. L’immigration sous-qualifiée plombe la croissance française de 100 milliards par an

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Articles : Juin 2025Mai 2025 – Avril 2025Mar 2025
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#WEBTUBE : L’immigration richesse pour la France, la grande arnaque. Ce n’est un secret pour personne, la France est le pays d’Europe le plus impacté, avec la Belgique, par une immigration de masse qui nivelle la société par le bas.

Laissons de côté le lien insécurité-immigration, que la gauche continue de nier alors que Jack Lang reconnaissait il y a déjà bien longtemps que les 2/3 de nos détenus sont musulmans.

Laissons de côté l’expansion continue de l’islam dans la société, avec les 3/4 de nos jeunes musulmans qui placent leur religion avant la loi républicaine.

Laissons de côté l’effondrement de l’école républicaine, alors que Luc Ferry déclarait sans détour :

« Si on supprimait les 15% de quartiers pourris qu’il y a en France, avec des établissements dans lesquels il y a 98 nationalités et où on n’arrive pas à faire cours, et bien nous serions classés numéros 1 dans Pisa ! »

Consacrons-nous uniquement au coût démentiel de l’immigration, que l’État s’est toujours refusé à chiffrer, connaissant très bien la réponse accablante pour le portefeuille des contribuables.

Car ce n’est pas une immigration de cerveaux que nous accueillons chaque année, mais une majorité d’illettrés, sans diplôme ni qualification. Quant aux diplômés arrivant en France, leur niveau de qualification dépend de leur pays d’origine. Certaines équivalences de diplômes sont justifiées, d’autres non.

Évidemment, pour le think tank progressiste Terra Nova, l’immigration est le salut de la France. Il nous faut 250 000 à 300 000 immigrés de plus chaque année pendant vingt ans.

Mais pour l’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID), le discours est totalement différent. L’immigration plombe la croissance, la compétitivité et le budget français.

« L’immigration entretient un cercle vicieux qui nuit à l’emploi et à l’économie française : elle aggrave les problèmes structurels de l’emploi en France, dégrade les comptes publics et pénalise indirectement les secteurs exposés de l’économie ».

Quelques chiffres

– 62,4 % des immigrés en âge de travailler ont un emploi, contre 69,5 % pour les natifs. C’est le pire chiffre de l’OCDE avec celui de la Belgique. L’immigration dégrade donc le taux d’emploi en France ;

– De plus, la ségrégation volontaire des communautés immigrées nuit à leur intégration sur le marché du travail ;

– La part des jeunes issus de l’immigration nés en France, qui ne sont ni en emploi, ni en scolarité, ni en formation, est de 24 %. Le pire chiffre de l’OCDE avec la Belgique ;

– Cette faiblesse du taux d’emploi s’explique par une forte proportion de l’immigration familiale, la part de l’immigration du travail étant très faible ;

– La productivité par tête, qui dépend du niveau de qualification, est radicalement plus faible chez les immigrés que chez les natifs ;

– 31 % des immigrés de 30 à 40 ans n’ont aucun diplôme. Soit trois fois plus que chez les natifs ;

– Des études précises ont montré que le niveau des immigrés titulaires d’une licence obtenue dans leur pays d’origine est souvent moindre que celui d’une personne titulaire d’une licence obtenue en France ;

– les immigrés sont surreprésentés dans l’hôtellerie, la restauration, la sécurité, la construction, des secteurs captifs à l’abri de la concurrence internationale. Mais dans les secteurs innovants réclamant une forte compétitivité, les immigrés sont faiblement présents. Par conséquent l’immigration n’améliore pas la compétitivité des secteurs qui en ont besoin ;

– le patronat réclame sans cesse des immigrés, solution de facilité et de court terme alors que des millions de chômeurs sont en recherche d’emploi ; 

– Cette immigration sous-qualifiée, donc peu payée, coûte plus cher en social que sa contribution au PIB 

– Selon l’OCDE, l’immigration ne finance que 86 % de ce qu’elle coûte à l’État. Plus pauvre et avec un taux d’emploi inférieur, l’immigration sous-qualifiée pèse sur la dépense sociale.

Conclusion

Le coût de cette immigration sous-qualifiée se solde par une perte de  de richesse égale à 3,4 % du PIB.

Si les immigrés possédaient le niveau de qualification des natifs et affichaient le même taux d’emploi, le PIB serait majoré de 3,4 % (plus de 100 milliards) et les recette fiscales gagneraient 1,5 point de PIB (45 milliards).

Certes, l’immigration n’est pas la seule cause de notre faillite, mais elle y contribue fortement depuis que nous avons ouvert les vannes à toute la misère du monde.

Car ce déficit chronique de croissance, voilà plus de 30 ans que nous le finançons par l’emprunt. Avec 3400 milliards de dettes et 70 milliards d’intérêts qu’il faut payer annuellement à nos créanciers, nous sommes entrés dans l’emprunt perpétuel, qui nous mène inexorable au naufrage du bateau France.

Quand un pays emprunte toujours plus pour payer des intérêts toujours plus élevés, la catastrophe est proche. La France totalement abandonnée par des élites irresponsables finira sous la tutelle du FMI, c’est inéluctable.

(source des chiffres Figaro)

Jacques Guillemain, Riposte Laïque