. À Paris, on prend le métro et on arrive directement à Haïti. Paris est magique !

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++ WEBTUBE : Petit BBQ dans le métro tranquille, comme là-bas !

. Macron désormais en guerre contre sa loi immigration… C’est du n’importe quoi !

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++ WEBTUBE : Ce régime est décidément en fin de vie. La loi immigration voulue par Macron est désormais combattue par Macron lui-même.Pour la faire voter, il a négocié avec LR une version un petit plus dure, mais c’est purement tactique. Dans la foulée, il veut la vider de sa substance grâce à Laurent Fabius, président du Conseil Constitutionnel. C’est ça alors le “En même temps” ?

Mais ce n’est pas tout, Macron veut que sa loi inutile passe sans les voix du RN pour préserver son image antiraciste.

Concrètement, les lois en vigueur, pourtant laxistes, ne sont jamais appliquées. Une loi à peine plus dure ne le sera pas davantage.

Tout ceci est complètement absurde […]. Sans se débarrasser de ce système impossible, la submersion continuera, tout étant paralysé par des avocats, des juges et des bureaucrates.

D.P.

. Tout ce cinéma n’est que simulacre délétère de démocratie

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++ WEBTUBE : En politique, le ridicule ne tue plus depuis longtemps, chacun l’a bien compris. Cela n’empêche nullement le Palais du Luxembourg et le Palais Bourbon, épicentres de feu la démocratie, d’être, en communion étroite, le théâtre où se joue une des plus grotesques mystifications que nos parlementaires imposent au peuple Français, spectateur passif de sa propre décadence.

Oui, le peuple de France, jadis si fier, si lucide et si attentif à la préservation de son identité et de ses valeurs, si solidaire lorsque l’essentiel était en cause, ce peuple de France, depuis des lustres abâtardi par une débauche migratoire invasive et malveillante, abusé par ses élites corrompues et flouées, par de faux leaders masqués d’un charisme trompeur du nom de Mitterrand, Chirac ou Sarkozy et plus récemment Macron, ce peuple de France est une fois de plus le jouet d’un leurre politique animé par les élus d’une infime partie de sa substance suprême.

En cause, l’immigration massive, incontrôlée et invasive, qui depuis cinq décennies, change et remplace le peuplement historique de la Nation de Louis XIV, de Napoléon et de Charles De Gaulle.

En cause, la civilisation de nos ancêtres confrontée à une lutte à bas bruit mais au rythme croissant, imposée par une autre civilisation qui, depuis 13 siècles, recule parfois face aux résistances déterminées mais n’en perd pas moins sa détermination résolue de conquête mondiale.

En cause, une immigration encouragée par une caste politique dévoyée, responsable de l‘altération de la langue française, coupable de l’effacement de la mémoire historique, délinquante dans la gestion calamiteuse et mortifère des affaires et du patrimoine du vieux et noble pays qu’est la France.

En cause, Emmanuel Macron qui en qualité de président de la République, en charge des grandes orientations, n’a pas su empêcher que les chiffres de l’immigration n’explosent entre 2017 et 2024 portant celle-ci à des sommets qui inquiètent même les plus laxistes en la matière, c’est-à-dire que 10 % de la population est d’essence exogène est inassimilable.

En cause, Gérald Darmanin, ce ministre soucieux de la préservation de son chemin carriériste bien plus que du bien public dont il a le devoir pourtant d’assurer, au moins, la tranquillité et qui agite un foulard rouge (sa prétendue loi immigration) sans pour autant agir efficacement.

En cause, ce faux débat prétendument démocratique qui démarre par le rejet du projet de loi sur l’immigration, qui se poursuit par un pseudo-durcissement du texte gouvernemental par le Sénat, qui continue par un simulacre de concertation au sein d’une espèce de Commission dite « mixte paritaire », laquelle réunit, en fait, de faux adversaires soutenant en réalité un projet A pour les uns et un projet A bis pour les autres ; le tout n’étant différent qu’à la marge la plus réduite possible.

En cause, l’écart abyssal qui sépare le souhait de la grande majorité des Français, lesquels veulent l’arrêt pur et simple de l’immigration, et la volonté de ses supposés élus qui eux, ne veulent que réduire le rythme de ces mouvements migratoires.

En cause, l’envie de plus de démocratie exprimée par le peuple s’opposant au déni de démocratie exprimé par le pouvoir.

En cause finalement, le refus du POUVOIR d’écouter le peuple et de répondre à ses attentes.

On peut donc s’attendre à ce que rien ne change vraiment puisque la loi qui sera votée sera quoi qu’il advienne celle qui plaît au pouvoir et ne satisfait que très modestement le peuple.

Il serait si simple, face à ce blocage absurde et mortifère des institutions, de procéder à un recours au peuple de France.

Il existe deux solutions, à la fois justes et parfaitement démocratiques :

1) une dissolution qui doterait le Parlement d’une configuration conforme à ce que veulent les Français.

2) Un référendum pour demander aux Français de dire sans ambiguïté ce qu’ils veulent pour l’avenir de leur pays.

Il y a bien une troisième solution qui serait la meilleure ! … Ce serait que le principal responsable de la situation, Emmanuel Macron, parte… Mais cela chacun sait très bien qu’il ne le fera que si on l’y contraint sans recours.

Jean-Jacques Fifre, riposte Laïque

. En France, on peut mourir à 26 ans aux urgences dans un couloir, sans soins. Lamentable !

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++ WEBTUBE : Lucas est mort après dix heures passées aux urgences d’Hyères, dans le Var, au mois d’octobre. Un poète a chanté que la misère est plus belle au soleil. Hyères est éblouissante dans ses palmiers au bord de la mer. Mais on y meurt comme ailleurs, et bien plus mal qu’ailleurs, quand on est lamentablement abandonné aux urgences. Lucas a commencé à se sentir mal le vendredi soir. Alors qu’il devait partir pour la soirée à Marseille, il décide de faire demi-tour et rentrer chez lui avec sa compagne parce qu’il se sent trop mal. Après une nuit mal en point, il décide d’appeler SOS Médecins le matin. Finalement, en début d’après-midi le samedi, comme SOS Médecins n’est toujours pas venu chez lui, il compose le 15. Il respire difficilement. Il a mal aux côtes, vomit, a des diarrhées.

On l’envoie à l’hôpital d’Hyères. Il y arrive à 15 h 50. Il est installé sur un brancard, dans le couloir. Et puis ? Et puis, rien. Le rapport des pompiers n’a même pas bien été transmis.

Il souffre. À 18 h 30, on lui administre un anti-vomitif. Vers 20 h un médecin l’ausculte rapidement. Et puis, toujours rien.

On lui demande s’il fume de l’herbe. Eh bien non. C’est vrai que ses dreadlocks pouvaient le laisser penser. Donc comme on croit qu’il se drogue, on ne lui fait rien. On croit que ça va passer.

C’est comme un autre jeune, soigné à Vierzon par une interne voilée qui lui avait dit : « Ah, comme tu es chrétien, tu as trop mangé à Pâques. » Comme si les chrétiens après le carême s’empiffraient comme les musulmans les soirs de ramadan. Ben voyons.

Lucas souffre terriblement, gémit, se retourne sur son brancard. On lui donne du spasfon. La seule personne qui compatit c’est son voisin, un autre jeune homme, horrifié.

Ses parents sont sur le parking de l’hôpital mais on leur interdit d’entrer. Ils suivent par SMS l’état de leur fils. Ils ne le reverront qu’intubé et dans le coma : trop tard.

Vers 21 h 30, Lucas fait un malaise dit vagal. Un médecin lui prend sa tension et trouve 5,3. Mais comme Lucas parle, il n’y croit pas.

Lucas multiplie les arrêts cardiaques. On le met enfin en réanimation. On lui fait un massage cardiaque pendant 45 minutes. Mais c’est trop tard et surtout le diagnostic n’est pas fait.

Son voisin de couloir témoigne : « Un infirmier sort de la salle de déchoc en hurlant parce qu’il n’y avait pas d’adrénaline. Tout le monde court dans tous les sens pour en chercher dans l’hôpital. Rien ! C’est finalement dans l’ambulance du Smur qu’un infirmier en a trouvé, revenant avec quatre petits flacons ! » 

C’est la grande pauvreté de l’hôpital. En 2023.

Lucas meurt à deux heures du matin, d’une infection à méningocoque. Il a une bactérie dans l’abdomen. Son agonie aura duré dix heures, abandonné dans un couloir, sur un brancard.

Sa famille a décidé de porter plainte pour homicide involontaire. Elle estime qu’il y a eu des négligences et veut que cela ne se reproduise plus.

Cela souligne les failles du système hospitalier. Malgré ses symptômes alarmants, son admission aux urgences a été marquée par un manque de suivi médical et des retards dans les soins. Les résultats d’analyses, révélant une grave infection bactérienne, n’ont pas été traités avec l’urgence requise. Sa mère dénonce un manquement aux obligations de prudence et de sécurité, ayant contribué à la mort de son fils.

Mais cela se reproduit tous les jours. Dans un autre hôpital une de mes amies a failli mourir il y a quinze jours de la même chose. On ne lui a pas diagnostiqué une infection. Grâce à l’insistance de sa sœur, qui a donné l’alarme et cogné aux portes, et l’a elle même transportée aux urgences, on a pu guérir sa septicémie. De justesse.

Comment est-ce que cela pourrait ne pas se reproduire ? Après quarante ans de numerus clausus abscons, on manque de médecins. On a fait des économies de bouts de chandelles. On manque d’infirmiers. On manque de tout.

Macron et ses prédécesseurs se sont fait une gloire, pendant le covid, d’avoir fermé des lits d’hôpitaux. J’avais un vieil oncle qui, lui, médecin chef dans un hôpital, se faisait une gloire d’ouvrir des lits. À cette époque quand on le voyait, il nous disait bonjour puis tout de suite après il nous disait : « j’ai fait rouvrir trois lits, six lits ». Il en était très fier. Mais c’était avant. Avant le grand malaise de la médecine. Nous avions une des meilleures médecines du monde. De nos jours elle est dans un état comateux. Et les Français avec elle.

Forcément on ne peut pas accueillir et soigner toute la misère du monde. À un moment, ça craque.

L’Aide médicale d’État (AME) doit être supprimée de toute urgence. Il est inadmissible qu’on dépense chaque année plus d’un milliard d’euros pour soigner des gens qui sont en France par effraction, alors que les Français sont abandonnés.Le Sénat a essayé de le faire, le 7 novembre. Mais elle a tout de suite été rétablie. Sa suppression ne suffirait sans doute pas pour remonter notre système. Mais ce serait toujours cela de pris. Et l’assurance pour les Français d’être soignés les premiers, dans leur pays.

Une tribune du Monde a déclaré : « La remise en cause de l’AME ferait courir un risque majeur de désorganisation du système de santé, d’aggravation des conditions de travail des soignants et de surcoûts financiers importants ».Quelles sornettes. Ce serait tout le contraire.

L’appel d’air serait supprimé. Est-ce qu’il y a beaucoup de Français qui vont exprès se faire soigner à l’étranger ? Aux USA par exemple on ne soigne que ceux qui sont assurés. Avant d’opérer, on s’assure qu’ils pourront payer. Point.

En attendant, en plus de risquer à tout instant le coup de couteau de l’égorgeur, le viol du frustré sexuel qui n’a pas nos codes, le cambriolage des déplacés qui croient que la France est à eux, les Français courent aussi le risque de mourir faute de soins, misérablement abandonnés dans un couloir d’hôpital.

Sophie Durand, Riposte Laïque

. Laurent Cassiau-Haurie, ancien commandant de Police : « Le pays a accouché d’une élite incompétente et traitresse. A nous de reprendre les rênes »

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++ WEBTUBE : Dans son nouvel ouvrage intitulé « Qu’est-ce que vous n’avez pas compris ? » et auto édité (à commander ici), Laurent Cassiau-Haurie, ancien commandant de Police dresse une revue non exhaustive des travers que rencontre la société française actuellement. « Il ne s’agit pas d’angoisser le bon peuple mais tenter d’ouvrir les yeux de ceux qui vivent dans le déni ou dans une indolence coupables. Les idéologues sont perdus, rien ne pourra les faire changer. Mais vous, vous qui lirez ces lignes par curiosité ou intérêt, vous aurez constaté une société qui déjà affublée de ses tares traditionnelles tels le gauchisme et le progressisme, est dorénavant gangrénée par de nouveaux virus qui fracturent un peu plus. Ainsi le wokisme, l’idéologisme, l’européisme sans oublier le “traitrisme”, le “nullisme” et le “mensongisme” ont pris le pouvoir et détruit le bon sens » indique-t-il dans la présentation d’un livre intéressant. Pour l’évoquer, Pierre d’Herbais a interviewé l’auteur pour breizh-info.

Breizh-info.com : Pourriez-vous vous présenter pour nos lecteurs qui ne vous connaitraient pas ? 

Laurent Cassiau-Haurie : J’ai 61 ans, Retraité de la Police Nationale en tant que Commandant. J’ai dans un premier temps été Enquêteur de Police, grade qui n’existe plus, à EVRY dans l’ESSONNE puis devenu après concours Inspecteur de Police , j’ai intégré la PJ d’AJACCIO, Section Criminelle avant de rejoindre VERSAILLES également en PJ, où j’ai servi durant sept années à la Brigade des Stupéfiants.

J’ai rejoint ma région, plus précisément BORDEAUX en 1999, ou j’ai été affecté successivement à la Brigade Judiciaire de Nuit puis à la Brigade Territoriale de CENON, la Brigade Auto (vols et trafics) avant de diriger la Brigade des Violences à mon retour d’ALGERIE où je suis resté deux ans. J’ai pris la tête de la Brigade Criminelle puis l’Unité de lutte contre l’Economie Souterraine. Malgré un parcours professionnel riche, varié que l’on considère comme réussi j’ai été placardisé par l’administration à l’issue d’une campagne de calomnie et de jalousie de certains hiérarques locaux si bien que j’ai terminé ma carrière à l’Unité Administrative sans aucun autre recours et voie de sortie possibles.

Ce qui m’a donné l’envie d’écrire et de publier mon premier livre La Police M’a Tué. J’y ai pris goût en même temps que ce fut une excellente thérapie, gratuite et décisive, j’ai sorti par la suite Flic et Gilet Jaune et J’accuse-Réveillez-vous!

Je me suis ensuite fait énormément plaisir en écrivant un roman policier pour jeunes adolescents, agrémenté de dessins, en mettant mes petites filles en scène, dans Mystère à Pétaouchnok.

Et enfin le dernier, certainement le plus abouti, Qu’est ce que vous n’avez pas compris?.

Breizh-info.com : Dès le premier chapitre de votre livre, vous prenez la défense des policiers. Vous mettez en cause l’instrumentalisation gauchiste notamment quand on parle de violences policières. Sans ces instrumentalisations, pensez-vous qu’elles n’existeraient pas ?

Laurent Cassiau-Haurie : Mais les violences individuelles, les dérapages ou ce qu’on appelle communément les bavures dans sa forme la plus grave ont toujours existé. Elles ne sont pas institutionnelles, c’est évident encore que pour la répression contre les gilets jaunes on n’était pas loin. A partir du moment c’est d’ailleurs ce que j’écris dans mon dernier bouquin, où vous multipliez les interventions, de façon récurrente, que les opposants se radicalisent, vous avez automatiquement et statistiquement des violences “policières”. Mais attention, on a tendance à mettre sous ce vocable tout et n’importe quoi. Je le précise par ailleurs dans les livres, qu’il ne faut pas confondre la violence légitime que l’on octroie aux unités de maintien de l’ordre et un acharnement ou une volonté de faire mal. Des CRS qui matraquent, rien de plus normal. Des flics qui tirent dans les visage de manifestants ne présentant pas de danger ou ne commettant pas de délits, c’est anormal. Après on peut toujours comprendre l’énervement, la fatigue, l’atmosphère décadente, la pression hiérarchique, tout peut s’expliquer jusqu’à la responsabilité propre du policier.

Breizh-info.com : Vous évoquez également les gilets jaunes et fustigez le “deux poids deux mesures” avec le traitement de la “racaille de banlieue”. Outre les ordres, ne croyez-vous pas que le policier, comme être humain, n’a pas sa part de responsabilité dans les actes qu’il commet ?

Laurent Cassiau-Haurie : Bien évidemment, c’est d’ailleurs ce que j’explique dans mon second livre Flic et Gilet Jaune. La responsabilité est toujours individuelle dans un acte répréhensible ou pas, à fortiori dans le domaine judiciaire. Quand bien même on n’exécuterait un ordre, il est de votre conscience et en application du droit de juger et d’agir en conséquence. Après, c’est lors de l’enquête, l’instruction et le procès qu’on examinera les conditions d’emplois et d’exercice de la Force de Police avec les agissements et conduites de chacun. Mais je vous rassure aucun ordre de tirer dans le visage des manifestants n’a jamais été donné. On vous fait comprendre qu’il faut “nettoyer”, “pas de quartier” mais c’est toujours oral. Donc avec circonstances atténuantes en quelque sorte, le fonctionnaire engage sa responsabilité et cela a toujours été ainsi.

Breizh-info.com : A la page 88, vous posez une question ouverte sur le phénomène de Grand remplacement. Je vous le demande, que se passerait-il, d’après votre expérience, si les musulmans représentaient 50% de la population ? Et, à ce sujet, cela ne relèverait-il pas du fantasme ?

Laurent Cassiau-Haurie : C’est ce qui est en train de se produire sous nos yeux et nous regardons ailleurs! Ce sera mais c’est déjà le cas un profond bouleversement des moeurs, habitudes, consignes, instructions et pourquoi pas de nos lois, des structures, des organismes ….

Breizh-info.com : Vous parlez également du contrôle des masses. Le terme “complotistes” pour ceux qui résistent, revient souvent. Ce contrôle s’exerce-t-il également sur les policiers et de quelle manière ?

Laurent Cassiau-Haurie : Il est permanent et insidieux. Le remplissage de tableaux excel, fichiers, logiciels d’activité y concoure. Les mentalités “aventureuses” ou romantiques ont été abolies. On a militarisé cette administration, on a construit un pyramidage hiérarchique très pesant. On a robotisé les fonctions et on a chloroformé les actions. Si le processus a été respecté, l’administration est contente peu importe s’il a été fait en dépit du bon sens. Les incriminations et les process d’activation de cette institution sont de plus en plus politiques et politisés: violences faites aux femmes, discriminations, racismes …. alors qu’une hausse exponentielle d’autres types d’infraction ne soulève qu’un sourcil broussailleux d’un chef de service car il serait malvenu d’en faire une lutte prioritaire, ce serait constater l’effondrement de la doxa imposée, multiculturalisme, libre circulation au sein de l’Europe …

Breizh-info.com : En lisant votre livre, on vous sait tout de suite engagé politiquement. Tout y passe jusqu’à l’institution européenne. N’avez-vous pas peur de brouiller votre message ?

Laurent Cassiau-Haurie : Alors en ce qui concerne mon message, il est en fait très clair. J’ai pris tous les domaines où la France a échoué, reculé, où est en perdition, à peu près tous les secteurs, en fait: éducation nationale, insécurité, immigration, souveraineté, prestige, commerce extérieur, dette, industrialisation… J’ai constaté que les mêmes méthodes de gouvernance avaient été employées et revendiquées à savoir: idéologie progressiste, gauchiste et européiste, déni, mensonges, manipulations et traitrise. Les mêmes causes les mêmes effets, cela s’appelle un déclin voulu et forcé.

Breizh-info.com : Si le lecteur n’avait qu’une idée à retenir de votre livre, laquelle choisiriez-vous ?

Laurent Cassiau-Haurie : Le pays a accouché d’une élite incompétente et traitresse. A nous de reprendre les rênes.

Breizh-info.com : Pouvez-vous nous livrer une expérience inédite de votre carrière qui pourrait illustrer au mieux votre message ?

Laurent Cassiau-Haurie : Je n’ai pas dit et écrit grand chose sur ma carrière et pourtant j’avais eu l’occasion de le faire dans mon premier livre La Police Ma Tué. Je me suis contenté de raconter un fait “extraordinaire” intervenu lors de chaque passage dans un service de Police. J’invite le lecteur intéressé à s’y rapporter après avoir surtout, lu celui-ci.

Propos recueillis par Pierre d’Herbais
 Breizh-info.com

. Libé s’affole : avec Gaspard Proust, le rire change de camp !

Articles     : Dec. 2023Nov. 2023Oct. 2023Sept 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

++ WEBTUBE : « Vous en connaissez, des gens de gauche qui, à la chute de Berlin, se soient enfuis à l’Est ? » Dans les années 2010, Gaspard Proust débutait sa carrière de comique de droite. Lors de l’émission Ce soir (ou jamais !) animée par Frédéric Taddeï, il lançait ce pavé sur les pieds de Clémentine Autain. Depuis cet attentat à la pudeur de gauche, il n’a cessé d’aggraver son cas. Trublion fasciste au JDD, humoriste nazi à une soirée débat de Valeurs actuelles et en signe de confirmation de sa marche vers les heures les plus sombres : tourneur en dérision de Sandrine Rousseau et autres François Hollande sur Europe 1.

L’arme de destruction massive par le rire

Face au vent d’humour qui tourne dans le sens opposé au souffle de France Inter, la gauchosphère se mobilise. Libération se saisit du dossier et énumère les lourdes charges qui pèsent contre l’insolent. Jamais bien-pensant n’avait produit pareil casier judiciaire. Des délits comme s’il en pleuvait, des écarts et des dérapages à ne plus savoir qu’en faire, le tout commis au sein d’un gang dirigé par Al Capone Bolloré. La préposée aux affaires alarmantes du journal a déjoué la stratégie de cette association de malfaiteurs. Gaspard Proust en est l’arme de destruction massive par le rire, le trublion qui appuie sur les zygomatiques les plus sensibles. Ceux placés à droite de la droite. Et ça fait mal. « Oui, ici… Non, plus à droite encore. » Le nerf ultra est touché. Les spécialistes ont jeté l’éponge. Pas de vaccin ni d’antidote. Les gens rigolent et la gauche souffre.

La mâchoire enrubannée d’un pansement calmant, la journaliste a convoqué les témoins de ce départ de l’humour vers le camp du mal. Un ex du JDD vient témoigner de l’outrecuidance du bonhomme lors du meurtre de Lola. « Un holocauste, un sacrifice rituel, une immolation offerte aux ténèbres »avait-il osé écrire. Un discours « gloubi pro-religieux à vomir », selon la Société des journalistes (SDJ) citée par Libération« À l’époque », précise la victime, il fut classé meilleure audience de la semaine sur le site. L’audition de ce témoin opère comme la roulette du dentiste sur le nerf. Aïe ! Ça fait rudement mal. « Le ton de ses textes était une anomalie », résume le témoin. Des mécaniciens se penchèrent sur la machine à ridiculiser le wokisme. Non, tout marchait bien. Trop bien ! Impossible d’enrayer le mécanisme. Dans le miroir, le bobo ressemblait au conformiste qu’il moquait jadis sous les traits du beauf de Cabu. Beauf, moi ? Jamais ! Trop tard. Gaspard Proust en esquissait les contours. Le portrait commençait à prendre forme pour arriver, aujourd’hui, à un dessin plus précis du réactionnaire mondialiste.

Atteint du « bollorisme »

Le pire péché commis par cet homme atteint de bollorisme, c’est sans doute sa chronique consacrée à l’affaire Nahel. Sur Europe 1, le chroniqueur proposait de placer « toute la confrérie des p’tits anges » dans la soute d’un avion en partance pour le « plein sud ». Le tout dans une ambiance de garden-party avec musique et champagne à volonté. L’icône du « vivre ensemble » s’était brisée sur le sol de la rédaction de Libération. Les bureaux tremblaient. Un séisme de 7 sur l’échelle de Corbière qui en compte 6 était relevé. Comble de malheur : depuis son changement de braquet, l’audience d’Europe 1 remontait. Gaspard Proust était décidément l’homme « chargé de faire marrer les foules apeurées par le Grand Remplacement ».

Ultime affront. L’intéressé a décliné l’offre d’interview qui lui fut faite. Lampe, baignoire et électrode, tout avait été pourtant soigneusement préparé. Quel lâche !

Jany Leroy, Boulevard Voltaire

. « La Hongrie persiste à défendre sa nation dans la civilisation européenne »

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++ WEBTUBE : Essayiste et professeur d’histoire contemporaine et sciences politiques à Budapest, Thibaud Gibelin est l’auteur de Pourquoi Viktor Orban joue et gagne : Résurgence de l’Europe centrale (Fauves). Au micro de Gabrielle Cluzel, il décrypte la personnalité de celui qui fait figure d’empêcheur de tourner en rond en Europe – notamment, ces derniers jours, avec ses menaces de blocage des négociations pour l’entrée de l’Ukraine dans l’UE. Il montre aussi comment un aussi petit pays que la Hongrie a pu devenir le fer de lance, sur notre continent, de la résistance à l’immigration massive.

Gabrielle Cluzel, BV

. Les sans-papiers manifestent en toute illégalité : l’État laisse passer…

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++ WEBTUBE : Ce lundi 18 décembre, une certaine France manifestait. Ainsi, contre le projet de loi de Gérald Darmanin relatif à l’immigration, plus de 300 organisations et 15 collectifs de sans-papiers appelaient-ils à battre le pavé. À la fin des courses, ils étaient « 2.300 à Paris », à en croire la préfecture de police. Et hors de la capitale ? Pas de chiffres officiels ou officieux pour le moment. Mais, en comptant large, celui de 6.000 sur l’ensemble de la France demeurerait plausible. Ce qui nous ferait, calculette à la main, 315 organisations et 6.000 manifestants. Soit des mouvements ayant réussi à, chacune, mobiliser un peu plus de 19 personnes prêtes à prendre sur leur temps libre pour démontrer que la rue appartenait toujours à la gauche ; voir à la gauche de la gauche. Bel effort, mais singulièrement peu probant.

Pourtant, des associations telles que la Cimade, organisation d’obédience protestante, avaient mis les petits plats dans les grands, à en croire ses appels à mobilisation : « Personne n’est illégal ! », le tout traduit en langues anglaise et arabe. Et d’affirmer : « L’enjeu ? Voulons-nous vivre dans une société raciste, sécuritaire et antisociale ? » C’est poignant, mais peut-être un peu loin des actuelles préoccupations des Français.

Et cette même Cimade de mettre en exergue, sur son site Internet, le tract appelant à cette même manifestation et le slogan fédérateur y afférent : « Mobilisation partout en France à l’occasion de la journée internationale des migrant.e.s et contre cette loi raciste. » Et, tant qu’à demeurer dans le lyrisme prépubère, cette profession de foi : « Avec la loi Darmanin, les droits des étranger.es en général seraient fortement restreints et aucune solution acceptable ne serait apportée à la situation de milliers de personnes sans papiers, en particulier grâce à leur régularisation. »

Des hors-la-loi manifestant pour changer la loi…

Au-delà de ce gloubi-boulga vaguement humanitaire, un fait demeure : des hors-la-loi en appellent une fois de plus à changer la loi à leur unique profit. Un peu comme si des dealers s’en allaient défiler en rang par deux, de la place de la Nation à celle de la République, pour protester contre l’importation massive de drogues venues de l’étranger et alerter l’opinion publique sur leurs fins de mois désormais difficiles.

À ce sujet — [Point de vue] Faut-il interdire Gérald Darmanin ?

Dans le même registre, à quand des cortèges de braqueurs protestant contre le manque de liquidités dans les banques et les fourgons blindés, pour cause d’usage massif de cartes de crédit et de mondialisation financière venant menacer les petits métiers de jadis ?

Cette contradiction majeure ne semble déranger personne, que ce soit dans les microcosmes politiques et médiatiques. Car si ces associations appelant à violer ou contourner la loi continuent de bénéficier de la bienveillance des pouvoirs publics, quand ce n’est pas celle, financière, des deniers publics, Gérald Darmanin persiste, dans le même temps, à dissoudre à tout va d’autres associations n’ayant pas l’heur de lui plaire.

Avec 36 de ces dernières, victimes de son bon plaisir depuis 2017, le régime macronien est champion du monde en la matière. Au rang de celles-là, des mouvements catholiques ne représentant guère de danger pour l’ordre public et n’ayant jamais violé les lois « républicaines », alors que celles visant à défendre des immigrés clandestins paraissent librement s’en affranchir.

La chimère de « l’ultra-droite »…

Puis, cette fantasmatique ultra-droite dont on cherche en vain les drames qu’elle aurait pu commettre. Le comble du tragi-comique a par ailleurs été atteint avec la tentative d’annulation d’un colloque tenu par l’Action française, le 13 mai 2023, au motif qu’à cette occasion, les sacro-saintes « valeurs de la République » auraient pu y être égratignées. Diantre, que dans une réunion royaliste on ne puisse pas se prosterner devant Marianne, il n’y avait pourtant là rien de bougrement inédit. Devant le ridicule, Gérald Darmanin, malgré ou à cause de son passé fleurdelysé, a finalement dû en rabattre.

Et depuis, coincé entre son aile gauche, qui veut manifestement sa peau, et son équivalent de droite, qui ne sait plus trop bien où il habite, pris en tenaille entre RN et Reconquête, le ministère de l’Intérieur persiste à gouverner à vue et au doigt mouillé. À la place de l’Élysée, on s’inquièterait. Il semble que ce soit déjà fait.

Nicolas Gauthier, Boulevard Voltaire

. “Brigitte” Macron : la piste transsexuelle confirmée ?

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++ WEBTUBE : Depuis les premières investigations de Xavier Poussard, rédacteur en chef de la lettre confidentielle Faits & Documents, investigations dont nous nous sommes fait l’écho dans cet article de décembre 2021, l’omerta règne dans les “grands” médias français au sujet de l’identité sexuelle de Brigitte Macron.

Pour mettre un point final à l’enquête, Xavier Poussard a utilisé Face++, le logiciel de reconnaissance faciale mis au point par la société chinoise Megvii – ce logiciel est capable d’identifier formellement chacun des 1,4 milliard de Chinois… – qu’il a fait “mouliner” sur de très nombreux documents photographiques originaux où figurent les protagonistes – adultes ou enfants – de la saga Trogneux. Il publie les résultats dans la dernière livraison de Faits & Documents.