. Le Rassemblement National face au mur de la dette

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°° WEBTUBE : L’histoire ne se répète pas, elle bégaie. Il y a presque un siècle, le cartel des gauches s’était heurté au mur de l’argent. Aujourd’hui, dans le patronat et les médias, certains rêvent de voir le RN se fracasser sur le mur de la dette. France, juin 2024 : une dette à plus de 3 000 milliards d’euros. 3 100 milliards d’euros de dette, c’est considérable. Mais le RN n’en est en rien responsable.

Depuis 50 ans, tous les gouvernements ont créé de la dette. Avec des accélérations sous Sarkozy pour renflouer les folies spéculatives des banquiers.

Puis sous Macron adepte du « quoi qu’il en coûte » et pas seulement pour les délires covidistes. Macron aux manettes des finances publiques depuis 2014, c’est 1000 milliards de dettes de plus.

Le RN n’est pas coupable de cela. Au contraire, dans ses mairies, celles de 1995 comme dans celles de 2014 ou de 2021, les situations financières se sont améliorées. C’est notamment le cas dans la plus importante d’entre elles : Perpignan.

De même quand de 1986 à 2004, le FN pesa sur les budgets de nombreuses régions sans majorité, ce fut pour limiter les hausses d’impôts et supprimer certaines subventions nuisibles.

Que pourrait faire Jordan Bardella ? 5 pistes pour faire des économies

Reste qu’un éventuel gouvernement Bardella devra trouver des gisements d’économie. Cela tombe bien, il y en beaucoup. Voici des pistes :

  • Sabrer dans les dépenses d’immigration : accueil, hébergements, logements, aides sociales, infrastructures, études, etc.… 500 000 entrées d’étrangers par an, c’est – en coût d’infrastructures et d’accueil –, selon les estimations du prix Nobel d’économie Maurice Allais, 50 milliards de dépenses supplémentaires (ou d’appauvrissement des habitants déjà présents) ;
  • Sabrer dans les dépenses de fraude sociale, là aussi c’est un potentiel de dizaine de milliards d’économies selon le juge Prats ;
  • Sabrer dans les dépenses de « transition énergétique » (éoliennes, panneaux solaires, voitures électriques, isolation des bâtiments, etc.) bureaucratiques et inutiles. Ces dépenses sont couramment estimées à 40 milliards d’euros ;
  • Sabrer dans les subventions aux associations wokistes. Là encore, il y a quelques milliards à récupérer ;
  • Sabrer dans les dotations de l’État aux métropoles : il n’y a aucune raison pour que les dotations d’État par habitant y soient plus importantes que dans les campagnes.

En bref, pour redresser les dépenses publiques, il faut s’attaquer à l’État nuisible, dont les politiques et les dépenses aggravent la situation des Français.

Jean-Yves Le Gallou, Riposte Laïque

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