. Le Hamas prend le pouvoir dans l’Université, Macron et Bayrou laissent faire

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°° WEBTUBE : Le grignotage des « temples du savoir » tenus en principe de respecter la laïcité et la neutralité n’est pas nouveau. Entrisme. Phagocytage. Blocages. Banalisation des propos antisémites. L’islam s’impose. Mais il est « déconseillé » d’en parler si on veut faire carrière dans l’enseignement ou les médias.

Ainsi le livre de l’anthropologue Florence Bergeaud-Blackler paru en mai 2023 « le frérisme et ses réseaux » a été ignoré dans un silence honteux par la plupart des médias mainstream.

Florence l’effrontée dénonçait publiquement ce que les opérateurs de terrain savent depuis au moins trois décennies. Mais sont obligés de taire sous peine de perdre leur emploi. De se faire tabasser. Et s’ils se rebiffent, d’être condamnés pour racisme par une justice dont de nombreux magistrats ont depuis longtemps choisi leur camp.

Dans les facs devenues fabriques de chômeurs, les assassins du Hamas et du Hezbollah sont des super-héros. Leurs émules exigent l’application de la charia à l’Université comme dans n’importe quelle enclave étrangère conquise. Multipliant provocations, intimidations, occupations de locaux. Interdictions de cours et de débats, violences physiques. Et menaces de mort tolérées quand des islamistes les profèrent.

Un universitaire chassé en plein cours de son amphi par une bande d’islamo-gauchistes, ce n’est pas nouveau. Mais celui-là proteste et dénonce la passivité de ses collègues et des pouvoirs publics.

Université de Lyon-2, premier avril 2025 à 15 heures. Peut-être encouragés par le bannissement politique de Marine la veille, preuve que l’État collabo est de leur côté, une vingtaine de voyous armés et cagoulés font irruption dans l’amphi où Fabrice Balanche, géographe spécialiste du Moyen-Orient, fait un cours sur les accords euro méditerranéens.

Il s’agit de protocoles douaniers destinés à favoriser les échanges de marchandises pour les pays du pourtour méditerranéen. Entre eux et avec l’Eurocrature. Israël qui commerce ouvertement avec plusieurs pays arabo-musulmans a signé ce traité de libre échange.

Une bande d’individus se disant pro-palestiniens entourent l’universitaire, brandissent des pancartes, et hurlent des menaces. Les provocateurs filment tout de bout en bout, espérant ne serait-ce qu’une réaction de mauvaise humeur de l’enseignant, pour que leurs relais dans les médias de connivence le présentent comme un affreux facho. Mais le prof ne tombe pas dans le piège. Il quitte l’amphi sous les insultes.

Le soutien au Hamas était un prétexte. La raison de ce déferlement de haine est l’interdiction, soutenue par Balanche, d’une cérémonie d’iftar (rupture du jeûne du ramadan) dans les locaux de l’université.

Le 28 mars, le prof avait dénoncé le blocage de la fac par des islamistes enragés, perturbés par la privation de nourriture, de sommeil et de sexe. Provoquant peu de réactions. Moins par crainte de ces énergumènes que parce que les Français redoutent une condamnation s’ils ripostent… Après cette intrusion musclée, Balanche a porté plainte. Une enquête a été ouverte par le parquet. Sans grand espoir qu’elle aboutisse. Comme d’habitude.

L’enseignant n’a pas pu identifier ses agresseurs mais il s’est rendu sur leur compte Instagram où ils revendiquaient l’intrusion. « Pas moins de huit pages me concernant, dignes de la propagande antisémite du IIIe Reich » dit le professeur. Le groupe venu perturber son cours et le contraindre au silence l’accuse d’être raciste, sioniste, « enjuivé », islamophobe. Et même complice des crimes d’Assad ! Parce que son sujet de thèse portait sur les Alaouites syriens.

Le fait déclencheur de la fureur des islamistes a été la décision de Fabrice Balanche de s’opposer à des étudiants mahométans appelant des coreligionnaires de l’extérieur, qui n’ont rien à faire dans les locaux universitaires, à venir fêter avec eux l’iftar… Pourquoi s’étonner de leur incompréhension et de leur indignation ? Puisque tant d’éminents représentants de la ripoublique, ministres, préfets, députés, maires, etc. ont célébré avec eux cette cérémonie d’un autre âge.

Quand il a vu déferler une foule de barbus en qamis et de femmes voilées, le référent laïcité de l’université a préféré fermer la salle convoitée. En représailles, des fanatiques ont décidé de bloquer le campus. « Nous avons assisté, ce 28 mars 2025, au premier blocage islamiste d’une université en France ! Ce n’était pas un blocage pour les retraites ou pour les moyens des étudiants, mais pour porter une revendication islamiste. »

Traité de kouffar colonialiste empêchant les musulmans de vivre leur foi, Balanche a commenté les incidents, deux minutes à la télé. Se collant une cible dans le dos. Il a beaucoup de chance de n’avoir pas encore été égorgé ou décapité. Il est probable qu’il va désormais devoir vivre caché, sous protection policière, comme des dizaines d’enseignants qui ont essayé de faire respecter la laïcité. Sans que des juges à cheval sur « l’État de droit » s’en émeuvent.

Ces incidents et ces agressions sont des épiphénomènes. Le djihad veut faire de la France une théocratie islamique. Et la politique de l’autruche de l’État empêche de réagir.

L’État est parfaitement informé. Des ministres condamnent vertueusement. Sans suites concrètes. Des commissions parlementaires ont planché sur le sujet depuis des années : Insultes, menaces, violences. Autocensure sur la Shoah, les colonies et l’évolutionnisme. Ils savent en haut lieu. Mais ils ne font rien. Complicité idéologique ? Corruption aux pétrodollars ? Lâcheté pour éviter des remous qui menaceraient leurs privilèges ? Un peu des trois sans doute.

L’universitaire menacé est détesté par la mouvance islamo-gauchiste car il ne fait pas l’apologie du Hamas ou du Hezbollah. « Ils ne supportent pas qu’on puisse avoir une vision historique des conflits au Proche-Orient, différente de la leur. »

Au début du mois d’avril, il avait participé à la Conférence annuelle des référents de l’enseignement supérieur pour la région Rhône-Alpes. On y avait évoqué les attentats islamistes, dix ans après le Bataclan. Il était intervenu, rappelant les attentats suicides de certains « croyants». Cela a déplu à deux ou trois imams qui l’ont dénoncé, exigeant qu’on le vire avant que la justice le condamne. Et la pusillanime bureaucratie universitaire s’est couchée en lui demandant de justifier ses propos !

La subversion sur les campus est de même nature que celle dans les banlieues où l’anti-France de Mélenchon a fait une OPA sur le vote islamique.

Cette récupération commencée avec le voile, la bidoche halal, les accusations de racisme, la critique du contenu des enseignements non conformes au coran, la valorisation des coutumes et croyances étrangères dans les comportements sociaux, s’est amplifiée avec la réponse d’Israël aux terroristes de Gaza.

Les prêcheurs procèdent par groupuscules informels. Sans leader connu, sans adresse fixe, sans avoir de comptes à rendre à personne sinon à quelques muftis invisibles. Les non-lieux pleuvent pour eux car les preuves sont rarement convaincantes. Si les juges sont inflexibles envers les patriotes français, il est rare que les poursuites contre des islamistes aboutissent, tant qu’ils n’ont encore tué personne. Là, il a fallu créer des juges spéciaux antiterroristes pour que la loi soit appliquée.

La stratégie des djihadistes s’inspire des leçons de Abou Moussab al-Souri, cofondateur de Daech. Cet individu considéré comme modéré par les crétins des médias, jugeait les attentats de masse contre productifs. Il suffit d’attendre que le fruit pourri tombe tout seul de l’arbre. Au besoin en secouant un peu les branches. Poésie orientale ?

Abou Moussab a théorisé la prise de pouvoir par l’islam dans nos pays grâce à l’éparpillement de groupes activistes perpétrant des attaques au couteau ou à la voiture bélier, générant un climat de terreur permanente afin de déstabiliser la société. Dans un deuxième temps, des commandos appuyés par des djihadistes importés déborderont des zones de non-droit en attaquant une police découragée et inerte puisque condamnée si elle se défend. Allah a su rendre les gouvernements européens tellement cons…

La troisième phase de la conquête territoriale se fera par le contrôle économique de la société, grâce aux capitaux considérables générés par le trafic de stupéfiants. Complétés par les généreuses dotations de nos amis les émirs du pétrole. La finance islamique n’est pas un mythe. On l’enseigne même à Paris.

Christian Navis, Riposte Laïque