. Lyon : Des dizaines de migrants squattent une église… et personne ne réagit

Articles     : Dec. 2023Nov. 2023Oct. 2023Sept 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

++ WEBTUBE : Le vendredi 8 décembre, entre 40 et 80 migrants – présentés comme des mineurs isolés – ont investi l’église du Saint-Sacrement, dans le IIIe arrondissement de Lyon. Quatre jours après le début de ce squat, aucune solution n’a encore été trouvée, et c’est donc tout naturellement que ces nouveaux habitants ont décidé de poursuivre leur occupation des lieux… Il faut dire que cette installation chaotique n’est pas la première de leur carrière. Depuis le 16 avril, ces derniers étaient en effet sous la tente, au niveau du square Sainte-Marie-Perrin, dans le IIIe arrondissement de Lyon. Quelques mois plus tard, le week-end des 2 et 3 décembre, ils tentaient, sous la houlette du collectif Soutiens/Migrants Croix-Rousse, d’occuper un gymnase. Une heure après, ils en étaient refoulés par les forces de l’ordre, indique, abattu, un membre du collectif.

Un squat qui pourrait durer longtemps

C’est donc l’église du Saint-Sacrement qui a été retenue comme lieu de refuge pour ces migrants, et ceux-ci n’en partiront pas tant qu’une solution ne sera pas trouvée. Si l’on en croit l’inertie des pouvoirs publics depuis le mois d’avril, le squat pourrait donc durer longtemps, très longtemps. Cette « installation » – qui ressemble très fortement à un squat, même si le mot semble brûler les lèvres de BFM TV – dans un lieu sacré ne semble poser de problème à personne. On serait pourtant curieux de savoir ce qu’il en serait si refuge avait été pris dans une mosquée.

Bien loin d’être prise en charge par les autorités compétentes, la question migratoire en métropole lyonnaise semble devenir un problème sans cesse accru. Depuis trois mois, ce sont ainsi 1.200 migrants qui y sont arrivés, soit le même nombre d’arrivées que sur toute l’année 2022. Des chiffres mirobolants, encouragés par des élus locaux bienveillants certes, mais tout à fait incapables de prendre en charge ces personnes qu’ils disent si généreusement vouloir accueillir. La députée écologiste Marie-Charlotte Garin est ainsi allée dormir dans une école occupée pour « faire la guerre à l’indifférence », soutenue dans cette démarche par la mairie du IIIe arrondissement.

Inaction des politiques

Un acte symbolique fort, sans doute, mais qui n’a rien d’une solution. Il est bien beau de dénoncer l’accueil désastreux dont sont victimes ces migrants. Il serait peut-être plus ingénieux de prendre le problème à la source en les empêchant, tout bonnement, de se confronter à ce genre de situations… De son côté, le député NUPES de la 2e circonscription du Rhône, Hubert Julien-Laferrière, lance également l’alerte sur les conditions misérables dans lesquelles sont accueillis les migrants, dénonçant « des départements qui ne font pas le boulot ». Et de proposer, novateur, une répartition de ces arrivants sur le territoire national… Ce qu’ignore, visiblement, le député, c’est que Lyon n’est pas la seule ville à être submergée par les arrivées de migrants. Toutes les grandes villes de France sont désormais confrontées à ce phénomène que nos autorités peinent à vouloir endiguer.

Face à cette inaction coupable des politiques, les Français, eux, ont une idée plutôt claire sur la question. Au fil des sondages, semaine après semaine, les victimes de cette politique migratoire font connaître leur opinion : ils n’en peuvent plus. Ce mardi 12 décembre, une nouvelle fois, leur voix est unanime. 80 % des Français estiment ainsi qu’il ne faut plus accueillir de migrants en France, selon un sondage de l’Institut CSA pour CNews.

L’exemple de la ville de Lyon n’est qu’une affaire parmi tant d’autres. Elle est toutefois symbolique de l’abdication totale des autorités dans cette question pourtant cruciale qu’est l’immigration. Depuis de longs mois, on parle de légiférer sur le sujet. Depuis de longs mois, pourtant, la situation n’a fait qu’empirer et rien de concret n’a été fait pour régler le problème.

Marie-Camille Le Conte, Boulevard Voltaire

. Gérald Darmanin c’est le ministre de l’invasion, de l’insécurité généralisée, du racisme antiblanc.

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++ WEBTUBE : Gérald Darmanin c’est le ministre de l’invasion, de l’insécurité généralisée, du racisme antiblanc. C’est le ministre de l’Intérieur le plus toxique de la 5ème République, et il était temps qu’on le lui fasse savoir !

. Vidéo de Vincent Lapierre au pied de la Tour Eiffel… Ça pue, c’est sale et ça dangereux, bref, on a hâte de voir les Olympiades

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++ WEBTUBE : Ça pue, c’est sale et ça dangereux, bref, on a hâte de voir les Olympiades

D.P.

. Noël 2023 entre sauvagerie et espérance

Articles     : Dec. 2023Nov. 2023Oct. 2023Sept 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

++ WEBTUBE : Au terme de cette année 2023, et dans cette période de l’Avent qui doit préparer nos cœurs à la célébration de la Nativité, comment ignorer ou occulter l’état préoccupant et inquiétant de notre pays ? L’année aura été marquée par l’aggravation de la fracture de la société française bien ancrée depuis, au moins, la gestion contestable et douteuse de la crise sanitaire qui a conduit, de mensonges en mensonges, de désinformation en désinformation, de manipulation en manipulation, de privation de libertés en privation de libertés à la division. Mais la vérité triomphera et certains ne pourront pas échapper au rendez-vous avec la justice. Cette aggravation de la fracture de notre société s’est également affirmée avec l’épisode de la réforme des retraites acquise dans la douleur et en force car sans majorité parlementaire pour la voter, ce qui a convaincu le gouvernement de poursuivre dans son délire autocratique en se passant du parlement pour faire adopter ses textes. Cependant, en n’utilisant pas les outils constitutionnels existants pour mettre fin à cette dérive (articles 49, 50 et 68 de la Constitution), les parlementaires, dont certains sont indignes des fonctions qu’ils occupent, oubliant qu’ils représentent le peuple français, pourraient dangereusement perdre la confiance de ce dernier, voire provoquer sa colère contenue jusqu’à ce jour. Cette aggravation de la fracture de notre société est, enfin, sérieusement engagée par un machiavélisme campé de lâcheté et incarné par des dirigeants politiques qui favorisent délibérément l’invasion de notre pays par des populations pourtant hostiles, provoquant ainsi un génocide par substitution du peuple français. Comble de leur cynisme, dépassés aujourd’hui par l’accélération des agressions violentes et meurtrières, ils n’hésitent pas – réagissant désormais dans la panique – à inverser la charge de la responsabilité de la sauvagerie en l’attribuant aux Français et en les sanctionnant parce qu’ils veulent légitimement manifester leur soutien aux victimes et leur refus d’être abandonnés par l’Etat censé les protéger.

Sur ce dernier point, comment et jusqu’à quand les Français pourront-ils rester des spectateurs impassibles devant le refus de nos dirigeants de voir ce qu’ils voient d’une part, et devant leur obstination coupable à laisser entrer sur notre territoire des dizaines et des dizaines de milliers d’envahisseurs hostiles qu’ils s’ingénient à disperser silencieusement dans nos communes rurales d’autre part ? Car le drame qui s’est produit récemment à Crépol, petite commune rurale dans la Drôme, constitue un changement, non pas de degré, mais de nature de la violence exercée sur des Français par des individus issus d’une immigration violente et incompatible avec notre culture et qui n’accordent aucune valeur à la vie. C’est, en effet, une expédition sauvage qui a été menée par un groupe d’individus armés avec l’intention manifeste de tuer. Au-delà de l’horreur et du choc provoqué par cette tragédie, il faut bien comprendre qu’un point de bascule vient d’être atteint dans la radicalisation et le type d’actions violentes à venir. Cette menace survient d’ailleurs cinq mois après les émeutes ethniques qui ont ébranlé le pays pendant une semaine et qui ont démontré les capacités de coordination et de mobilisation de ceux qui crachent sur la France et haïssent les Français. Nos dirigeants seraient bien avisés de prendre la mesure du danger avant qu’il ne soit trop tard. Car l’absence de l’Etat dans son rôle régalien et son incompréhensible dérive immigrationniste mortifère et destructrice de la nation qui mène à l’affrontement ne pourra qu’inciter nos compatriotes à s’organiser eux-mêmes pour assurer leur défense. Cette prise de conscience est d’autant plus urgente que des informations capitales sur l’état de cette menace sont soigneusement et régulièrement occultées. C’est ainsi que des informations accablantes et glaçantes viennent d’être révélées sur la préparation d’une expédition meurtrière, heureusement déjouée par nos services. Cette dernière impliquait six individus, certains fichés S, qui projetaient un attentat de grande ampleur dans un village en Bretagne dans lequel ils envisageaient de massacrer tous les habitants en une nuit. Un point de bascule avec un changement de nature de la violence a donc bien été atteint. Cela pose d’ailleurs le problème de la sécurité de tous les Français pendant le déroulement des Jeux Olympiques prochains au cours desquels une très grande partie des moyens de sécurité seront monopolisés en Ile-de-France. Mais qu’en sera-t-il des campagnes et des communes rurales dans le cas d’actions potentielles de type razzia comme celle évoquée ?

Le contexte n’incite donc pas à la sérénité, mais en cette période de l’Avent, il convient de prendre un peu de recul pour faire de ces jours qui viennent un moment de paix, de spiritualité et d’espérance dans la préparation de la célébration de Noël. C’est pour les chrétiens – et la France demeure une terre chrétienne – une fête religieuse importante avec une portée spirituelle très forte. C’est aussi pour tout le monde une fête qui se greffe sur la réalité fondamentale de la naissance humaine avec tout ce qui l’entoure, l’attente d’un heureux événement, la joie de la naissance, la tendresse qui l’accompagne. Et le mystère de cette naissance constitue, en fait, la célébration de la vie et de l’innocence qui porte un message de paix, d’amour et d’espérance, bien précieux en ces temps difficiles que nous vivons car le désespoir et le cynisme nous guettent dans cet horizon de vie et de sens totalement compromis aujourd’hui par un pouvoir politique manifestement peu soucieux du bien-être et de l’intérêt du peuple français.

L’inversion des valeurs dorénavant mise en œuvre, que ce soit sur les plans sociétal, culturel ou identitaire, en est la parfaite illustration. Alors, en ces temps difficiles et après une année éprouvante qui a mis à l’épreuve chacun d’entre nous, ne nous résignons pas à cette déchéance et rappelons-nous ce qu’il s’est passé il y a deux mille ans. Trouvons-y un écho dans nos vies aujourd’hui pour nous approprier et défendre la signification symbolique du mystère de la naissance de cet enfant qui a changé le monde.

Car cette naissance célèbre la vie innocente que nous devons protéger parce que menacée aujourd’hui. Car oui, elle célèbre la famille traditionnelle dorénavant malmenée alors qu’elle est en réalité la base de la société et qu’elle est un vecteur essentiel d’éducation et de transmission des valeurs. Car oui, elle célèbre aussi la maison commune qui représente nos racines qui plongent dans la culture gréco-romaine et la religion chrétienne que nous devons, bien évidemment, préserver et surtout transmettre.

La Nativité est donc une source de joie, de prise de conscience de notre responsabilité, qu’elle soit individuelle ou collective, une source d’espérance qui réunit traditionnellement les familles en accordant une place particulière aux enfants. Nous savons cependant les dangers qui pèsent aujourd’hui sur la France et les Français. Il nous faut donc nous rassembler pour être en mesure de défendre notre héritage spirituel et culturel face à tous ceux qui veulent l’effacer. C’est le chemin sur lequel nous devons nous engager avec détermination face aux périls qui nous guettent. Mais le sursaut ne peut venir que du peuple lui-même qui doit à présent se réveiller et s’opposer à ceux qui oeuvrent contre ses intérêts et le trahissent et à ceux qui le menacent. Comment mieux appeler au réveil du peuple français que cette injonction de Saint-Paul qui ouvre traditionnellement l’Avent parce qu’elle semble tout à fait appropriée à la situation de la France aujourd’hui :

« Vous savez en quels temps nous sommes. C’est l’heure de nous réveiller enfin du sommeil. »

Alors, Joyeux et Saint Noël à tous et que l’année 2024 soit celle du réveil, du courage et du renouveau de la France.

Général (2s) Antoine MARTINEZ

. Victor Aubert (Academia Christiana) : « C’est devant les yeux de mes enfants que le ministère de l’intérieur m’a remis la lettre annonçant notre dissolution, par trois gendarmes armés »

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++ WEBTUBE : Gerald Darmanin a beau avoir le bilan sans doute le plus lamentable, le plus catastrophique de tous les ministres de l’Intérieur dans l’histoire de la 5ème République, il est toujours en place. Et à défaut d’assurer la tâche pour laquelle il est grassement payé, c’est à dire assurer la sécurité des Français, il multiplie les dissolutions actuellement, ou les tentatives de dissolution, de toutes les associations qui oeuvrent à défendre les autochtones de l’hexagone. Quiconque critique désormais l’immigration et entend défendre et promouvoir nos identités, s’expose au foudre de M. Darmanin et de la République française.

Dernièrement, c’est Academia Christiana, mouvement de jeunesse enracinée, catholique et identitaire, qui en fait les frais. Le ministre de l’intérieur a en effet annoncé, dimanche 10 décembre, qu’il va demander la dissolution d’Academia Christiana. « Nous présenterons leur dissolution en conseil des ministres dans les semaines qui viennent », a-t-il déclaré sur le média en ligne Brut. « Il y a au moins trois autres groupes d’ultradroite » dans le viseur des services de renseignement, a encore déclaré le ministre de l’intérieur, sans donner de détails.

« Sous prétexte d’une prétendue menace pesant sur les Français », ce groupe « légitime de façon récurrente la violence physique et le recours aux armes », a précisé à l’Agence France Presse une source proche du dossier. Pour ce faire, « elle utilise un vocabulaire guerrier et incite de manière explicite ses militants à s’armer et à partir en “croisade” », a ajouté cette source. « D’autre part, et en cohérence avec cette menace qui guetterait la France, Academia Christiana présente la “légitime défense” comme nécessaire », a-t-elle encore dit.

Pour évoquer cette menace de dissolution, qui semble clairement relever du délit d’opinion – nous avons interrogé Victor Aubert, président d’Academia Christiana. Face à la tyrannie, un seul slogan : « Longue vie aux rêves ».

Breizh-info.com : Comment avez vous appris cette dissolution à venir ?

Victor Aubert (Academia Christiana) : C’est mon fils de huit ans qui m’a prévenu que la police avait frappé au domicile familial. C’est devant les yeux ébahis de mes enfants que le ministère de l’intérieur m’a remis la lettre annonçant notre future dissolution, par trois gendarmes armés. J’étais littéralement bouche bée.

Breizh-info.com :  Qu’est ce qui est factuellement reproché à Academia Christiana ?

Victor Aubert (Academia Christiana) :Dans cette lettre on nous reproche presque tout ce qui est possible d’imaginer en terme d’infamie et de crime de pensée. Dans les faits tout est absolument ridicule et absurde. On nous reproche d’appeler à la violence parce que nous avons utilisé une métaphore militaire dans une communication : « former une armée de bâtisseurs », d’être antisémites parce que nous avons recommandé la lecture de Charles Maurras et de Jean Madiran, de promouvoir l’inégalité homme femme, parce que nous avons fait l’éloge de la pudeur…

Breizh-info.com : Juridiquement, quels sont vos recours ? Cette dissolution a-t-elle une chance d’aboutir ?

Victor Aubert (Academia Christiana) :Notre avocat est en train de rédiger une lettre de réponse au ministère de l’intérieur. Si la dissolution est effectivement enclenchée nous ferons appel. Dans un Etat de droit, cette dissolution n’aurait aucune chance d’aboutir. Dans une république corrompue, on sait comment ce genre d’affaire se termine.

Breizh-info.com : Les dissolutions s’enchainent à tour de bras. Le ministre de l’intérieur pousse-t-il a la radicalisation ?

Victor Aubert (Academia Christiana) :Je crains qu’en dissolvant toutes ces associations, les jeunes n’aient plus aucun repère ni aucune structure leur permettant de canaliser leur colère légitime. Les associations permettent de détourner de la violence en proposant des issues positives. Lorsque les jeunes viennent à Academia Christiana, nous les invitons à s’engager au service du bien commun, à mettre leur talent au service de quelque chose de positif, et non à détruire ou à salir.

Breizh-info.com : Quel message souhaitez vous faire passer à ceux qui vous lisent ?

Victor Aubert (Academia Christiana) :Academia Christiana a toujours invité à bâtir, j’invite donc nos lecteurs à ne pas perdre espoir, à ne pas se repaître dans l’amertume et la critique systématique de tout ce qui ne va pas. Ensemble nous pouvons bâtir la civilisation de demain. Si Academia Christiana n’est plus là, poursuivez notre travail à votre manière, transmettez à la jeunesse, faites vivre nos traditions, cherchez Dieu !

Pour nous défendre juridiquement nous avons besoin de votre soutien financier. Ce n’est pas simplement notre association que nous défendons mais la vérité et la liberté de notre peuple.

Propos recueillis par YV

Quelques réactions suite à l’annonce de cette dissolution :

Breizh-info.com

. Stéphane Allix (La mort n’existe pas) : « Une partie de la communauté scientifique, arrive à la conclusion que notre conscience survit à la mort du corps »

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++ WEBTUBE : Si il y a bien un sujet qui angoisse, passionne, fascine chaque être sur cette terre quelle que soit son ethnie, sa race, sa religion, sa culture…c’est bien la question de la mort. Qu’est ce qu’il se passe quand on meurt ? Et après ? Que devient notre conscience ? Survit-elle à la mort cérébrale ? Stéphane Allix Journaliste, ancien reporter de guerre, fondateur de l’INREES (Institut de Recherches sur les Expériences Extraordinaires), a décidé d’enquêter sérieusement pour pouvoir y répondre, dans un livre intitulé « La mort n’existe pas ». Un livre qui cartonne dans les librairies, et sur lequel nous avons interrogé l’auteur. Plongée dans l’univers le plus fascinant qui soit, celui de notre mort à venir

Breizh-info.com : Qu’est-ce qui vous a inspiré à écrire « La mort n’existe pas » et quel était votre objectif principal en entreprenant cette enquête de quinze ans ?

Stéphane Allix : La mort accidentelle de mon frère en 2001 m’a incité à m’intéresser à la question de la conscience, de la vie après la mort, au début sans idée préconçue. Sans objectif particulier si ce n’est d’appliquer mes méthodes journalistiques à ce sujet que je pensais cantonné au domaine du philosophique ou du religieux.

A ma grande surprise, notamment en travaillant sur les expériences de mort imminente, j’ai découvert qu’on pouvait investiguer avec médecins, chercheurs, scientifiques, sur la question de la conscience, de la relation avec le cerveau..La Mort n’existe pas est le fruit de ces 15 années d’enquête.

Breizh-info.com : Avez-vous eu des expériences personnelles qui ont influencé votre perspective sur la mort et l’après-vie ?

Stéphane Allix : Non, mon travail d’enquête est prioritairement un travail journalistique. Je suis allé interroger des témoins, des chercheurs, des gens ayant vécu des expériences de mort imminente. J’ai interrogé les médecins qui ont travaillé sur le sujet, comme les chercheurs qui se consacrent à la dimension infinie de la conscience à travers le monde. Mon livre est vraiment le fruit de ce travail pluridisciplinaire d’investigation auprès de scientifiques.

Breizh-info.com : Quels ont été les plus grands défis auxquels vous avez été confronté pendant votre enquête et quelles ont été les découvertes les plus surprenantes ?

Stéphane Allix : Le grand défi est de parvenir à faire le tri entre une masse considérable de livres, d’études, d’informations. Certaines inégales par rapport aux autres. Et de comprendre qui, dans le domaine scientifique, travaille sérieusement sur la question. La question des expériences extraordinaires qualifiées improprement à mon sens de paranormales, fait l’objet de beaucoup de fantasmes, de délires, d’initiatives personnelles et d’un encadrement pas toujours très scientifique. La grande difficulté dans mon travail est justement d’isoler ce qui est sérieux de ce qui l’est moins.

Mais n’importe quel journaliste passant du temps sur le sujet y parviendra.

Breizh-info.com : Comment définissez-vous la relation entre la conscience et la mort physique ? Pensez-vous que la conscience persiste après la mort ?

Stéphane Allix : Je ne pense pas que la conscience persiste après la mort, je l’ai démontré. C’est une hypothèse qui est soutenue par beaucoup de scientifiques, en neuroscience, en psychiatrie, en physique sur cette relation entre conscience et cerveau. Il y a une relation évidente entre les deux. On observe des liens, des corrélations entre différents schémas d’activité dans notre cerveau et différents états de conscience. Notre cerveau n’est pas le même réveillé qu’endormi, dans un coma ou en veille comme maintenant. Il y a un lien évident entre cette activité cérébrale et notre état de conscience. Maintenant, dire que ce lien équivaut à un lien de causalité, d’aller un peu vite en disant que le cerveau fabrique ces expériences puisqu’on observe ces relations, ça c’est une hypothèse, qui n’est pas démontrée, ni prouvée, et elle est aujourd’hui même remise en question par beaucoup de neuro-scientifiques qui ne parviennent pas à expliquer comment un cerveau, c’est à dire un organe biologique d’1,4kg, certes qui compte des milliards d’interaction et de connexion, pourrait produire une expérience intime une expérience intérieur, notre sentiment d’exister, nos émotions, notre relation subjective à la vie.

En gros, cette origine cérébrale de notre conscience n’a jamais été prouvée. Et elle fait l’objet de plus en plus de contestation aujourd’hui de la part de chercheurs. Avec notamment des expériences de mort imminente qui montrent que malgré un cerveau en cessation d’activité, ou en activité réduite, où des témoins, notamment des personnes ramenées d’un arrêt cardiaque, rapporte avoir eu une situation de très très grande conscience, être sorti de leur corps, avoir observé un certain nombre de choses. On sait qu’il ne s’agit pas d’hallucinations aujourd’hui, on sait qu’il s’agit d’une expérience réelle, qui bouscule nos idées matérialistes et préconçues sur la relation entre cerveau et conscience.

Breizh-info.com : Comment la communauté scientifique et la société en général ont-elles réagi à vos théories et découvertes ?

Stéphane Allix : Ce ne sont ni mes découvertes, ni mes théories. Je suis journaliste. Mon livre, La Mort n’existe pas est une enquête, sur des années. J’ai rencontré des chercheurs à travers le monde entier. Le monde scientifique est, comme la société en générale, composé par des personnes avec des avis différents. Dans ce monde scientifique, aujourd’hui, au vu des études dont on dispose, les scientifiques qui concluent que l’hypothèse que la vie se poursuit après la mort et que la conscience n’est pas réductible à l’activité cérébrale, sont assez nombreux.

Il y a d’autres scientifiques qui pensent le contraire. Mais c’est un peu ça la science, ça n’est pas une communauté unanime. C’est une communauté avec des idées qui divergent parfois radicalement devant les mêmes faits observés.

Je me suis attaché à démontrer qu’une partie de la communauté scientifique, quand elle étudie les phénomènes de la conscience, arrive à la conclusion, solidement étayée, que notre conscience survit à la mort du corps.

Breizh-info.com : Quelles implications pratiques votre livre peut-il avoir pour les personnes en deuil ou celles qui craignent la mort ?

Stéphane Allix : Sans même aller jusqu’à poser la question de savoir si il y a une vie après la mort, le simple fait de parler de la mort, de faire de ce sujet un thème de réflexion, de pensée, d’échange, de dialogue auprès des familles, permet déjà de faire baisser cette tension qui habite tout un chacun vis à vis de la question de la mort.

Au delà de ça, mon livre, qui met en évidence le travail de nombreux chercheurs, peut ouvrir à des questionnements beaucoup plus profonds, ça a été le cas pour moi. Si véritablement notre conscience n’est pas réductible à notre activité cérébrale. Si il y a quelque chose en nous qui s’apparente à une dimension fondamentale de la conscience, et n’a pas de relation avec le corps, et existe avant la naissance du corps, et subsiste après la mort du corps, ça change radicalement notre vision de la vie.

Et là on touche à des questions plus spirituelles, qui dans les différentes traditions sur terre, peuvent raisonner avec certains enseignements.

Après c’est une grande question philosophique et physiologique que je n’ai pas assez d’espace pour développer ici.

Breizh-info.com : Quelles sont les prochaines étapes dans votre recherche sur la mort et l’après-vie ? Avez-vous des projets futurs en lien avec ce sujet ? 

Stéphane Allix : Oui, je suis arrivé aujourd’hui à ce constat fondamental que notre conscience survit à la mort du corps. Cela signifie que aujourd’hui, en nous, en vous, en moi, en chacun des personnes qui lisez cet article, il y a une âme, une part spirituelle et cette part spirituelle est là. Elle peut être une boussole, un repère, un guide. Cela ne meurt pas à la mort du corps, et cela me donne moi, à titre personne, en tant que journaliste, de continuer à explorer les différentes facettes. A travers les enseignements de certains textes spirituels parfois millénaires (je pense aux traditions hindous, le chamanisme..). Toutes les approches spirituelles les plus anciennes de l’humanité parlent de cette dimension spirituelle qui nous constitue. Chaque tradition spirituelle est colorée, par le contexte culturel et social dans lequel elle est née. Mais ces traditions ont toute un point commun, et c’est celui qui m’intéresse : que se passe-t-il une fois qu’on meurt ? A quoi ressemble ce monde de la conscience dans lequel on pénètre après la mort du corps ?

Propos recueillis par YV
 Breizh-info.com

. Pour ce restaurateur, nous n’avons… pas assez d’immigrés !

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++ WEBTUBE : Le patronat sera-t-il le dernier défenseur de l’immigrationnisme à la française ? À l’heure où l’islam et l’islamisme progressent de conserve à toute vapeur (il faut lire, à ce propos, notre article sur l’enquête de l’IFOP), quand des victimes innocentes tombent sous les couteaux de criminels, quand les banlieues s’enflamment, provoquant des centaines de milliers de dégâts comme en juin dernier, quand la laïcité est chaque jour menacée dans le monde scolaire, quand des quartiers entiers de nos villes font sécession, on trouve encore des voix pour appeler à accroitre les flux.

Alain Fontaine, gérant du restaurant Mesturet à Paris et président de l’Association des maîtres restaurateurs, suscite d’emblée la sympathie de BV. Une sympathie, hélas, rapidement douchée. Invité, ce 11 décembre, avant l’heure de l’apéritif, à l’antenne de BFM TV, il explique qu’il y a bien un problème d’immigration en France : il n’y a pas assez d’immigrés… Cela faisait longtemps.

Comme si l’immigration ne coûtait rien à la France

L’invité de BFM TV déroule un argumentaire si complet dans l’erreur qu’il semble sorti de la grande époque de la manipulation de masse, les années 1980-1990, quand les médias célébraient la doxa d’un seul cœur, sans être jamais contredits. Là non plus, du reste, l’orateur n’est pas contredit. Le restaurateur reprend l’antienne mille fois entendue de l’immigration, cette tradition en France, en 1920, en 1950 et jusqu’à aujourd’hui. Les Italiens et les Polonais ont précédé les Africains du Nord, explique-t-il. « Les générations qui ont suivi se sont installées, dit-il. Aujourd’hui, on est toujours en croissance. »

Air aussi célèbre que faux. Comme si l’ampleur des flux migratoires n’avait pas radicalement changé la donne depuis les années 1920. Et comme si l’origine de cette immigration ne posait pas un défi bien plus grand que lorsque les Polonais et les Italiens fraîchement arrivés côtoyaient les Français sur le parvis de la paroisse. Comme si, enfin, l’immigration ne coûtait rien à la France. Selon Jean-Paul Gourevitch cité par Le Figaro, l’immigration a coûté près de 54 milliards d’euros au pays, en 2023. Une étude contestée, comme il se doit, car la France du politiquement correct estime que l’immigration coûte un peu, pas du tout, voire même qu’elle rapporte !

Mais il faut s’arrêter deux secondes sur la croissance. En croissance, la France ? Oui, mais une croissance très très faible, peut-être inférieure à 1 % en 2023. En tout cas, très en dessous des perspectives de croissance moyenne du PIB mondial, selon l’OCDE (2,7 %). Pas de quoi faire un triomphe à la politique française, immigration comprise.

Mais notre patron a de la ressource : il nous ressort le coup des métiers que les Français ne veulent plus faire. Sauf que les Français ne refusent pas les métiers mais les salaires qui ne leur permettent pas de vivre. Certains salaires à temps partiel ne remboursent pas le coût du transport ! Et chacun sait que, dans le pays le plus taxé du monde libre, de nombreux Français n’ont tout simplement… pas intérêt à travailler : les minima sociaux ajoutés à un peu de travail au noir présentent un intérêt financier bien supérieur.

A contrario, certains employeurs ont tout intérêt à faire travailler une main -d’œuvre peu qualifiée très peu coûteuse. C’est le cas du bâtiment. Ou de la restauration. Le système français est ainsi piqué à l’héroïne de l’immigration. Pour maintenir le prix du menu au ras des pâquerettes, on embauche un cuisinier immigré. Qui fera venir sa famille. « Aucun corollaire avec le chômage », insiste notre employeur : il lui suffit pourtant d’aller comparer le taux de chômage de Trappes, de Mantes-la-Jolie ou de Sarcelles, villes d’immigration forte, avec le taux national. Tout est dit. Les statistiques françaises indiquent avec la régularité d’une pendule que les populations immigrées sont davantage touchées par le chômage que les population dites de souche. Aucun lien avec le chômage ?

Un air de manipulation des années Touche pas à mon pote

Et notre patron de citer deux pays très ouverts à l’immigration avec des taux de chômage faibles : l’Allemagne et les États-Unis. Sauf que la France, ouverte à tous les vents de l’immigration, offre précisément un terrible contre-exemple. Nous affichons un taux de chômage de 7,3 % en octobre 2023, selon l’OCDE, ce qui nous place parmi les dix plus mauvais élèves de la classe des pays développés, pire que l’Espagne, la Grèce ou l’Italie, mais moins bien que tous les autres… Parmi les premiers de la classe sur le critère du chômage, on trouve justement, comme par hasard, des pays fort peu ouverts à l’immigration et très accrochés à leurs frontières, comme la Tchéquie (2,4 % de chômage), le Japon (2,6 %), la Pologne (2,7 %), la Suisse ou la Hongrie de Viktor Orbán (3,9 %). Le Royaume-Uni ou les États-Unis, dont le taux de chômage est faible en dépit d’une immigration forte, font exception. Pour une raison simple : leurs lois sociales n’ont rien à voir avec celles de la France.

Bien sûr, notre restaurateur a un employé immigré qu’il vient de faire régulariser après qu’on lui a offert une formation : « Et il aurait fallu qu’il s’en aille pour se retrouver à la rue ? », demande-t-il avec l’accent de la manipulation des années Touche pas à mon pote. Le numéro ne marche plus. Il devient même insupportable, comme l’écrit dans son style efficace le lanceur d’alerte Damien Rieu.

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L’immigration permet à certains entrepreneurs de maintenir des prix bas en jouant sur les exigences faibles d’immigrés qui n’ont rien à perdre. Le tout aux frais des Français qui payent cette facilité d’un prix exorbitant : celui du poids du chômage des populations immigrées ou d’origine immigrée, de l’AME, des émeutes de juin et, surtout, de l’insécurité sanglante. Les prisons françaises sont remplies à 25 % d’immigrés non français. La France meurt de ces petits égoïsmes aux conséquences dévastatrices. Quant aux restaurateurs tchèques, japonais, polonais, suisses ou hongrois, tous seraient certainement heureux de payer leurs salariés moins cher. En attendant, dans tous ces pays, les restaurants sont ouverts, ils n’ont pas fait faillite… Notre « maître restaurateur » immigrationniste devrait y réserver une table.

Marc Baudriller, Boulevard Voltaire

. Il colle des affiches en hommage à Thomas et finit devant le juge

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++ WEBTUBE : « Aujourd’hui, je suis soulagé que tout cela soit derrière moi. » Trois semaines après sa garde à vue et sa comparution devant un juge, Thibault, l’un des huit jeunes qui, aux côtés de Chloé déjà interviewée par BV, a collé des affiches en hommage à Thomas dans les rues de Lyon, hésite entre le soulagement et l’angoisse.

D’un côté, le jeune homme est heureux de pouvoir tirer un trait sur cette affaire. De l’autre, sa récente condamnation et l’inscription sur son casier judiciaire lui laissent un goût amer. Pour avoir placardé les murs de Lyon d’affiches à la mémoire de Thomas, tué à Crépol le 18 novembre dernier, Thibault se voit condamné à 150 euros d’amende. Une somme à laquelle s’ajoutent 60 jours-amende pour possession, dans sa voiture, d’une bombe poivre (arme de catégorie D) d’une valeur de 420 euros, et 127 euros de frais de justice. Une condamnation assortie d’un retrait du permis de chasse ainsi que d’une interdiction de le repasser et de détenir des armes pendant trois ans. « Le permis de chasse et la confiscation de mes fusils – parfaitement en règle, assure-t-il –, c’est ce qui me coûte le plus », nous confie-t-il. Auprès de BV, il revient sur les événements qui l’ont entrainé à comparaître pour la première fois devant un juge.

Deux nuits en garde à vue

Comme Chloé, Thibault est profondément « révolté » par la mort de Thomas. Alors que des collectifs identitaires planifient une manifestation, malgré l’interdiction de la préfecture, Thibault, qui ne milite plus depuis plusieurs années, décide de ne pas y participer mais de rendre hommage malgré tout au jeune rugbyman de 16 ans. « Je me suis beaucoup identifié à lui. C’était moi il y a dix ans. J’avais besoin d’être actif. Je voulais exprimer un sentiment de colère que beaucoup partagent », explique-t-il. Il imprime alors quelques visuels (dont l’affiche « Thomas tué par des barbares »), achète du matériel de collage dans un magasin de bricolage et motive quelques amis.

À ce sujet — [Témoignage] Elle placarde des affiches pour Thomas et finit en garde à vue

Ensemble, ils placardent leurs affiches sur les murs du Vieux Lyon. Repérés par la police, Thibault et ses amis sont interpellés et placés en garde à vue. Alors que Chloé et cinq autres membres de l’équipée sont libérés au bout de 24 heures, Thibault et un autre jeune homme sont gardés au poste. Audition, perquisition, attente, angoisse… Après deux nuits au commissariat, Thibault, qui n’a toujours pas réussi à prévenir ses proches, apprend qu’il va être déféré devant un procureur. Grâce à un policier, il parvient enfin à contacter sa famille qui lui envoie un avocat.

Devant le procureur, le motif d’incitation à la haine raciale, un temps invoqué pour justifier leur garde à vue, tombe rapidement, faute d’éléments. « Je craignais beaucoup l’inculpation pour haine raciale – ça fait mauvais genre, sur un CV -, donc j’ai été soulagé de voir que le procureur ne la retenait pas », nous raconte-t-il. Après plusieurs heures d’attente, il comparait enfin devant un juge « sur reconnaissance préalable de culpabilité ». Devant le magistrat, Thibault comprend qu’il doit faire profil bas. « Le juge a essayé de me pousser à bout, n’a pas arrêté de me faire la morale et m’a fait des procès d’intention particulièrement désagréables. Mais j’ai pris sur moi et serré les dents », se souvient-il, certain d’avoir adopté la bonne attitude. Finalement, le juge suit le procureur et le condamne à plusieurs amendes. Son ami, qui comparaît juste après lui, tente d’adopter une autre stratégie. « Il a essayé de se défendre, de se justifier et je pense que ça a énervé le juge », nous rapporte Thibault. Une posture qui vaut malheureusement à ce jeune papa de voir son procès reporté au mois de février.

Faire d’eux un exemple

Désormais en liberté, Thibault maintient que la Justice a voulu faire d’eux « un exemple ». S’il regrette d’avoir un casier judiciaire, il pense que leur action a « au moins eu le mérite de médiatiser la mort de Thomas ». Un sentiment partagé par Chloé. Il y a quelques jours, la jeune femme confiait à BV avoir été remise en liberté sans information sur les suites judiciaires. Aujourd’hui, elle a été informée qu’elle écoperait d’une amende pour collage sauvage.

Clémence de Longraye, BV