. Marie-Hélène Thoraval et Dorothée Pacaud : la résistante et la soumise

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Articles     : Dec. 2023Nov. 2023Oct. 2023Sept 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

++ WEBTUBE : On pourrait trouver quelques ressemblances physiques entre Marie-Hélène Thoraval et Dorothée Pacaud. Ce sont deux femmes qui ont dépassé la cinquantaine, mais n’ont pas encore atteint la soixantaine. Elles sont toutes deux maires de villes moyennes, plus de 10.000 habitants, mais moins de 30.000. Elles ont des enfants, sont hétérosexuelles, ont encore un mari, ce qui est de plus en plus rare. L’une ne cache pas une appartenance droitière à LR, l’autre a la gauche honteuse, mais des pratiques de gauche bien affirmées.

Mais dans les faits, tout oppose ces deux femmes, confrontées dans leurs communes, avec des données fort différentes, aux questions de l’immigration qui sont indissociables de celles de l’islam et de l’insécurité.

Elles sont toutes les deux menacées de mort, nous dit-on. On doit prendre très au sérieux les menaces qui touchent Marie-Hélène Thoraval, tout simplement parce qu’elle a rompu la loi du silence, et a décidé, après la mort de Thomas, de dénoncer tous les fléaux qui gangrènent sa ville, et plus particulièrement le quartier de La Monnaie, que nous appelons une zone islamisée.

Elle a rendu public le fait que les racailles qui ont assassiné Thomas étaient venues pour tuer du Blanc. Elle a relayé la demande des parents de requalifier l’assassinat de “raciste”. Elle a expliqué que 150 millions avaient été utilisés pour ce quartier, qui est le mieux traité de la ville, et que toutes les constructions avaient été vandalisées, au fur et à mesure, par certains habitants. Elle a expliqué que lors des dernières émeutes, tous les commerces avaient été saccagés et pillés, sauf ceux qu’elle a appelés “communautaires” et que nous appellerons musulmans. Elle a également affirmé, à la grande fureur des parents, que tous les enfants arrêtés, dont Darmanin a voulu cacher l’identité le plus longtemps possible, étaient descendants de délinquants et qu’ils reproduisaient un mode de vie. Elle a dit son ras-le-bol devant la culture de l’excuse, en permanence mise en avant par la gauche, mais aussi par des pans de la droite molle, très molle.

Bien évidemment, ces vérités lui valent des inimitiés, et surtout des menaces de mort, de viols, de décapitation et autres gentillesses, de la part des soldats d’Allah et de gauchistes, unis pour détruire la France par la haine et la terreur. Les racailles islamisées voulaient même organiser une manifestation devant l’Hôtel de Ville, après avoir fait déambuler leur milice dans les rues de Romans, en insultant et menaçant les habitants du centre-ville. Elle affirme, et c’est incontestable, être soutenue par des millions de Français qui lui demandent de refuser de se taire et de tenir bon. Son entretien accordé au JDD, ce jour, ne va pas arranger son cas, puisque, selon la doxa dominante, le journal dirigé par Geoffroy Lejeune serait d’extrême droite, et quiconque se réclame de la gauche n’aurait pas le droit de s’y exprimer.

https://www.lejdd.fr/politique/marie-helene-thoraval-maire-de-romans-sur-isere-beaucoup-de-francais-me-supplient-de-tenir-bon-140086

Justement, Dorothée Pacaud, nouveau maire de Saint-Brevin-les-Pins, a fait partie des signataires qui se sont permis, derrière les journalistes macronistes et gauchistes, de s’opposer, durant six longues semaines, au fait que le propriétaire du journal, Arnaud Lagardère, et celui qui détient le vrai pouvoir, Vincent Bolloré, aient décidé de nommer à la tête de l’hebdomadaire du dimanche Geoffroy Lejeune, considéré comme un proche d’Éric Zemmour. Le totalitarisme de la gauche a éclaté au grand jour, durant cette période où une caste a prétendu interdire à des journalistes, qui osent ne pas penser comme la majorité de la profession, d’exercer leur métier. Et en bonne soumise à la doxa dominante, Dorothée Pacaud a participé lâchement à la lapidation de la nouvelle équipe du JDD. Il suffit de lire, chaque dimanche, le contenu remarquable, mesuré, et très pluraliste (des ministres du gouvernement y donnent des entretiens) pour comprendre que derrière cette campagne, il y avait la volonté affichée de s’opposer au pluralisme de la presse.

Dorothée Pacaud est une petite professeur au visage sévère et à l’allure austère, qui n’a jamais été élue maire par les habitants, mais qui a profité de l’incendie de la maison de Yannick Morez pour se retrouver à la tête de la ville. Comme tous les bien-pensants, et sans la moindre preuve, tel Erwan Chartier au Poher, elle a accusé l’extrême droite d’être responsable de cette agression, alors qu’on sait que la piste d’extrême gauche, fort probable, n’a pas été explorée.

Elle a été la plus virulente militante du conseil municipal pour accueillir 110 migrants, tous hommes seuls, juste à côté d’une école maternelle et primaire, à La Pierre Attelée. Elle a offert des salles à des associations payées pour participer à l’invasion de la ville et de la France. Elle a multiplié les plaintes (avec l’argent de la collectivité) contre les patriotes qui refusent cette folie qui met en danger la vie des enfants du quartier, celle de leurs parents, et de tous les habitants. Elle a insulté les membres du Collectif de Préservation de la Pierre Attelée, les qualifiant de racistes et les classant à l’extrême droite. Elle s’est victimisée, se disant menacée de mort, sans jamais apporter la moindre preuve, alors qu’elle ne court aucun risque, chacun sachant que les seules vraies violences en France viennent des islamistes et des gauchistes, qui la soutiennent, puisqu’elle fait leur politique.

Par prudence, nous ne la qualifierons pas de “collabo”, mais juste de soumise à l’idéologie dominante, avec l’invasion migratoire, l’insécurité et l’islamisation du pays qui s’ensuit, donc de la mise en danger des Français, et des Brevinois.

Dans quelques jours, les premiers arrivants devraient s’installer dans le Cada de Saint-Brevin.

Pendant ce temps-là, Thomas est mort, à Crépol, près de Romans, poignardé par des racailles au profil de ceux qui viendront s’installer à Saint-Brevin.

Pendant ce temps-là, Fabienne, une infirmière de 68 ans, a été, à Lille, massacrée, violée, poignardée, égorgée, par un migrant au profil de ceux qui viendront s’installer à Saint-Brevin.

Pendant ce temps-là, un homme de 86 ans, à Pau, a été mortellement frappé par deux cambrioleurs au profil de ceux qui viendront s’installer à Saint-Brevin.

Pendant ce temps-là, dans une galerie marchande de la Région parisienne, un couple de 73 ans a été sauvagement massacré à coups de couteau par un migrant au profil de ceux qui viendront s’installer à Saint-Brevin.

Sans parler de dizaines d’autres de coups de couteau, voire de coups de marteau, comme ce samedi soir, à Paris. Sans parler du climat de terreur que vivent les Français dans toutes les villes où les racailles à couteau font la loi.

Comme le disait Éric Zemmour, “Ce sont toujours les Thomas qui tombent et ce sont toujours les Chahid qui les tuent”.

Or, pour l’instant, à Saint-Brevin, il n’y a que des Thomas, mais bientôt, les Chahid vont arriver, à cause d’une élue comme Dorothée Pacaud qui, par inconscience ou dogmatisme, ou les deux, met en danger la vie de ses administrés.

Marie-Hélène Thoraval, malgré son appartenance à LR, symbolise une France qui redresse la tête, refuse de mourir et combat la dictature des racailles et de leurs complices.

Dorothée Pacaud incarne la collaboration d’une élue avec la gauche et le pouvoir macroniste, qui veulent faire disparaître la France et remplacer les Français.

Entre ces deux femmes, il y aura toujours la frontière qui sépare les résistantes et les soumises.

Cyrano, Riposte Laïque

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