. Brian, 17 ans, est mort : il ne voulait pas offrir un jogging gratuit à la racaille

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Articles     : Dec. 2023Nov. 2023Oct. 2023Sept 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

++ WEBTUBE : Thomas est mort parce qu’il était Français d’origine. Brian est mort parce qu’il croyait vivre en France, dans un pays libre. Ils ne savaient pas que nous étions dans  un pays occupé dont nombre d’habitants pratiquent le djihad, contraignant les Français d’origine, les non musulmans à payer la dîme due aux maîtres musulmans du pays. Terreur, soumission, intimidation, humiliation, viols, blessures, mort. La dîme porte un nom :  la jizya ou impôt de capitation La fiscalité des dhimmis selon le cadi Abû Yûsuf (mort en 798) Source : Abû Yûsuf, Kitâb al-kharâj, trad. E. Fagnan, Le livre de l’impôt foncier, Paris, 1921, p. 104, 166-7 et 187-191.

Tout lieu d’habitation des non Arabes qui est conquis par l’imâm et laissé par lui entre les mains des vaincus, est terre de kharâj, et il est terre de dîme s’il est réparti par lui entre les vainqueurs. Ne sait-on pas que les terres des non Arabes conquises par Umar Ibn al-Khattâb et laissées par lui entre les mains des vaincus sont terres de kharâj ? Tout sol non arabe où les habitants ont conclu des traités et sont devenus tributaires (dhimmî), est terre de kharâj.

[…] L’impôt de capitation (jizya) frappe tous les tributaires habitant le Sawâd aussi bien que ceux de Hîra et d’ailleurs, qu’ils soient juifs, chrétiens, mages, sabéens ou samaritains. Font seuls exception les chrétiens des Banû Taghlib et les habitants de Najrân. Elle n’est due que par les hommes, à l’exception des femmes et des enfants, à raison de 48 dirhams pour le riche, de 24 pour celui de condition moyenne et de 12 pour le nécessiteux, le laboureur ou celui qui exerce un travail manuel. Elle est perçue annuellement et peut être versée en nature, par exemple en bêtes de somme ou en effets, qui sont acceptés pour leur valeur, mais qui ne peuvent être ni bêtes mortes, ni porcs, ni vin.

https://comprendrelislam.fr/islam-et-alterite/la-fiscalite-des-dhimmis-selon-abu-yusuf/

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Ce vendredi 8 décembre, en début de soirée, Brian, 17 ans, qui habite Sucy-en-Brie (94), a rendez-vous avec un potentiel acheteur pour vendre un jogging Nike. La transaction a été convenue via la plateforme en ligne Vinted, spécialisée dans la vente des vêtements d’occasion. Le rendez-vous est fixé à Valenton (94), non loin de l’arrêt de bus Lutèce. Brian ne s’y rend pas seul, mais accompagné de trois personnes, son cousin R. (18 ans), son ami C. (17 ans) et le petit frère de C.(16 ans). Pourquoi aussi nombreux ? Probablement pour avoir le dessus en cas de problème et éviter de se faire voler. Mais, manifestement, Brian et ses amis n’avaient physiquement pas l’air assez dissuasifs.

Sur place, ils constatent que l’acheteur n’est pas venu seul. Une demi-douzaine de jeunes gens, décrits comme « de type africain, de grande taille, vêtus de doudoune et de parkas de couleurs foncées », dont l’un porte un masque anti-covid, les abordent à l’arrêt de bus Lutèce. Il s’agirait « de jeunes de cité », indique une source policière.

À la demande de ces derniers, B., son cousin Brian et son ami C., se laissent attirer dans un parc situé à proximité. Une fois à l’écart, le groupe de l’acheteur tente de voler le pantalon, sans payer. En face, le groupe du vendeur cherche à résister, deux d’entre eux prennent alors un coup de couteau, dont Brian, touché à la cuisse, et plus exactement à l’artère fémorale. Il se vide littéralement de son sang et parvient néanmoins à rejoindre la chaussée, comme le laissent à penser les traînées de sang retrouvées sur place.

Trois heures après, aux alentours de 23 h 20, la police est appelée par une mère de famille en panique dans le quartier sensible dit « des Pologne », à Valenton. Celle-ci indique que son fils, B. K., âgé de 16 ans, pris de remords parce qu’il « aurait fait quelque chose de mal », tente de se suicider en voulant se jeter par la fenêtre depuis le troisième étage. Elle tente difficilement de l’en empêcher. La police fait aussitôt le lien entre les deux affaires. Sur place, la mère ouvre à la police, qui tombe sur un jeune homme dévasté, en pleure, haletant, et qui correspond au profil décrit par les victimes.

Aux policiers, ce dernier indique avoir « fait une bêtise ce soir », et répète « c’est moi », avant de s’enquérir de la santé de la victime : « est-ce qu’il était mort ? ». Il est aussitôt interpellé pour homicide volontaire en réunion et violences par arme blanche. (…)

Amaury Bucco – Valeurs actuelles

Christine Tasin, Riposte Laïque

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