que beaucoup de gens n’y font même plus attention, tandis que d’autres préfèrent ignorer les informations. À Uckange, dans cette Moselle que nos glorieux Poilus avaient eu tant de mal à reprendre aux Boches, des individus – devinez lesquels – ont organisé une attaque* un peu à la manière des westerns, sauf que là c’était « en vrai ». Ni la première du genre, ni la dernière sans doute. Ils ont empêché un autobus de circuler, le conducteur a appelé un contrôleur. À peine arrivé, celui-ci a été attaqué sauvagement par une dizaine d’individus, plaqué à terre et roué de coups au visage. L’intention de tuer est là évidente. Deux semaines d’incapacité totale de travail pour lui, qui ne faisait justement que son travail.
L’exploitant des transports urbains annonce que la zone concernée ne sera plus desservie, sans limitation de durée. Une bonne manière de faire comprendre que tout n’est pas permis aux habitants de l’endroit. Mais cette mesure pourrait n’avoir que peu de portée. Les habitants de Gaza ne se débarrassent pas du Hamas qui, après avoir semé le vent, leur fait récolter la tempête. Comment des parents dont les enfants se comportent en barbares feraient-ils mieux ? Quelle éducation leur ont-ils donnée ? Ils vont se déplacer à pied et protester contre les transports urbains que leurs descendants s’appliquent à empêcher de travailler, pire encore agressent avec volonté de tuer. Au bout d’un temps, des élus de gôche prétendront que ces gens sont discriminés, hurleront au racisme (tiens pourquoi donc ?) et exigeront la reprise de la desserte de la zone. Tout recommencera comme avant. Jusqu’à la prochaine fois.
Parmi ces habitants se trouvent malheureusement encore des gens ordinaires, des travailleurs qui se lèvent tôt, qui paient des impôts afin que l’État entretienne des millions de ces parasites qui, eux, ne travaillent pas, sont assistés, et en plus leur gâchent la vie à longueur de temps. S’ils vont se plaindre à la police, on leur répond qu’ils n’ont qu’à changer de quartier. Facile à dire quand on a une adresse justement située dans un « mauvais quartier » dont les autres ne veulent pas hériter. Parce qu’il faut bien savoir que les individus coupables de ces exactions en commettent d’autres, c’est leur style de vie : tapages nocturnes, rodéos dangereux, boîtes à lettres et caves dégradées, vente de drogue, provocations verbales et physiques, ascenseurs sabotés, poubelles et voitures brûlées, etc.
Qui paie à chaque fois ? Il y a vraiment là de quoi désespérer de travailler. Ainsi le travail, l’une des valeurs fondamentales de toute société civilisée, est-il une fois de plus dévalorisé au profit d’un « vivre-ensemble » qui n’est que pure chimère et d’un laisser-aller généralisé conduisant à la ruine.
Pendant ce temps, les flics multiplieront les procès envers ceux qui fumeront devant les écoles, sur les plages ou dans les parcs. Il faut dire que ce sujet est de première urgence ! Protéger nos enfants et nos anciens, assurer la sécurité des gens qui travaillent, déloger les squatteurs, arrêter les voleurs de métaux, supprimer les points de vente de drogue, intercepter les trafiquants d’armes ou protéger les exploitations agricoles ne sont pas les priorités sécuritaires de l’État français. Ses dirigeants sont décidés à laisser se développer la ruine de la France et des Français, la guerre civile jusque dans les endroits les plus éloignés des métropoles peuplées de gauchistes citadins, à laisser s’amplifier le chaos pour justifier toujours plus de mesures coercitives contre le peuple de souche et au bénéfice des envahisseurs. Il faut que cela soit dit.
Daniel Pollett, Riposte Laïque