. Panique chez les démocrates après le crash monumental de Biden face à Trump

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Articles    : Juin 2024Mai 2024Avr. 2024Mar. 2024 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

°° WEBTUBE : Hier, à Atlanta, Trump et Biden se sont affrontés lors d’un premier débat. Ceux qui espéraient que Biden réussirait à faire taire ses détracteurs qui le jugent sénile et inapte à la fonction présidentielle reconnaissent l’ampleur du désastre. Entre deux éclairs de lucidité, Biden ne sait plus ce qu’il dit. Le dopage intensif pour stimuler l’acuité mentale du président et les nombreux jours passés à s’entraîner à débattre n’auront pas suffi. Ce fut un naufrage en direct face à un Trump affichant une forme olympique incontestable, plus combatif que jamais.

Le fiasco est tel que le camp démocrate envisagerait de remplacer son champion à bout de souffle, mais par qui ? C’est un peu tard, à quatre mois des élections.

Ce fut un calvaire de 90 minutes pour Biden et son camp.

https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20240628-dans-un-d%C3%A9bat-o%C3%B9-la-forme-comptait-plus-que-le-fond-joe-biden-s-%C3%A9crase-face-%C3%A0-donald-trump

Biden a donné l’impression de ne pas savoir où il était ni ce qu’il faisait là. Souvent l’air hagard, bafouillant et cherchant ses mots, ne finissant pas ses phrases, ayant perdu le fil de sa pensée. Ce fut le débat le plus désastreux d’une campagne présidentielle. Le pire étant les moments de silence qui finissent par condamner à jamais le candidat démocrate, jugé irrécupérable.

“L’homme le plus puissant du monde” faisait littéralement pitié, envoyé à l’abattoir par son propre camp.

Donald Trump l’a toujours dit, “sleeping Joe” est inapte à gouverner. Et il enfonce le clou :

“Je ne sais pas ce qu’il a raconté à la fin de cette phrase, je ne suis pas sûr que lui-même le sache”, tacle-t-il après une sortie confuse de Joe Biden sur l’immigration.

Les insultes de Biden à l’encontre de Trump ne l’ont pas grandi :

“Repris de justice”, “menteur”, “pleurnicheur”, “pauvre type”, “loser” : Joe Biden n’a pas ménagé son adversaire, mais ces attaques tombaient à plat tant le ratage de sa prestation était flagrant.

Il ne s’agissait pas d’un débat d’idées, les deux présidents étant déjà bien connus des électeurs, mais d’un débat entre deux candidats âgés, dont on mesurait la détermination, les convictions profondes et l’aptitude physique et mentale à défendre l’Amérique.

Trump n’a donc eu aucun mal à vaincre par KO. L’aplomb et le culot légendaires du milliardaire ont raflé la mise haut la main. Et peu importe que les mensonges et les outrances aient parsemé son discours. Son aptitude à retourner à la Maison-Blanche ne fait aucun doute. Il a l’étoffe d’un président, même s’il est la bête noire des mondialistes.

On le sait, Trump ne fait pas dans la dentelle et son électorat applaudit.

“Les migrants sont pour la plupart des “violeurs” échappés de “prison” ou de l’“asile”

“Je lui ai donné un pays sans inflation, il l’a détruit en jetant l’argent par la fenêtre. Des millions de personnes traversent la frontière et viennent prendre les emplois des Noirs et des hispaniques”

Ce débat visant surtout à convaincre les indécis, il est clair que Biden s’est totalement sabordé.

Tout cela était prévisible et on se demande comment le camp démocrate a pu choisir un candidat aussi usé, qui semble sorti tout droit d’un Ehpad, pour affronter le bulldozer Trump.

Un consultant politique raconte :

“Après la première pause publicitaire, j’ai demandé à mon groupe d’électeurs indécis combien d’entre eux étaient plus enclins à voter Biden. Aucun n’a levé la main. La moitié avait voté pour lui en 2020.”

“Après la seconde pause publicitaire, j’ai demandé à mon groupe combien d’entre eux étaient plus enclins à voter Trump. 10 sur 14 ont levé la main… Même s’ils n’aiment pas Donald Trump. L’un d’entre eux a dit : Je ne sais même pas si Biden réussira à tenir jusqu’à novembre !“

La conclusion de tout cela est que si Trump ne gagne pas cette élection, c’est que la fraude électorale aura été pire qu’en 2020. Nous savons tous que la plus grande démocratie du monde est capable du pire. Rien n’est joué.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

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