Nouvelle offensive politique de l’islamisme avec « Les Hijabeuses » d’Alliance Citoyenne reçues au siège de la FFF pour autoriser le hijab Le Conseil d’État va statuer

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27/11/2021

Les “hijabeuses”, des militantes qui réclament le droit de porter le voile durant les compétitions sportives officielles, ont saisi le Conseil d’État. La position de celui-ci est incertaine, expose Jean-Eric Schoettl, ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel.

Jean-Éric Schoettl a été secrétaire général du Conseil constitutionnel de 1997 à 2007. Il est conseiller d’État honoraire.

La Charte olympique énonce en son article 50.2 la règle selon laquelle : «Aucune sorte de démonstration ou de propagande politique, religieuse ou raciale n’est autorisée dans un lieu, site ou autre emplacement olympique».

Des «hijabeuses» ont demandé au président de la Fédération française de Football d’abroger cette interdiction, exposant qu’elle leur ferme, en raison du couvre-chef qu’elles portent, l’accès aux matchs de coupe, de championnat ou de district. Cette demande a été rejetée et son rejet déféré au Conseil d’État. Un tel contentieux n’a rien d’étonnant lorsqu’on sait que le sport est devenu, depuis une vingtaine d’années, le terrain de prédilection de l’entrisme islamiste et que le football oppose aux radicaux la plus forte résistance au niveau fédéral.

Un tel contentieux n’a rien d’étonnant lorsqu’on sait que le sport est devenu, depuis une vingtaine d’années, le terrain de prédilection de l’entrisme islamiste et que le football oppose aux radicaux la plus forte résistance au niveau fédéral.

S’il venait à recevoir un accueil favorable du Conseil d’État, le recours contre les dispositions des statuts de la Fédération française de football interdisant l’ostentation religieuse lors des compétitions ou manifestations organisées sous l’égide de la Fédération ferait donc tomber un bastion stratégique de la résistance à l’islamisme dans le sport.

Jean-Éric Schoettl

[…]

Le problème n’existerait pas si, lors de l’élaboration du projet de loi confortant le respect des principes de la République, le gouvernement avait suivi la suggestion du Conseil d’État d’inscrire dans la loi que le contrat de délégation de l’État à une fédération sportive assure «la promotion des valeurs et principes qui inspirent l’article 50. 2 de la charte olympique». Il existerait moins encore si ne s’était pas heurté à l’opposition résolue de la ministre déléguée aux sports et n’avait pas été rejeté à l’Assemblée nationale l’amendement prévoyant que : «Les fédérations sportives veillent à ce que les associations affiliées et tous leurs adhérents respectent le principe, dont s’inspire l’article 50.2 de la Charte olympique, interdisant toute propagande politique ou toute ostentation des convictions religieuses lors des activités sportives qu’elles organisent».[…]

Pour défendre les valeurs du sport au quotidien, il faut mener, sans faiblesse et sans ambiguïté, la lutte contre l’embrigadement religieux et le repli communautaire. Dans cette lutte, le «En même temps» n’est pas de mise.

Le Figaro

23/07/2021

« Les Hijabeuses » d’Alliance Citoyenne reçu par le siège de la FFF

Cet après-midi, des dizaines de personnes ont accompagné « Les Hijabeuses » au siège de la FFF après plusieurs demandes de rendez-vous. Elles demandent le respect des lois de la FIFA qui permettent aux femmes voilées participer dans les compétitions sportives.

Elles ont été reçues par 2 directeurs qui se sont engagés à répondre aux courriers des footballeuses et à faire remonter leur demande : faire évoluer les statuts de la Fédé afin que toutes les joueuses qui portent un Hijab de sport puissent accéder aux compétitions

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