Articles : Sept 2024 – Aout 2024 – Juil. 2024 – Juin 2024 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr
°° WEBTUBE : La France a enfin un nouveau Premier Ministre. Pour autant, le plus dur reste à venir. Et pour cause : La France en septembre 2024 c’est : Une dette publique de 3 200 milliards d’euros, un déficit public qui devient incontrôlable, numéro un mondial des dépenses publiques (57,3%), des dépenses sociales (31,6%) et des prélèvements obligatoires (46%), des indices INSEE du climat des affaires et de confiance des ménages en zone de contraction de l’activité, chute de 1,9 % de la production industrielle en 3 mois, plongeon de 3,3 % des exportations en juillet, déficit de la balance courante…
Enfin, la France a sollicité un délai supplémentaire pour l’envoi de son plan de réduction du déficit public à Bruxelles, initialement attendu pour le 20 septembre. Dans ce cadre, de nombreuses questions se posent : Quelles perspectives pour le déficit public et la dette en 2024 et 2025 ? Déjà en roue libre depuis 2023, pourquoi le déficit public français est devenu incontrôlable ? Où peut-on faire des économies ? Que regroupent les dépenses de fonctionnement ? Pourquoi, depuis 2010, 90,9 % du déficit public provient de l’Etat et des administrations centrales ? Quelles mesures est-il possible de prendre pour sauver l’économie française ? Est-il possible de réduire le déficit public de 70 Mds d’euros en une année ? Quelles stratégies pour protéger notre épargne ? Question de la semaine : L’Etat français peut-il ponctionner l’épargne des citoyens ? Quelle est la bonne nouvelle de la semaine ? Réponses à toutes ces questions et à bien d’autres dans cette vidéo, graphiques et tableaux explicites, pédagogiques et réalisés sans trucage à l’appui… PS : une petite erreur s’est glissée dans le slide 9. Voici les bons chiffres de la répartition de la dette publique française : 83,4 % pour l’Etat et administrations centrales, 8,1 % pour les collectivités locales et 8,5 % pour les administrations de sécurité sociale. Merci pour votre compréhension