52% des 15-18 ans favorables à l’application de la loi islamique partout

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Prononçons l’oraison funèbre de la république française, de la laïcité […]. Il n’y a pas d’alternative au vu du nouveau sondage commandé par la LICRA qui confirme que le Grand Remplacement a pour premier effet de remplacer.

Djellabas et voiles islamiques sont massivement plébiscités dans tous les services publics, que ce soit pour les fonctionnaires ou les élèves.

Le décalage est massif entre la nouvelle génération, qu’elle soit allogène ou déjà totalement “arabisée” culturellement, et la population française. Le grand basculement culturel est en fait, irréversible maintenant. Il aurait fallu agir avant.

Le point intéressant dans ce sondage, c’est qu’il intègre la dimension raciale.

Les non-Blancs revendiquent très massivement l’instauration de la loi coranique dans tous les corps de l’Etat, à 79%. Cependant, la moitié de la jeunesse blanche est déjà tellement imprégnée de cette nouvelle culture qu’elle se déclare à 49% favorable à l’application de la charia.

Un des éléments centraux de la loi coranique est bien sûr l’interdiction de critiquer l’islam, de près ou de loin. Là aussi, plébiscite en faveur de la censure la plus stricte, à 52%.

Les jeunes Blancs traînent un peu plus des pieds mais ils sont tout de même 36% à exiger la déférence la plus solennelle vis-à-vis de l’auguste personne du prophète de l’islam, contre 64% pour les allogènes.

Notez qu’il s’agit ici des lycéens, donc d’adolescents de 15 à 18 ans.

Il ne faut pas perdre de vue que c’est la photographie ethno-culturelle et religieuse des maternités de la période 2006-2009.

Aujourd’hui, avec 44% de naissances allogènes dans les maternités françaises, vous pouvez d’ores et déjà vous faire une idée de ce que donnerait un tel sondage en 2040. Ce sera 75 ou 80% des lycéens qui exigeront que la loi islamique soit strictement appliquée dans les établissements de France et de Navarre.

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D.P.

Risque de guerre civile: «La situation est bien plus grave que ce que les gens imaginent», selon Me de Montbrial

Articles  : Mar. 2021 –  Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020 

Sputnik : https://fr.sputniknews.com/france/202103051045310071-risque-de-guerre-civile-la-situation-est-bien-plus-grave-que-ce-que-les-gens-imaginent-selon-me-de/

Terrorisme, délinquance, insécurité: la France est-elle au bord du précipice? Alors que les émeutes embrasent Beauvais, Lyon, Amiens, selon l’avocat Thibault de Montbrial, «il est minuit moins cinq» avant que la France ne sombre dans l’abîme. Entretien sans concession.

«Nous avons encore une petite chance d’éviter une guerre civile. Il faut en tout cas tout faire pour l’éviter, sans pour autant renoncer à nos valeurs», prévient Thibault de Montbrial devant les caméras de Sputnik.

Pessimiste sur l’état de la menace qui pèse sur la sécurité nationale, l’avocat au barreau de Paris se montre très sévère à l’encontre de la classe dirigeante. Qu’elle soit de droite ou de gauche, celle-ci serait selon lui coupable de bien des renoncements.

Zones de non-droit

Paradoxe suprême, poursuit l’auteur de l’essai Osons l’autorité (Éd. de L’Observatoire), «tous les hommes politiques de la gauche républicaine jusqu’à la droite nationale sont parfaitement conscients de ces problèmes, même ils ne l’admettent pas forcément publiquement.» La menace se ferait pourtant, à l’en croire, de plus en plus précise au cœur même du territoire français. En témoigne la récente flambée de violences urbaines à Beauvais, mais aussi certains quartiers de Lyon ou d’Amiens.

«À partir du moment où l’autorité de l’État disparaît, certains en profitent et s’engouffrent dans la brèche […] Aujourd’hui, le gouvernement n’a ni les moyens ni l’intérêt d’aller à l’affrontement direct pour rétablir l’ordre dans les banlieues, car cela aboutirait très vite à des drames et des morts des deux côtés.»

D’autant plus qu’à l’augmentation de la délinquance et des actes de violence («de 15% à 20% depuis le mois de juin dans les villes moyennes françaises», avance notre invité) s’ajouterait la menace terroriste, plus réelle que jamais en France si l’on en croit celui qui est aussi le cofondateur du Centre d’analyse du terrorisme.

«Je suis très pessimiste concernant l’état de la menace terroriste: de nombreux djihadistes qui sont allés combattre en Syrie sont en fin de peine. Entre 2018 et 2022, plus de 250 combattants sont ou vont sortir de prison. Il faut s’attendre à des attaques de type militaire ou guérilla dans les années à venir», alerte Thibault de Montbrial.