. Jean-Michel Trogneux lance des poursuites aux USA contre Candace Owens… Et après ?

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#webtube : Jean-Michel tente un pathétique contrefeu médiatique avec l’aide de la médiocre presse française pour tenter de faire croire qu’il est une femme. En prenant l’initiative des poursuites aux USA, il devra prouver qu’il est une femme. Cela implique de passer un test médical en Amérique sous la supervision de la justice... On peut toujours rêver.

Le Parisien :

Un jackpot « made in USA », comme seule la justice d’outre-Atlantique sait en produire. Aux États-Unis, Emmanuel et Brigitte Macron pourraient réclamer jusqu’à 50 millions de dollars à la polémiste Candace Owens, dans le cadre d’une procédure judiciaire engagée à son encontre.

Candace Owens, influenceuse ultraconservatrice américaine et ancienne égérie de la chaîne Fox News, est suivie par plus de 6,9 millions d’abonnés sur X et 4,5 millions sur YouTube. En mars 2024, dans un épisode de son podcast intitulé « Becoming Brigitte », elle a relancé la théorie complotiste selon laquelle la femme du président français serait un homme.

Quel rapport avec un “complot”.

C’est une enquête, largement sourcée, pas l’hypothèse d’un “complot”.

Production de documents, interviews à charge, insinuations biologiques : l’épisode devient viral, avec plus de 2,3 millions de vues. Face à ce regain d’intensité médiatique, Emmanuel et Brigitte Macron décident de porter l’affaire devant les tribunaux.

Justement, en parlant de tribunaux, pourquoi “Le Parisien” ne dit pas que les tribunaux français viennent justement de débouter Jean-Michel ?

Bien que le montant réclamé n’ait pas été officiellement précisé, les juristes que nous avons pu interroger estiment qu’il pourrait atteindre des dizaines de millions de dollars, en cumulant les dommages compensatoires, en réparation du préjudice moral, les dommages punitifs, servant à établir une sanction exemplaire, et les frais juridiques et dommages-intérêts accessoires.

« S’il est établi que Candace Owens a monétisé la diffamation de Brigitte Macron dans une logique commerciale, les dommages punitifs pourraient être vertigineux », confirme Jared Kaplan, avocat et professeur de droit au Georgetown University Law Center.

Le 23 juillet, le cabinet Clare Locke LLP, expert en diffamation, a déposé sa plainte de 218 pages auprès de la Cour supérieure du Delaware, État où Candace Owens a enregistré ses structures médiatiques. Vingt-deux chefs d’accusation sont retenus : diffamation, atteinte à la vie privée par insinuation, préjudice moral intentionnel…

« Madame Owens a sciemment diffusé une théorie du complot fausse et sans fondement, dans l’intention manifeste d’humilier madame Macron, de lui infliger une détresse émotionnelle, et d’en tirer un profit économique substantiel », écrivent les avocats des plaignants.

La plainte documente l’ampleur du harcèlement : menaces de mort, courriers anonymes à l’Élysée, attaques visant les petits-enfants du couple présidentiel. Le texte qualifie l’ensemble de « campagne globale d’humiliation », et liste des allégations « farfelues, diffamatoires et tirées par les cheveux », dont des accusations d’inceste, de vol d’identité, de complot, ainsi qu’un « harcèlement mondial et systémique ».

lol

En droit américain, les parties civiles doivent démontrer ce que l’on appelle la « actual malice ». Ce terme juridique fait référence à la volonté consciente de nuire en répandant une rumeur qu’on sait fausse. La plainte du couple présidentiel souligne que Candace Owens a été avertie, par mise en demeure, à trois reprises du caractère diffamatoire de ses propos (en décembre 2024, avril et début juillet 2025).

“Être avertie” ne veut rien dire en droit.

Cela veut seulement dire que Jean-Michel a exigé que Candace se taise, rien de plus.

Si c’est “diffamatoire”, il faut le prouver.

Les tribunaux français viennent de conclure que ça ne l’est pas.

« Madame Owens a eu de multiples occasions de vérifier les faits ou de retirer ses déclarations, insiste Thomas Clare. Au lieu de cela, elle a redoublé d’ardeur. Ces mensonges ont créé d’énormes dommages sur les Macron. »

Candace Owens n’a pas tardé à réagir sur son compte X sur lequel elle se présente comme une victime. « Je ne me laisserai pas réduire au silence par un gouvernement étranger. Nous sommes en Amérique. » Ses avocats devraient plaider la protection du Premier Amendement, qui garantit une très large liberté d’expression.

Le procès sera scruté. Il interroge la capacité des dirigeants à se défendre contre des campagnes de désinformation internationales, à l’ère numérique. Ce processus pourrait durer des mois, voire des années. La prochaine audience préliminaire est prévue à Wilmington le 17 septembre.

En quoi est-ce de la désinformation ?

Au contraire, c’est une enquête.

Candace Owens devra répondre, sous serment, aux 22 chefs d’accusation retenus dans la plainte. La Maison-Blanche, pour sa part, garde un silence prudent. En coulisses, Washington observe : jamais un président en exercice d’un pays allié n’avait ainsi défié, sur le sol américain, les nouveaux géants de l’influence.

Jean-Michel prenant l’initiative des poursuites aux USA, il devra prouver qu’il est une femme. Cela implique de passer un test médical en Amérique sous la supervision de la justice.

Jean-Michel ne le fera sans doute pas…

Il a déjà refusé les tests psychiatriques pourtant nécessaires dans les cas de “cyber harcèlement”.

La série #BecomingBrigitte devient virale en Chine.

Bravo, @EmmanuelMacron

Lu dans D.P.