. Un monument à la mémoire d’une jeune Italienne violée et assassinée par un migrant régulièrement profanée : un acharnement insensé

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#webtube : Le monument en hommage à Pamela Mastropietro, une jeune Romaine victime d’un viol et d’un meurtre particulièrement sordides, a été à nouveau saccagé. Un vandalisme qui défie l’entendement et qui n’est malheureusement pas un cas isolé.

Le 30 janvier 2018, à l’âge de 18 ans Pamela Mastropietro était droguée, violée et poignardée par Innocent Oseghale, un Nigérian clandestin trafiquant de drogue. Son corps, minutieusement nettoyé à la javel, était découpé en morceaux stockés dans deux bagages laissés à l’abandon sur le côté de la route, près de Macerata dans le centre de la péninsule.

Au cœur de la place Re di Roma, un banc peint en rouge dédié à sa mémoire était installé. Ses amies affichaient une bannière « Tu nous manques infiniment, mais tu es encore là ! » Sur un arbre, des fleurs, quelques photos et des prières ornées de la figure de Jésus Christ venaient rappeler sa vie, son sourire, la jeune fille qu’elle était. Mais pour quelque raison insensée, ces hommages ont été encore une fois vandalisés : la bannière a été arrachée et jetée au sol, comme les fleurs et les photos accrochés à l’arbre et sur le banc, son nom a été rayé pour l’effacer.

Un acharnement ignoble dont on peine à comprendre les motivations et qui a fait réagir la mère de la jeune fille, Alessandra Verni :

« Je suis profondément fatiguée et déçue. Chaque acte de vandalisme est un coup porté au souvenir, à la lutte pour la justice et à l’espoir d’un monde meilleur. » 

Une mère qui continue de se battre pour obtenir justice et voir tous les complices de l’assassin de sa fille derrière les barreaux, contrairement au procureur du Parquet général d’Ancône qui a classé l’affaire tout en sachant que deux autres traces ADN étaient présentes sur le corps de la victime et que, selon l’enquête des carabiniers, deux ressortissants gambiens pourraient être liés au meurtre ou au viol de Pamela. Et contrairement aux juges qui ont déjà ordonné la libération des deux Nigérians Desmond Lucky et Lucky Awelima, inculpés pour trafic de stupéfiants, complicité de meurtre et dissimulation du corps de la jeune fille. 

Le nom de Pamela effacé

La bannière des amies de Pamela a été arrachée

Alessandra Verni s’en est naturellement émue sur les réseaux, mais n’entant pas baisser les bras :

« Ces actes d’intimidation et d’outrage ne m’arrêteront pas ! La mémoire de Pamela et de tous ceux qui ont été injustement frappés mérite d’être honorée et respectée.

Faisons entendre notre voix ! Ensemble, nous pouvons éveiller les consciences et œuvrer pour un changement. Ne laissons pas l’indifférence prévaloir. La mémoire est une lumière qui ne doit pas s’éteindre.« 

Un outrage inconcevable pour les honnêtes gens – surtout au vu du calvaire enduré par la victime – et qui n’est pas sans rappeler celui de la plaque commémorative dédiée à la mémoire de Sohane Benziane, la jeune fille de 17 ans brûlée vive par Jamal Derrar dans un local à poubelles de la cité Balzac, à Vitry-sur-Seine. Les profanations étaient si récurrentes en bas de la tour HLM, qu’il avait été nécessaire de la déplacer…

Ces outrages ne sont malheureusement pas l’apanage des complices moraux des assassins, ceux qui voudraient occulter une réalité qui commence à faire décidément beaucoup de victimes. Un an après sa mort, l’ « artiste » piémontais Andrea Villa insultait lui aussi Pamela en la mettant en scène, dans le plus pur style gauchiste, sous les traits de la vierge Marie tenant dans ses bras son assassin en place et lieu de l’enfant Jésus.

Bref, gare à vous faire violer et massacrer par un ou plusieurs immigrés, on viendra vous haïr jusque dans la tombe…

Audrey D’Aguanno

Breizh-info.com