. Comment une politique woke détruit la créativité d’une entreprise avec l’exemple d’Ubisoft.

Spread the love


Articles    : Nov 2024Oct 2024Sept 2024Aout 2024 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

°° WEBTUBE : Le cas Ubisoft est simple à expliquer. La direction a décidé de devenir woke pour augmenter son score ESG afin de toucher des subventions publiques du gouvernement canadien. Pour ce faire, ils ont recruté des RH tout droit sortis d’écoles de commerce woke. Ces RH, étant des wokes convaincus, ont commencé à ne plus recruter sur les compétences, mais uniquement sur le sexe, la couleur de peau, la couleur des cheveux et l’orientation politique. Ubisoft a donc subi un nivellement par le bas et s’est retrouvé à recruter des gens peu productifs et peu talentueux. Comme ces recrutements étaient mauvais, Ubisoft a dû recruter en masse pour combler les trous, et c’est ainsi que l’entreprise s’est retrouvée avec plus de 20 000 employés, alors que les autres studios tournent autour de 10 000, voire moins.

À cela s’ajoute le fait que, pour obtenir un bon score inclusif, Ubisoft fait appel à des entreprises de consulting woke comme l’entreprise Sweet Baby Inc., qui s’assurent que les jeux respectent bien un cahier des charges inclusif. Par exemple, il ne faut pas que les personnages soient trop beaux, le scénario doit être inclusif, la communication doit être inclusive, etc. Résultat : les jeux qui en sont sortis sont devenus ultra génériques et sans saveur, et, comme les personnes recrutées ne sont pas talentueuses, ils sont bourrés de bugs. Au fil du temps, les jeux Ubisoft sont devenus ultra génériques, les joueurs se sont lassés, et l’entreprise a fini par s’effondrer en bourse (près de -90 % de sa valeur !). Il n’y a même pas l’excuse de la « crise » dans l’industrie du jeu vidéo, car les autres studios AAA n’ont pas connu de si grosses chutes ; certains performent même mieux. Le cas Ubisoft est un exemple d’une entreprise mal gérée, qui a choisi de se suicider par idéologie et qui a recruté en masse des wokes qui ont eux-mêmes recruté leurs semblables. Et ils l’affichent fièrement sur leur site internet. Pour schématiser, c’est un peu l’exemple d’un pays socialiste comme l’URSS qui, avec trop de fonctionnaires et une mauvaise gestion, finit par s’effondrer de lui-même. Voilà un exemple concret de ce qu’une politique woke appliquée à une grande entreprise peut produire. Donc, quand on vous dira que le wokisme n’est pas la cause de l’échec d’entreprises comme Disney et Ubisoft, gardez à l’esprit que, si, c’est bien la politique woke qui bride le développement et la croissance de ces entreprises, et qui les empêche de toucher un public large. Car paradoxalement, en voulant être inclusives et en visant les minorités, elles se ferment au grand public, qui est majoritaire et ne se reconnaît pas dans ces politiques.

Source : Aurea, Sur X

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *