. La gauche prétend organiser une journée d’action le 10 septembre

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#webtube : Les éléments qui ont refusé de s’engager dans le mouvement des Gilets Jaunes dans sa phase violente (novembre/décembre 2018) — marxistes et les syndicats du système en tête — font mine de vouloir en découdre le 10 septembre prochain. Bien après les vacances car le théâtre révolutionnaire, en France, n’a jamais lieu lors des congés payés. En lisant les noms, on sait déjà que le ministère de l’Intérieur y a les mains jusqu’aux coudes.

La CGT, les complices du Parti communiste de Roussel, préparent activement cette opération de communication en vue des présidentielles de 2027… Que ces mois qui nous séparent des élections vont nous paraître longs !

Rappelons aux moins informés que la CGT a été fondée en 1895, il y a donc 130 ans. Si ce machin était révolutionnaire, nous le saurions depuis longtemps.

Avec 650 000 adhérents sur 25 millions d’actifs français, la CGT représente 3% des actifs du pays. Plus de 60% de ses membres sont des fonctionnaires.

Chaque année, cette structure marxiste perçoit des sommes considérables du gouvernement français, ainsi que des versements de la part du patronat en échange du contrôle qu’elle exerce théoriquement sur les crétins qui y sont affiliés.

Elle est également assise sur un patrimoine immobilier considérable dont l’usage est discrétionnaire.

Saviez-vous que la CGT, via l’Union des syndicats CGT de la RATP, possédait le Château de Fontenay-lès-Briis (*) , dans l’Essonne ? 75 hectares, terrains de tennis, mini golf, etc., mis à la disposition exclusive des défenseurs du prolétariat de la RATP qui sèment régulièrement le chaos par des grèves lors des grandes fêtes ou évènements populaires.

Le peuple a interdiction de savoir ce qui s’y passe, qui y va, et pour quoi faire.

La CGT règne sur un vaste réseau de centres de vacances, de campings, de propriétés diverses dont la gestion est secrète, par décision de l’État.

Si vous prétendiez faire la même chose, vous finiriez en prison.

Le rôle joué par la CGT depuis des années est ambiguë . Elle est couverte au plus haut niveau, et d’abord par le patronat qui en arrière plan s’appuie sur les communistes et coordonnent avec eux de pseudo troubles sociaux lorsqu’il faut donner le change.

Typiquement quand la plèbe est mécontente.

Ses cadres ne font pas dans la charité. Permanents ou responsables de haut niveau, ils bénéficient d’avantages énormes par rapport à un salarié classique :

  • Détachement ou mise à disposition : ils sont détachés par leur employeur (souvent dans le secteur public) pour exercer des fonctions syndicales à plein temps, avec maintien de leur salaire et de leurs droits (retraite, ancienneté).
  • Indemnités : Les responsables confédéraux peuvent recevoir des indemnités pour leurs fonctions, mais les montants exacts ne sont pas publics.
  • Formation et réseau : Les cadres ont accès à des formations syndicales et à un réseau influent, ce qui peut offrir des opportunités professionnelles ou politiques.
  • Protection juridique : En tant que représentants syndicaux, ils bénéficient d’une protection contre le licenciement et d’un statut renforcé dans les négociations.

Les puceaux gauchistes ne font pas le poids face à ces structures éprouvées par un siècle de “combines”, rompues à toutes les ficelles du jeu politico-médiatique républicain.

Le gouvernement entend bien racketter le peuple cet automne pour financer cet État en faillite, et pour cela rien de tel qu’une agitation anarcho-marxiste mobilisant tous les “pue-la-pisse” du pays.

Face aux inévitables images de violences perpétrées dans les rues par des black-blocks sans répression crédible du ministère de l’Intérieur envers eux, le gouvernement appellera l’opinion à faire preuve de sagesse et de responsabilité en soutenant son budget en préparation au parlement, expliquant que l’alternative serait l’anarchie et le communisme.

L’extrême-gauche, plus chauffée à blanc que jamais, expliquera à une opinion déjà excédée par la charge écrasante de l’impôt que la solution est au contraire de l’accroître phénoménalement, de “taxer les riches” (tous les pelés qui gagnent plus de 2000 euros par mois), pour réaliser l’utopie multiraciale planétaire.

De quoi faire passer Macron et Bayrou pour des amis des contribuables.

Le 10 septembre est une arnaque, un simulacre, et nous allons pouvoir compter tous les idiots utiles pour jouer leur rôle.

Source : D.P.

(*) Qui finance ce chateau ? L’argent des personnes syndiquées ? Le contribuable ?

Le financement du Château de Fontenay-lès-Briis, propriété de l’Union des syndicats CGT de la RATP depuis 1937, repose principalement sur les fonds du Comité social et économique (CSE, ex-comité d’entreprise) de la RATP. Voici les détails basés sur les informations disponibles :

  1. Fonds du CSE de la RATP : Le CSE reçoit une subvention annuelle de la RATP, équivalant à environ 2,3 % de la masse salariale de l’entreprise, soit plusieurs dizaines de millions d’euros par an (83 millions d’euros mentionnés dans un rapport de 2011). Ces fonds, alloués par la direction de la RATP, servent à financer les activités sociales et culturelles du CSE, y compris l’entretien et l’exploitation du château. Cette subvention provient des revenus de l’entreprise publique, qui incluent les recettes des billets et des financements publics, ce qui implique indirectement une contribution du contribuable.
  2. Cotisations syndicales : Les cotisations des salariés syndiqués à la CGT-RATP ne financent pas directement l’entretien du château, car celui-ci est géré par le CSE, pas par le syndicat lui-même. Cependant, la CGT, majoritaire au CSE, influence la gestion des fonds, et une convention entre le CSE et l’Union des syndicats CGT assure que l’entretien du domaine est pris en charge par le CSE. Cela a suscité des critiques, notamment de l’UNSA, qui pointe une opacité dans la gestion et une confusion entre les intérêts du syndicat et ceux du CSE.
  3. Contribution du contribuable : Étant donné que la RATP est une entreprise publique financée en partie par des subventions de l’État et de la région Île-de-France, une partie des fonds alloués au CSE (et donc au château) peut être considérée comme provenant indirectement des contribuables. Un rapport de la Cour des comptes de 2011 a critiqué la gestion du CSE, notant que les dépenses pour le château, comme les fêtes annuelles coûtant 447 000 euros, étaient financées par ces subventions, sans toujours bénéficier à l’ensemble des salariés.
  4. Autres revenus : Le château génère des revenus via des locations pour des événements privés (mariages, séminaires) ou des activités comme la fête annuelle du CSE. Cependant, le rapport de la Cour des comptes a pointé des irrégularités, comme des recettes en liquide non contrôlées (50 000 euros entre 2007 et 2010) et des facturations abusives, suggérant une gestion financière opaque.
  5. Situation récente : Depuis 2023, le château est fermé aux promeneurs, et un autre syndicat, majoritaire au CSE, juge son exploitation trop coûteuse (300 000 euros par an pour l’entretien minimal, incluant gardien, jardinier et chauffage hors gel). Malgré un bail obligeant l’entretien jusqu’en 2030, le maire de Fontenay-lès-Briis indique que la CGT ne souhaite pas vendre et envisage des projets touristiques, ce qui pourrait diversifier les sources de financement.

Conclusion : Le château est principalement financé par les subventions du CSE de la RATP, alimentées par les revenus de l’entreprise publique, ce qui inclut une part indirecte des contribuables. Les cotisations syndicales ne semblent pas directement impliquées, mais la gestion par la CGT a été critiquée pour son manque de transparence. Aucun élément récent ne contredit ces informations, mais la situation financière reste tendue en raison des coûts d’entretien élevés.

(Source : IA Grok)