La France n’est plus la France. Des centaines de Tchétchènes ont manifesté, samedi , à Rennes et à Strasbourg, contre la stigmatisation dont leur communauté

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Articles  : Mar. 2021 –  Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020 

Ci-dessous, un article publié dans msn/Franceinfo

Avis Rutube.fr : La France n’est plus la France. La communauté nationale n’est plus une et indivisible. Aujourd’hui la population de la France se transforme en un amalgame de communautés qui se font la guerre. Ainsi les tchétchènes qui défilent contre la stigmatisation de leur communauté. Avec le temps ce n’est plus de racisme dont on parle (racisme anti arabe, anti noir ou anti français) mais de communautés qui sont harcelées par d’autre communautés. Voila ce qui arrive quand on attire le monde entier sans limites et que tout ce beau monde devient français de façon administrative (mais pas dans le cœur). J’appartiens à la génération des années 60 et je vois d’années en années mon pays se balkaniser. on ne parle plus de la France mais de communautés où la France est considérée comme un territoire de l’Europe qu’il faut absolument repeupler “quoiqu’il en coûte” pour rependre une phrase de Macron. Un très mauvais choix pour notre paix sociale dans les années à venir. On ne s’y prendrait pas mieux si on voulait déclencher une guerre civile généralisée dans les dix prochaines années.

L’Article msn/Franceinfo :

Plusieurs centaines de Tchétchènes ont manifesté, samedi 27 mars, à Rennes et à Strasbourg, contre la stigmatisation dont leur communauté fait selon eux l’objet et pour honorer la mémoire d’un des leurs tué par balle la semaine dernière dans la capitale bretonne. Ces rassemblements avaient lieu après la mort d’un des leurs, tué par balle la semaine dernière dans la capitale bretonne.

On tire sur nous deux fois : la première fois pour nous tuer, la deuxième fois pour nous salir“, a dénoncé Magomed, 30 ans, voisin d’Hamzat Labazanov, 23 ans, tué d’une balle dans la tête, le 17 mars en pleine journée, dans le quartier Cleunay à Rennes.

A Strasbourg, environ 150 Tchétchènes se sont également rassemblés place de la République, dont certains venus de Paris, Nice ou Reims. “Nous sommes des réfugiés politiques qui avons laissé notre patrie pour vivre en paix“, proclamait une pancarte.

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