Plusieurs centaines de manifestants ont défilé aux Arcs-sur-Argens suite à l’appel à l’aide de Jean-Philippe Victor et sa soeur, Marie-Françoise. Les squatteurs ont fui.

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Quand le peuple se soulève et dénonce les injustices face aux squatteurs, la situation s’arrange et les intrus fuient…comme quoi il n’y a rien à attendre de la justice ou de la Police. Les Français doivent prendre leur destin en main et régler les problèmes ensemble en se soutenant et en s’entraidant face aux barbares venus d’ailleurs. Une belle leçon pour l’avenir.

23/04/21

17/04/21

Ce samedi 17 avril, plusieurs centaines de manifestants ont défilé aux Arcs-sur-Argens suite à l’appel à l’aide de Jean-Philippe Victor et sa soeur, Marie-Françoise.

Leur maison de famille est investie illégalement par des demandeurs d’asile depuis sept mois et n’arrivent pas à en reprendre possession. D’une même voix, la foule a chanté la Marseillaise et montré son soutien face à une situation qui fait débat.

“Le juge a ordonné, en 2020, l’expulsion des familles installées illégalement dans notre maison et le préfet ne l’a pas exécuté. Il n’a rien fait”, explique le propriétaire des lieux, soulagé de voir une mobilisation de telle ampleur.

“Alors nous sommes tous là pour montrer que nous ne lâcherons pas l’affaire. Que cela peut nous arriver à tous et que ce n’est pas normal que nous soyons ceux qui payent les pots cassés tandis qu’eux sont protégés!”

01/04/21

Depuis sept mois, la maison de Jean-Philippe Victor, sur la commune des Arcs (Var), est squattée par une dizaine de ressortissants de Bosnie-Herzégovine. Or, le sous-préfet de Draguignan refuse de recourir à la force publique pour les déloger malgré un jugement d’expulsion.

Depuis l’automne dernier, Jean-Philippe Victor, un viticulteur varois, se bat pour récupérer sa villa, héritée de sa maman décédée depuis moins d’un an. «Lorsque les squatteurs sont entrés dans la maison, je m’apprêtais à la vendre afin de régler les droits de succession, confie-t-il. J’avais déjà un acheteur mais tout est tombé à l’eau». Ce 28 septembre, des voisins alertent Jean-Philippe que plusieurs individus viennent de s’introduire chez lui. «Ces gens font partie de réseaux, poursuit-il. Ils connaissent bien le droit français. Ils se servent des femmes et des enfants pour échapper à l’expulsion». 

[…]

Depuis, le viticulteur varois fait feu de tout bois en alertant la presse et les élus locaux. Sans résultat. «Les squatteurs font la fête tous les soirs, raconte Jean-Philippe. La gendarmerie a été appelée pour tapage nocturne. Je n’ose imaginer dans quel état je vais retrouver ma maison».

[…]

Le samedi 17 avril, le propriétaire organisera une manifestation devant sa maison aux côtés de plusieurs de ses voisins qui le soutiennent sans relâche

CNews

Ramadan 2021 : une femme flic égorgée à Rambouillet par un croyant tunisien au cri de « Allah Akbar »

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

48 heures après que les musulmans aient demandé à Macron plus de Blancs dans leurs quartiers, les musulmans ont égorgé une infidèle dans leurs quartiers.

Peut-être qu’en émettant un timbre sur le thème de la laïcité, ça pourrait faire avancer le débat.

Enfin, on en sait rien.

CNews :

L’homme abattu par les policiers après avoir tué au couteau une fonctionnaire de police de 49 ans dans le commissariat de Rambouillet (Yvelines), aurait crié «Allah Akbar» au moment de commettre son crime.

Âgé de 36 ans et d’origine tunisienne, il serait arrivé en 2009 en France en situation irrégulière mais aurait été régularisé depuis, selon des informations obtenues par CNEWS.

Son identité est inconnue des fichiers et des services de renseignement.

Je ne sais pas si cette femme flic était vaccinée. Peut-être que ça aurait pu servir, je ne sais pas.

En tout cas, j’attends le témoignage des voisins.

Par contre, préparez-vous : dans la semaine vous aurez une « agression islamophobe » pour remettre la balle au centre médiatiquement.

Nos amis musulmans sont actuellement occupés à se goinfrer de mauvaises pâtisseries marocaines en plein jeûne du ramadan, il est hors de question de troubler leur difficile digestion nocturne.

Et puis disons-le tout net : l’immense majorité des consommateurs de Netflix s’en fiche totalement. Totalement.

Alors oui, on va voir le préfet, on aura un genre de débat sur le week-end via CNews. Le Twitter de Darmanin va chauffer, Macron consentira à dire que c’est très mal.

Dès lundi, on discutera des modalités pour la rouverture des terrasses.

En 2021, je crois qu’il n’y a rien de plus con que de mourir pour la République. Surtout sans son consentement, lol.

Captain Harlock, DP.

Le Tunisien Djamel G. est arrivé illégalement en France en 2009, il a été régularisé en 2019. Il était domicilié dans le Val-De-Marne (94) et travaillait en tant que Chauffeur-Livreur. Il déménagé a Rambouillet. Il avait une Carte de Séjour Temporaire valable jusqu’au 25 Décembre 2021.

Stéphanie, l’agent administratifs de police avait 49 ans et deux enfants.

Le parquet antiterroriste se saisit des faits et ouvre une enquête de flagrance des chefs d’assassinat sur personne dépositaire de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs terroriste, confiée conjointement à la DCPJ et à la DGSI. La piste terroriste est sérieusement envisagée, souligne Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, au cours d’une prise de parole à proximité du lieu des faits.

BFMTV / CNews

La chanson du jour, Mad world – Michael Andrews

On adore cette chanson…elle nous propulse vers une introspection incroyable… Pendant les 3 minutes qu’elle dure, on flotte dans un autre monde… Les mots sont tellement bien choisis qu’ils s’adaptent à notre réalité, c’est ce qu’on aime… C’est tout simple et efficace. Un moment de douceur dans ce monde de bruts.

Affaire Halimi : le roi est nu et il ne le sait pas

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

« Quand le droit ne permet pas de rendre la justice, il faut changer le droit. » Ce pourrait être un sujet de philosophie ; ce n’est qu’un aphorisme de M. Macron. Sa portée a donc une valeur relative, électorale si l’on préfère, celle d’une phrase destinée à l’oubli.

L’assassinat de Sarah Halimi par Kobili Traoré, sur fond de propos antisémites, l’arrestation de son auteur et l’ouverture d’une procédure judiciaire ont laissé croire, pendant quelques mois, à une décision de condamnation. La personnalité et l’origine de l’assassin, sa religion et les circonstances du crime, tout démontrait que l’antisémitisme contemporain est largement islamiste. C’était oublier l’article 122-1 du Code pénal, aux termes duquel la responsabilité pénale est exclue lorsque l’auteur a agi sous l’emprise d’un état psychique ayant aboli son discernement. Ce principe, interprété par la Cour de cassation, empêche de juger Traoré.

Le véritable scandale ne vient pas de l’application d’un texte ancien et connu, mais de ses conditions d’application : la bouffée délirante de Traoré s’explique par sa consommation de cannabis, c’est-à-dire par un fait dépendant de sa volonté constitutif d’une infraction pénale. En suivant ce raisonnement, l’ivrogne auteur d’un accident de la route ne pourrait pas être poursuivi. Kobili Traoré est donc libre. Libre d’être sous l’emprise d’un nouvel état psychique ayant aboli son discernement.

M. Macron souhaite donc changer la loi. Comme il n’est pas question d’abolir l’article 122-1 au risque de condamner des fous comme des criminels endurcis, la question est : de quelle manière ?

La loi pourrait être précisée : nul ne peut invoquer les dispositions de l’article 122-1 s’il s’est volontairement mis dans une situation propice à l’abolissement de son discernement. Inévitablement, la notion de volonté sera tranchée par la Cour de cassation : que signifie « volontairement » ? Faut-il, alors, être beaucoup plus précis ? Au risque de heurter, la réponse est non. La loi n’a pas vocation à déterminer tous les cas, elle énonce un principe qu’il appartient au juge d’appliquer. Aussi loin qu’on aille dans la précision, il restera toujours une marge d’appréciation et d’interprétation.

Gardons-nous de l’excès inverse, qui consisterait à laisser au juge une latitude totale pour décider, selon sa conscience, si tel ou tel individu est responsable ou non. Tout est question de mesure et d’état d’esprit.

À un scandale qui provoque l’émotion, le pouvoir répond par l’émotion. Il faut toujours changer la loi pour répondre à un cas particulier. À ce jeu-là, nos codes hypertrophiés deviennent illisibles, la loi inapplicable, les juristes incapables d’une analyse correcte, les professeurs sans voix face à un écheveau juridique impossible à décrire, à expliquer, à enseigner. « Il est quelquefois nécessaire de changer certaines lois. Mais le cas est rare ; et lorsqu’il arrive, il n’y faut toucher que d’une main tremblante » (Montesquieu).

M. Macron veut changer par la loi ce qui relève d’un état d’esprit. Lui et ses amis, et tant d’autres avant eux, ont puissamment contribué à diffuser la culture de l’excuse, de l’assistanat, de l’individualisme, de la victimisation. Il n’est pas surprenant que les juges considèrent qu’un excès de cannabis peut entraîner l’irresponsabilité pénale, parce que cela correspond à l’état d’esprit d’une société délitée, sans repères et sans autres barrières que la volonté individuelle. Changer la loi n’y changera rien. C’est d’une révolution culturelle qu’il s’agit. Elle ne se décrète pas par un pouvoir à la légitimité douteuse et à la compétence discutable.

Empêcher d’autre scandales Traoré relève d’une philosophie politique disparue en France. En 2021, le roi est nu, et il ne le sait pas.

François Teutsch, Boulevard Voltaire

Le ministre Emmanuelle Wargon prône la mixité sociale mais habite dans les beaux quartiers

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

« Elle ne peut pas fustiger les riches qui ne veulent pas de HLM et habiter un joli pavillon », tacle Julien Weil, le maire (LR) de Saint-Mandé, au sujet d’Emmanuelle Wargon, dans Le Figaro. Le ministre du Logement est ainsi accusé d’inciter à « faire ce que je dis, pas ce que je fais ».

En cause, la récente affaire « Pierre » qu’Emmanuelle Wargon analyse par un plus grand besoin de mixité sociale. « On a une forme de préjugé pensant que chacun veut vivre entre soi et, en fait, ce n’est pas vrai. Moi, je me déplace beaucoup dans des quartiers populaires, en ville et dans la ruralité, et les gens sont en demande de cette mixité sociale », explique-t-elle au micro de CNews.

Mais pourquoi, alors, avoir choisi, comme le fait remarquer le maire de Saint-Mandé, « un cadre de vie résidentiel, luxuriant, un urbanisme maîtrisé et une ville proche de Paris » ? Le Figaro révèle, ainsi, que le ministre réside dans « une maison de 150 m², estimée à 1,5 million d’euros, selon sa déclaration de patrimoine ». Dans le 9-4, certes, mais pas franchement au milieu des « relous » et autres « sauvageons » comme ceux qui tuèrent à coups de pied un sexagénaire, le week-end dernier, pour une simple remarque. Ironie de l’histoire, il s’appelait Pierre.

Une nouvelle polémique, donc, qui s’est enflammée sur les réseaux sociaux, dénoncée par l’entourage du ministre. « Ce n’est pas aux habitants des villes qui ne respectent pas leurs obligations de déménager ou d’être pointés du doigt. » Sauf qu’imposer aux municipalités 25 % de logements sociaux d’ici 2025 relève plus du dogmatisme que du pragmatisme. « Ce n’est pas que je ne veux pas de mixité, mais la mixité a ses limites dans une ville où les prix au mètre carré dépassent les 12.000 euros le m² », répond Julien Weil. Une proposition irréaliste pour ce collectif de 22 maires du Val-de-Marne qui tente de proposer auministre un entre-deux.

« Si on fait 40 % de social dans chaque nouveau programme immobilier, franchement, on ne doit pas être considéré comme mauvais élève », explique, au Parisien, Charles Aslangul (LR), le maire de Bry-sur-Marne. Or, ajoute le collectif, « la loi SRU résonne (sic) sur la totalité des logements existants dans la commune (stock) et non sur les efforts faits sur les nouveaux logements construits (flux). Étant précisé que chaque nouvelle résidence construite (pavillon ou collectif) augmente mécaniquement le nombre de logements sociaux à produire. C’est sans fin. Les communes historiquement pavillonnaires ou sans foncier disponible se trouvent inexorablement pénalisées, même si elles construisent plus de 25 % sur le flux. » Un paradoxe soulevé également par la Cour des comptes.

Le ministre a beau avoir réuni ce collectif et l’avoir écouté, reste à savoir si ces élus de terrain seront entendus.

Iris Bridier, Boulevard Voltaire

Éric Zemmour vers une candidature ? Deux signes de sa part qui ne trompent pas

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

La question de la candidature d’Éric Zemmour qui agitait la droite, il y a quelques semaines, semblait oubliée depuis que les sondages ne cessent de présenter Marine Le Pen comme l’indépassable horizon de la droite pour 2022. Même la fondation Jean-Jaurès l’affirme : elle pourrait être élue si, et si, et si.

Mais ne voilà-t-il pas qu’Éric Zemmour vient d’envoyer, coup sur coup, deux signes que ses partisans interpréteront comme des cartes postales en vue d’une éventuelle candidature.

D’abord, lui qui se cantonnait à sa chaire de CNews et qui était assez distant des réseaux sociaux vient d’ouvrir plusieurs comptes à son nom. Selon Valeurs actuelles« Éric Zemmour débarque et cartonne sur les réseaux sociaux. Pour attirer la jeunesse, l’éditorialiste vient de se lancer sur différentes plateformes. » Les RS en question ? Instagram, Facebook, TikTok ainsi qu’une chaîne Telegram qui « sont venus accompagner le compte Twitter de l’éditorialiste, déjà suivi par plus de 127.000 personnes ». Et ce nouveau pas vers un élargissement de son audience médiatique et populaire s’est accompagné du dévoilement d’une « signature » : il se met à « signer ses tweets avec les initiales “E.Z.”, comme au début du mois d’avril, quand il souhaite une joyeuse fête de Pâques à ses followers ». EZ versus EM ?

Mais il y a un autre signe plus fort, car plus profond et plus personnel. Dans sa dernière chronique du FigaroVox, publiée mercredi soir, il conclut sa recension du livre de Christophe Dickès sur Bainville par le testament angoissé du vieil historien se reprochant de n’avoir pas assez agi alors qu’il avait tout prédit sur les périls des années 30. Une sorte de miroir tendu à Éric Zemmour un siècle après et une chronique en forme d’introspection :

« Son fils, Hervé, a raconté à Christophe Dickès le désespoir de ses dernières années : “Tout ce que j’ai fait est stérile…” Il regrette de ne pas avoir participé à la vie politique de manière plus active. De ne pas avoir abandonné son métier de journaliste. Il rumine sans apitoiement sur soi : “Pourquoi si bien prévoir et pouvoir si médiocrement ? J’ai toujours eu le tort de ne pas viser assez haut. Excès de fausse modestie, fausse fierté ! Méfiance exagérée de soi même, sentiment d’impuissance”. »

C’est tout son dilemme qu’Éric Zemmour décrit ici. Le parallèle n’a rien d’excessif et il est, somme toute, assez juste. Il relevait aussi, dans sa chronique, cette sentence de Bainville sur la politique française des années 30 : « Ce qui est dangereux et haïssable, c’est le simulacre de l’action. » Là encore, nos dirigeants dépassés ressemblent à ceux de la IIIe République finissante.

Au moment où un Président lance avec légèreté et en anglais qu’il faut « déconstruire notre Histoire » et reste en même temps sans réponse devant une femme voilée s’inquiétant que son enfant ne connaisse pas le prénom Pierre, comment Éric Zemmour, qui a parfaitement diagnostiqué le mal français depuis vingt ans, et précisément sur cette question des prénoms et de l’assimilation, ne ressentirait-il pas le puissant appel de l’action ?

Alors, le prochain débat d’Éric Zemmour ? Face à Emmanuel Macron ? Mais pas sur CNews. Et en mai 2022.

Frédéric Sirgant, Boulevard Voltaire

Une immigration maîtrisée, prévoit l’orientation de 77% des demandeurs d’asile en régions, pour soulager l’Île-de-France qui accueille actuellement 46% d’entre eux.

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Un nouvel arrêté, pris dans le cadre de “l’orientation régionale directive” prévue par la loi de septembre 2018 pour une immigration maîtrisée, prévoit désormais l’orientation de 77% des demandeurs d’asile en régions, pour soulager l’Île-de-France qui accueille actuellement 46% d’entre eux. Ce même arrêté fixe aussi la capacité d’hébergement par région, selon les différents types de structures. Du fait notamment de cette concentration en Ile-de-France, un décret examiné ce 21 avril en Conseil des ministres donne par ailleurs au préfet de police de Paris de coordination en matière d’immigration et d’asile sur l’ensemble de la région. Un préfet délégué à l’immigration sera nommé.

(…)

Un objectif de 119.978  places d’hébergement, réparties entre régions

(…)

Un rééquilibrage territorial sur le flux de réfugiés

(…)

Avec toutefois un bémol à ce dispositif : sa mise en œuvre devrait contribuer à réduire les tensions en Île-de-France mais elle ne fera pas disparaître la question des réfugiés “hors circuit”, ni celle des déboutés du droit d’asile, qui devraient rester très largement concentrés en Île-de-France.

www.banquedesterritoires.fr

I-Média n°345 – Sécurité. Le coup de com’ de Macron

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

00:00​​​​​​ Introduction 01:46​ L’image de la semaine Comme de nombreuses villes françaises, Tourcoing est secouée par des nuits d’émeutes contre la police dans les quartiers « sensibles ». Une drôle d’image pour Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur qui est l’ancien maire de la ville et qui reste conseiller municipal. 05:01​ Sécurité. Le coup de com’ de Macron Entretien axé sur la sécurité dans Le Figaro, déplacement auprès des policiers à Montpellier… Emmanuel Macron semble décidé à faire de la sécurité un axe de sa campagne présidentielle pour 2022. Mais derrière les effets de manche, la réalité est cruelle. L’État français n’arrive pas à juguler la délinquance. 22:59​ Revue de presse 37:24​ Derek Chauvin, victime sacrificielle ? Aux États-Unis, le jury chargé de juger la culpabilité ou non de Derek Chauvin, accusé du meurtre de George Floyd, a rendu son verdict. Le policier de Minneapolis a été déclaré coupable. Nous reviendrons sur les éléments qui remettent en cause ce verdict.

Suède. Les Suédois de souche minoritaires en 2065, l’islam religion dominante à partir de 2100 ?

Articles : Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Les Suédois de souche pourraient être minoritaires dans leur pays à l’horizon 2065 selon certaines projections. Tout comme l’islam pourrait devenir la religion majoritaire en Suède à partir de 2100.

Grand Remplacement en Suède : les autochtones minoritaires dans 45 ans ?

Les projections démographiques des prochaines décennies n’augurent rien de bon pour les peuples européens, menacés purement et simplement de disparition. La Suède n’échappe pas au phénomène. En 2019, une enquête publiée par Polémia se penchait sur la question et indiquait, entre autres, que la population étrangère en Suède depuis deux générations était passée de 20 % de la population totale en 2002 à 30 % en 2017.

Une dynamique de « Grand Remplacement » qui a été confirmée par un chercheur finlandais. Kyösti Tarvainen, professeur associé émérite en analyse des systèmes à l’université Aalto d’Helsinki, démontrait dans un bulletin publié en 2018 que, si le niveau actuel immigration devait se maintenir en Suède à l’avenir, les Suédois autochtones deviendront une minorité dans leur propre pays d’ici 45 ans, soit en 2065.

Selon les derniers chiffres accessibles, plus un tiers des résidents suédois sont désormais d’origine étrangère, tandis que le faible taux de fécondité parmi la population suédoise « de souche » tend à accélérer encore davantage cette bascule démographique.

Par ailleurs, selon le modèle de projection utilisé par le chercheur finlandais, il pourrait y avoir autant de musulmans que de Suédois autochtones en 2100.

88 % des immigrés étaient d’origine extra-européenne en 2019

En l’espace d’un demi-siècle, la Suède, l’un des pays les plus homogènes d’Europe jadis, a donc vu son visage radicalement changer. Et ce n’est qu’un début si l’on prend en compte les perspectives évoquées précédemment, lesquelles annoncent ainsi de multiples changements à venir pour la société suédoise. Avec une telle dynamique démographique, la culture de cette dernière pourrait donc à terme être remplacée par d’autres cultures extra-européennes. Ce qui ne serait pas sans ironie puisque la Suède est aussi réputée pour être l’un des pays européens les plus obsédés par le multiculturalisme. « On est puni par où l’on a péché »

Dans ces travaux, Kyösti Tarvainen indique que d’ici 2065, le nombre total de Suédois de souche aura diminué de quelques centaines de milliers par rapport aux chiffres actuels, pour atteindre environ 7 364 000, tandis que le nombre de musulmans (3 903 000 selon les prévisions) et de personnes nées à l’étranger ou de deux parents nés à l’étranger (3 791 000) aura considérablement augmenté par rapport aux niveaux actuels. L’étude met aussi en exergue la différence du taux de fécondité entre la population musulmane et non-musulmane en Suède : il est supérieur de près d’un point à l’avantage du premier groupe.

Enfin, le 13 avril 2021 cette fois, le chercheur finlandais écrivait dans le journal suédois Folkbladet qu’en 2019, 88 % des immigrés ayant gagné la Suède étaient des extra-européens. De plus, 52 % étaient musulmans. À titre de comparaison, Kyösti Tarvainen a rappelé qu’en 1975, les Finlandais voisins représentaient alors plus de 40 % de l’immigration vers la Suède avec une assimilation très facile à la société suédoise compte tenu de la proximité culturelle entre les deux peuples.

Malgré cette situation alarmante, le sujet est toujours un tabou en Suède, aveuglée par les injonctions du politiquement correct. Comme un air de déjà vu…


[cc] Breizh-info.com

Immigration clandestine : les voyants sont au rouge

Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

La Police aux frontières a récemment communiqué au Figaro le nombre d’arrestations et de refoulements d’étrangers en situation irrégulière à la frontière franco-espagnole et à la frontière franco-italienne entre novembre 2020 et mars 2021. Il en ressort une forte augmentation par rapport à la même période de l’année précédente, les arrestations et les refoulements étant passés de 13 746 à 35 825. Le journaliste en conclut que « les frontières ont été verrouillées avec l’Italie et l’Espagne ».

Selon plusieurs indices, ce constat est non seulement excessif, il apparait très éloigné de la réalité. Le renforcement des contrôles aux frontières annoncé fin 2020 par le président de la République après le triple meurtre commis par un clandestin tunisien à la basilique notre Dame de l’Assomption à Nice a certes probablement contribué à augmenter le nombre des refoulements aux frontières. Mais, d’autres éléments amènent à penser que ces chiffres traduisent non seulement une pression accrue à nos frontières, mais également une augmentation des entrées clandestines en France.

Si le ministère de l’intérieur est très prolixe concernant le nombre de refoulements de clandestins aux frontières nationales, il est par contre beaucoup plus discret sur le nombre d’étrangers en situation irrégulière recensés comme entrant en France. Le Pôle d’analyse migratoire rattaché au ministère de l’intérieur ne communique en effet plus ce chiffre depuis 2017, alors qu’il s’établissait pour cette seule année à 79 562.

D’autres indices montrent que les voyants sont au rouge et que le gouvernement manie essentiellement la communication.

Près de la frontière franco-espagnole, ce sont des dizaines de clandestins qui arrivent chaque jour à Perpignan. Le Préfet des Pyrénées orientales reconnait qu’à la frontière pyrénéenne, la pression migratoire est en augmentation depuis plusieurs années.

A la frontière franco-italienne, le vice-président du conseil départemental des Alpes maritimes, Éric Ciotti, faisait état en novembre dernier qu’« entre le 1er janvier et le 15 novembre dernier, la police aux frontières a ainsi remis 2335 mineurs non accompagnés supposés aux services du département des Alpes-Maritimes contre 1871 pour toute l’année 2019 ».

Parmi les explications à cette pression migratoire, la crise économique dans les pays africains joue certainement un rôle important. Mais les consignes données aux douaniers par les autorités françaises et le manque d’effectifs sont également à souligner.

Ainsi, selon une avocate pro-migrants citée par le Figaro, les douaniers français ne refouleraient plus les jeunes migrants à la frontière franco-italienne, mais les orienteraient vers les services de l’Aide Sociale à l’Enfance des départements ou les associations.

Autre difficulté : le faible nombre de douaniers affectés au contrôle de la frontière franco-italienne. Les brigades douanières de Nice et de Menton n’auraient selon un douanier interrogé récemment par Valeurs actuelles chacune qu’un effectif de 30 agents. Or les policiers ponctuellement amenés en renfort ne disposent pas des mêmes moyens juridiques pour refouler les clandestins.

L’immigration clandestine est également un risque sanitaire. Un syndicat de police souligne qu’en cas de défaut de présentation d’un test PCR lors du franchissement de la frontière nationale, le contrevenant est verbalisé mais pas refoulé !

Pendant ce temps, le nombre des éloignements des étrangers en situation irrégulière s’est effondré en 2020 par rapport à 2019 (–47%). Il est passé de 23 700 en 2019 à …12 300 en 2020.

Paul Tormenen  Breizh-info.com,