. Les gauchistes veulent m’empêcher d’organiser une soirée festive parce que je fus candidate R!

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Articles : Juin 2025Mai 2025 – Avril 2025Mar 2025
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#WEBTUBE : Je tenais à partager avec vous ma consternation et mon calvaire, en espérant que cela puisse trouver écho auprès des médias. Depuis une semaine, je subis un harcèlement insupportable sur les réseaux sociaux, orchestré par une personne que je suspecte d’être probablement mélenchoniste. Tout a commencé parce que j’organisais une soirée disco dans ma commune de 1450 habitants pour célébrer le premier anniversaire du Journal de Coësmes (Groupe Facebook), avec l’aide d’une vingtaine de bénévoles et d’un DJ professionnel. Notre but est d’animer notre petite commune et de créer du lien social, échanger sur le quotient, l’éducation, etc. Ce journal a été créé et rattaché à l’association Coësmes et ses diversités ayant pour but de créer des animations autour de nos centres d’intérêt à tous. Mireille Bleivas

Cependant, un groupe d’activistes de gauche a reconnu mon profil d’ancienne candidate à la députation pour M. Zemmour et déverse sur moi une haine d’une violence inimaginable. Ils menacent d’interdire ma soirée, affirmant vouloir « en découdre » avec moi. Il ne se passe pas un jour sans qu’ils inondent la toile du web en déversant une haine de nous tous. Je tiens à rappeler que notre groupe est composé de diversité : agriculteur, assistante de cuisine, garagiste, chauffeur routier, retraités, responsable de services, pompiers, etc.

Face à cette situation alarmante, j’ai dû me rendre à la gendarmerie pour porter plainte en compagnie de l’ancienne première adjointe qui a démissionné de la mairie il y a quelques mois. Heureusement, ma plainte a été prise très au sérieux, et les forces de l’ordre m’ont assuré qu’elles effectueraient des rondes le soir du vendredi 27 juin. Nous avons apporté à leur connaissance des dizaines de copies d’écran de leurs posts haineux. Mais cet état de fait soulève des questions troublantes sur la liberté d’expression et le droit à l’exister pour des citoyens lambda comme moi.

Ce monde devient fou. Je ne fais actuellement partie d’aucun parti, car depuis deux ans j’ai enfilé une blouse d’infirmière pour soutenir mon mari atteint d’une maladie auto-immune et dialysé six jours sur sept. Cette situation est suffisamment éprouvante sans avoir à faire face à un harcèlement aussi violent. Devrais-je prendre ma carte chez LFI pour avoir le droit de vivre ? On peut se poser la question…

Créer l’association « Coësmes et ses diversités » représente pour moi un moyen d’apporter un peu de lumière et de joie dans nos vies souvent grises. Pourtant, même cette initiative semble être menacée par des individus qui refusent notre droit à nous rassembler et à célébrer.

J’envisage également d’organiser une grande journée Octobre Rose en octobre, en collaboration avec des médecins. Mais j’entends déjà les objections et moqueries des gauchistes à ce sujet, alors qu’eux-mêmes ont besoin d’un meilleur accès aux soins.

J’appelle donc à la communauté médiatique à relayer mon histoire. Ma mésaventure illustre un problème plus large : nous, petits citoyens, n’avons même plus le droit d’exister sans être attaqués. Pensez à nous, défendez-nous, car je ne suis probablement pas la seule dans cette situation.

Au moment où je vous écris je n’ai aucune idée de comment la soirée va se dérouler.

Mireille Bleivas, Riposte Laïque