. Monsieur le Maire d’Aurillac, vous êtes responsable du chaos survenu dans votre ville !

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#webtube : Aurillac, commune du Cantal qui, autrefois, évoquait l’Auvergne profonde, avec ses mystères et ses paysages époustouflants modelés par une force géologique inouïe, a donc été le terrain de jeu des fanatiques ultragauchistes amoureux de la haine, à commencer par celle de soi. C’est donc dans cette ville, porte d’entrée des monts du Cantal, et où l’on constate souvent des records de froid, que des hordes crasseuses habillées en noir ont mis littéralement le feu.

Les événements se sont déroulés à l’occasion du Festival international de théâtre de rue, dans la nuit du 20 août dernier, date anniversaire du saccage de l’église Saint-Joseph, dans le 11e arrondissement de Paris, par des anarchistes, c’est-à-dire les dignes ancêtres des antifas et autres fanatiques rouge sang qui ont transformé Aurillac en enfer. « 38 ans que je le connais ce festival, j’ai jamais vu un débordement comme ça », a confié un cafetier. Mais il y a 38 ans, c’était un autre monde, monsieur. Aujourd’hui, c’est le règne du chaos, orchestré en sous-main par de sombres volontés qui veulent en finir avec le monde d’hier pour lui substituer un nouvel ordre apatride.

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/jamais-vu-un-debordement-comme-ca-raconte-ce-commercant-au-coeur-des-affrontements-en-marge-du-festival-d-aurillac-2068017

Les violences survenues à Aurillac étaient donc à l’image de celles que la France connaît désormais depuis plusieurs années, entre les hordes diversitaires et celles de l’ultragauche, marchant main dans la main pour détruire notre pays. « Anti France », a d’ailleurs tagué un émeutier à Aurillac. Un autre a hurlé : « Je veux casser la France ! » Tout un symbole !

https://www.europe1.fr/emissions/L-interview-de-7h40/festival-daurillac-je-veux-casser-la-france-la-reponse-dun-emeutier-a-pierre-mathonier-769749

Tout ça parce qu’un individu avait été appréhendé par les forces de l’ordre alors qu’il était en train de taguer la devanture d’une banque. C’est à ce moment que ses petits camarades de destruction sont entrés en action, eux qui cherchaient un prétexte et l’ont ainsi trouvé. Car ces hordes étaient préparées et elles ont pu pénétrer dans le périmètre du festival sans fouille, ou alors une fouille très sommaire. Nous sommes loin des Gilets jaunes de la première heure à qui on demandait parfois de baisser leur pantalon pour vérification. Ces mêmes Gilets jaunes aux yeux crevés, tandis qu’aucun membre des Black Blocs ayant ravagé Aurillac n’a subi de blessures. Il ne faudrait pas abîmer ces enfants de bourgeois qui seront les maîtres de demain, c’est certain !

La rue étant à eux, selon leurs affirmations récurrentes, un Festival international de théâtre de rue ne pouvait qu’être envahi par ces ultragauchistes, et il est étonnant que la sécurité n’ait pas été pensée dans ce sens. Déjà en 2023 – sans parler des années précédentes où il posait déjà problème –, lors de ce même festival, des heurts violents s’étaient déroulés, rien de comparable toutefois avec la nuit du 20 août. Qu’il est loin le temps où le jeune Jean-Baptiste Poquelin allait voir les spectacles de rue de son époque, sur le Pont-Neuf à Paris, et qui inspirèrent le futur Molière. La seule inspiration aujourd’hui, c’est le feu. Un feu financé à hauteur de quelques millions d’euros d’argent public au passage, car ce festival est politiquement très suspect, qui attire la horde ultragauchiste comme le sucre attire les guêpes. Un festival qui apporte son soutien très actif à la Palestine, ce qui le situe idéologiquement :

https://ripostelaique.com/festival-daurillac-milo-rau-militant-suisse-pro-palestinien-un-choix-plus-politique-quartistique.html

Aussi, au lendemain du chaos, les protestations du maire socialiste d’Aurillac, Pierre Mathonier, sont-elles tragi-comiques : « On ne peut pas laisser ces black blocs aux discours anarchistes casser notre ville et notre festival. » Mais mon brave monsieur, c’est vous et vos amis qui avez créé ces monstres, tout comme le docteur Frankenstein avec sa créature qui lui a échappé. Vous pleurez en réalité sur les conséquences de vos actes, vous et vos semblables qui n’avez eu de cesse de promouvoir le fanatisme ultragauchiste, le choyant et le subventionnant, tandis que trois malheureuses représentations de Murmures de la Cité vous font tous hurler de rage, et au cours desquelles il n’y a eu aucun débordement. Autre public, autre éducation.

Alors, oui, par votre idéologie – en rappelant que toute la logistique de ce festival est assurée par la mairie que vous dirigez –, vous êtes responsable de ce qui s’est produit dans votre ville, Monsieur le Maire de gauche d’Aurillac. Non monsieur, on ne peut pas « vivre ensemble » avec tout le monde, contrairement à ce que vous croyez, et vous en avez eu la preuve ce 20 août.

Les policiers blessés, les dizaines de milliers d’euros de dégâts, la réputation déplorable de la ville d’Aurillac après un tel coup de force, et qui va peut-être se faire ressentir l’année prochaine avec une baisse de fréquentation estivale, tout cela c’est l’œuvre de la gauche, qui sévit depuis trop longtemps dans l’Éducation et la Culture, et génère des abominations dévastatrices dont on vient encore d’avoir un exemple criant.

Trois cents fanatiques d’ultragauche ont donc réussi en toute impunité – car on ne nous fera jamais croire qu’on ne pouvait pas les neutraliser en amont – à mettre en scène leur spectacle de rue favori : le chaos.

Aussi, le seul conseil à donner aux commerçants et habitants agressés par ces hordes, c’est de se défendre la prochaine fois, et pas seulement à Aurillac : partout où l’ultragauche et la diversité veulent nous détruire, nous devons leur opposer la force, puisque de force publique il n’est point.

Pauvre Cantal, qui n’a plus rien à voir avec les souvenirs de Pierre Besson se remémorant un pâtre avec qui il partagea un temps le labeur avant de devenir instituteur : « Je crois l’entendre encore me raconter, à la lueur incertaine du foyer, sa vie rude et primitive. Toute la montagne vivait en lui, semblait parler dans son rauque patois, dans sa voix mâle et forte, dans ses gestes expressifs » (Pierre Besson, Un Pâtre du Cantal).

Cyrano, Riposte Laïque