. « La France vogue comme un bouchon dans l’océan »

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°° WEBTUBE : Semaine sainte pour les chrétiens et encore une montée au Calvaire pour les Français qui commencent à trouver lassant cet acharnement de nos politiques, à croire, comme le dit Syclams, que « la France n’est pas dirigée. Elle vogue comme un bouchon sur l’océan, au gré des courants et des vents, sans perspective, sans mire ».

Entre un ancien ministre qui voudrait savoir « quel goût à le c** de Donald Trump » et un ministre des Affaires qui lui sont de plus en plus étrangères recevant pathétiquement l’émissaire des États-Unis, la France, une fois encore, se vautre dans le ridicule. Pour Alesia, Roselyne Bachelot « croit sans doute “faire peuple” en étant vulgaire », et pour Lupini, « ce genre de calcul relève en fait d’un mépris social et d’une prolo-phobie assez abjecte ». Quant à Jean-Noël Barrot face à Marco Rubio, c’est, comme le dit Alfred Germain, « la puissance américaine contre la faiblesse française, encore un épisode de la nouvelle pièce de théâtre de Macronie Les Précieux ridicules » A celui qui, dans un lapsus révélateur, recommandait de « plutôt que de regarder la paille dans l’œil de son voisin, regardons la poutre qui est dans le nôtre », Philippe Pierre 69 rétorque à « M. Barrot, [qu’] à [son] niveau ce n’est plus d’une poutre dont il s’agit, mais de la charpente entière ! Et les tuiles sont en cours de livraison. »

À ce sujet — Roselyne Bachelot veut savoir « quel goût a le c** de Donald Trump »

Ce ne sont pourtant pas les exemples de politiques fortes qui manquent ! Milei et Meloni qui défient les prophéties catastrophistes de la gauche en sont de bons représentants et comme le remarque Ray1349, normalement, avec « 3 300 milliards de dette accumulés par les politiques économiques de gauche appliquées depuis 40 ans. On baisse la tête et on se tait… » Mais en France, comme le dit Baalzack « la réalité est un leurre pour eux, seule vaut celle qu’ils fabriquent. » Jean-Paul Ledoux suggère qu’Elisabeth Borne qui avait promis d’être attentive à la politique de Mme. Meloni, devrait plutôt « être plus attentive au dérapage de nos finances publiques que plus personne ne sait contrôler. »

Pour combler les abysses de la dette publique, les idées foisonnent dans les têtes pensantes de notre République. Taxons les « gueux » et taxons les « vieux » ! L’idée n’est pas si mauvaise puisque comme le remarque Patrick Sinclair, « tondre un vieux c’est facile et sans conséquence, il ne va pas aller défiler dans les rues et tout casser. » Le problème, comme le dit Lily, sera pour ceux qui seront déclarés « coupables d’être vieux, en plus [d’être] Gueux, qu’est-ce que [ça] va douiller ! » Sans compter qu’entre autres bonnes idées, voilà que le système de la Sécu risque d’être revu et de ponctionner encore et toujours plus les mêmes. « Autrement dit, remarque Bruno, ce sont ceux qui cotisent le plus qui seront les moins protégés. Cherchez l’erreur. Si ça continue, quand on composera le 15, le 17 ou le 18, il faudra commencer par balancer sa déclaration de revenus avant d’annoncer le motif de l’appel. » Pour Ratiboizeur tout cela ressemble au « concours Lépine des mesurettes, pour augmenter les recettes et sans doute les impôts, plutôt que de commencer par faire de vraies économies. Le château brûle, mais ils repeignent les cabinets au fond du jardin. » Ne vous inquiétez pas, braves gens, ils ne font pas que repeindre les cabinets, ils planchent sérieusement sur des solutions pérennes et l’euthanasie pourrait régler à la fois le problème des vieux et celui de la Sécu ! D’ailleurs pour François47 « Macron devrait proposer une loi (ou mieux, prendre un décret) instituant que désormais tout travailleur partant à la retraite se voit offrir une piquouze gratuite en guise de cadeau de départ. Ça aurait un double avantage : d’une part régler ce problème d’euthanasie et… mettre tout le monde d’accord pour voter pour la retraite à 85 ans… » Là voilà la solution, d’une pierre tombale deux coups !

Il y a quand même bien là de quoi trembler puisqu’ « il n’y a de jour où l’Etat ne nous enlève une liberté au prétexte fallacieux de “ notre bien ” » remarque Lucide 42. De toute façon pour Sidonie33, « des convictions de papier, la girouette comme guide », dans ce marasme, peut-on encore croire à une résurrection française ?

Boulevard Voltaire