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°° WEBTUBE : Macron salit encore notre armée et attise la haine d’Alger contre la France. Fidèle à sa politique de repentance à sens unique, Macron vient de reconnaître officiellement que le leader FLN Larbi Ben M’hidi avait été assassiné par des militaires français en 1957…. Lire la suite
En pleine guerre civile larvée, alors que la nation est en passe de se disloquer durablement, comme on le voit avec le conflit israélo-palestinien, Macron ne trouve rien de mieux que de ruminer le passé et d’attiser la haine envers la France, en tuant définitivement tout espoir d’intégration des cités. Rien de tel que cet acharnement à culpabiliser l’ex-puissance coloniale pour embraser la jeunesse immigrée, si prompte à se rebeller contre la République.
En prétendant réconcilier les histoires, Macron nous conduit à la guerre civile. On n’a jamais vu un président haïssant autant son pays et faisant son procès à longueur de quinquennat, y compris à la tribune de l’ONU, devant les représentants de 193 nations, sidérés par un tel comportement accusateur. Une autoflagellation unique.
Après avoir accusé notre pays de crime contre l’humanité, sans un mot sur l’œuvre civilisatrice de la colonisation, après avoir accusé l’armée française de torture, sans un mot sur les atrocités commises par le FLN, le chef des armées accuse aujourd’hui nos soldats d’avoir assassiné un leader FLN, arrêté au cours de la bataille d’Alger en 1957.
Plus Alger nous déteste, plus Macron se répand en actes de repentance, mais toujours à sens unique, bien entendu. Pour le chef de l’État, la France et son armée ne sont qu’un ramassis de salauds.
Ce 1er novembre, Macron a réitéré son souhait de « regarder l’Histoire de la colonisation et de la Guerre d’Algérie en sa vérité, dans le but d’aboutir à la constitution d’une mémoire apaisée et partagée ».
Il a donc reconnu dans un communiqué que Larbi Ben M’hidi, un des six dirigeants du FLN à la tête de la révolte armée, « a été assassiné par des militaires français placés sous le commandement du général Aussaresses » en mars 1957.
Mais est-il besoin d’affirmer que la « répression » française « s’accompagna de la mise en place d’un système hors la société des Droits de l’Homme et du Citoyen » ?
Ce ne sont pas des anges et des modèles de vertu que les paras de Massu ont combattu durant la bataille d’Alger, ce sont évidemment des combattants nationalistes mais aussi des terroristes commettant d’innombrables attentats et pratiquant des enlèvements visant des civils. Ce que Macron se garde bien de rappeler. Il ajoute :
« Le travail de vérité historique se poursuivra. »
« C’est aussi en pensant aux générations futures que le chef de l’État se fait devoir, encore et toujours, de chercher les voies de la réconciliation des mémoires entre les deux pays. »
Mais qu’attend donc Macron pour dénoncer les atrocités du FLN envers nos militaires et les civils ? La vérité n’est pas une donnée à géométrie variable.
Qu’attend-il pour faire le procès d’Alger, coupable d’avoir laissé massacrer 120.000 harkis sur les 250.000 supplétifs qui ont servi la France ? Chirac l’avait reconnu en 2001 en déclarant :
« La France n’a pas su sauver ses enfants de la barbarie »
Car la barbarie, elle était bien dans le camp FLN.
« Des dizaines de milliers d’hommes mais aussi de femmes furent massacrés, souvent avec des supplices publics : personnes écartelées, dépecées, ébouillantées, enterrées vives »
Et que dire des 3 000 Français disparus après le 19 mars 1962 ?
Pas un seul mot des autorités algériennes depuis 62 ans.
En voulant réécrire l’histoire, mais en faisant le seul procès de la France, Macron prouve une fois de plus que sous couvert d’apaisement entre Paris et Alger, il affiche la haine de son pays. Pour lui, nos 2 000 ans d’histoire n’ont aucune signification.
Il n’existe aucun chef d’État au monde qui se soit comporté avec autant de haine contre son pays, son peuple, son identité, son patrimoine culturel et son histoire.
Macron est bien le fossoyeur de la France, cherchant à détruire en deux quinquennats les siècles de grandeur d’une nation millénaire.
Les guerres font les lâches et les héros, mais elles font aussi les victimes et les bourreaux. Aucune guerre n’est propre, quel que soit le camp que l’on défend.
Mais pour apaiser le débat, il faut être deux à reconnaître ses responsabilités. Ce qu’Alger a toujours refusé et ce à quoi Macron semble se résigner, exonérant Alger de toute culpabilité et de ses propres crimes durant cette guerre.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque