. Brisant l’omerta, Trump offre l’asile aux Blancs persécutés d’Afrique du Sud

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Articles    : Fev 2025Jan 2025Dec 2024Nov 2024 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

°° WEBTUBE : Aucun Africain, en Occident, n’est victime de la haine raciale que subissent les Blancs d’Afrique du Sud depuis des décennies. Mais qui s’apitoie sur les bidonvilles de Blancs, chassés de l’emploi au nom de la discrimination positive ? Qui s’insurge contre le massacre des fermiers blancs, qui vivent dans la terreur d’une attaque nocturne ? Qui dénonce la barbarie dont font preuve les tueurs, ivres de haine et de vengeance ?

C’est un apartheid à l’envers qui sévit en Afrique du Sud, mais encore plus violent au vu des chiffres de la criminalité et de la sauvagerie de certains crimes. Car l’Europe, qui se veut la vitrine des droits de l’homme, est bien trop lâche et hypocrite pour défendre la cause des Afrikaners, tout comme elle est bien trop lâche pour défendre les chrétiens d’Orient.

Tournant le dos au wokisme qui distille la haine anti-Blancs dans nos sociétés occidentales, Trump vient d’offrir l’asile aux Afrikaners d’Afrique du Sud, victimes d’une politique raciale ouvertement discriminatoire à leur égard, une persécution assumée par Pretoria, qui les met à l’écart de la merveilleuse société « Arc- en-ciel » de Mandela.

On ne compte plus les crimes commis contre des Blancs, dans ce pays parmi les plus dangereux du monde. Isolés dans leurs terres, les fermiers blancs sont les premières victimes de la politique revancharde post-apartheid.

https://ripostelaique.com/tuez-le-boer-blanc-la-grande-illusion-de-la-nation-arc-en-ciel.html

Tous crimes confondus, la police dénombre 60 meurtres par jour.

Pour les seuls fermiers blancs, 292 attaques ont été recensées en 2020, dont 38 meurtres.

Et sur plus de 20 000 meurtres par an, 40 % des victimes sont des Blancs. Mais selon Interpol, les statistiques officielles sont pipées. Les chiffres sont pires.

Environ 70 000 Blancs ont été assassinés depuis 1994, dont plus de 4000 fermiers.

Pour les associations de défense des fermiers blancs, il s’agit d’un nettoyage ethnique, voire d’un génocide orchestré par ceux qui veulent chasser les Blancs de leurs terres. Ce que nie Cyril Ramaphosa.

Environ 4 millions de Blancs vivent en Afrique du Sud sur une population de 60 millions d’habitants. Jusqu’à quand ?

Le monde entier se désintéresse de leur sort. A l’heure du wokisme et du mouvement décolonial, qui donc va pleurer sur le sort des Blancs d’Afrique du Sud ? La colonisation, l’esclavage, ou l’apartheid, sont des crimes de Blancs imprescriptibles.

Il n’y a que la colonisation consécutive aux conquêtes arabes et la traite arabo-islamique que nos chevaliers de l’antiracisme préfèrent oublier. Tout comme la traite interafricaine, qui fit autant de victimes que la traite atlantique. Il y a bien évidemment des victimes davantage politiquement correctes que d’autres…

Mais pour Donald Trump, les mensonges du discours bien-pensant et l’antiracisme à sens unique doivent prendre fin. Place aux vérités qui dérangent. D’autant plus qu’Elon Musk, infatigable défenseur de la liberté d’expression, est d’origine sud-africaine.

https://www.epochtimes.fr/les-afrikaners-font-la-queue-pour-beneficier-de-loffre-dasile-de-trump-2881574.html

Donald Trump a coupé l’aide américaine à l’Afrique du Sud, accusant le gouvernement du président Cyril Ramaphosa de « discrimination fondée sur la race, dont la confiscation de propriété racialement discriminatoire » et d’un « mépris choquant des droits de ses citoyens ».

Il a aussi proposé d’aider à la réinstallation des Afrikaners – descendants des colons principalement néerlandais, français et allemands – venus en Afrique du Sud au 17e siècle. Le décret indique que son administration « encouragera la réinstallation de réfugiés afrikaners » pour ceux « qui sont victimes d’une discrimination raciale injuste ».

Le Président américain a déclaré que les politiques sud-africaines étaient « conçues pour démanteler l’égalité des chances en matière d’emploi, d’éducation et de commerce » et a affirmé que « la rhétorique haineuse et les actions du gouvernement [alimentaient] une violence disproportionnée envers les propriétaires terriens défavorisés sur le plan racial ».

Évidemment, le président Cyril Ramaphosa nie tout racisme anti-Blancs, alors que de nombreux Afrikaners se sentent exclus et indésirables dans leur pays.

Certains Afrikaners accepteront l’offre de Trump, mais d’autres ne feront pas le grand saut vers une autre vie. Pour les plus jeunes, décidés à tenter l’aventure, rester en Afrique du Sud est incompréhensible :

« S’ils sont heureux de vivre dans un pays où l’on se sent terriblement mal parce qu’on est blanc, où on ne peut pas trouver d’emploi parce qu’on est blanc, où on ne peut pas dormir sans s’inquiéter que des criminels entrent chez nous pour nous violer et nous tuer, alors qu’il en soit ainsi »déclare une jeune sud-africaine bien décidée à changer de vie.

Évidemment, le parcours sera long et compliqué pour les candidats au départ.

Mais je salue l’initiative de Donald Trump qui rappelle aux yeux du monde les persécutions des Blancs d’Afrique du Sud,  victimes sciemment oubliées par les mêmes modèles de vertu qui dénonçaient l’apartheid il y a quarante ans. Les valeurs occidentales se sont visiblement racialisées et le slogan « White lives matter » n’est pas à l’ordre du jour.

Comme le dit un Afrikaner :

« Il est tellement ironique qu’un dirigeant d’un pays si lointain reconnaisse nos combats, alors que nous sommes invisibles aux yeux des dirigeants de notre propre pays. »

Souhaitons bonne chance à ces nouveaux réfugiés de l’Amérique. Trump, et il est bien le seul, ne les a pas oubliés.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque