Joe Biden, otage de ses minorités ethniques : ça commence à coincer, à la Maison-Blanche…

Articles  : Mar. 2021 –  Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020 

Du temps de Donald Trump, les choses étaient finalement plus simples, avec l’Amérique du milieu contre celle des côtes. Avec Joseph Biden, ce n’est finalement guère plus compliqué : les USA tournés vers le lointain ont pris leur revanche sur l’enracinement incarné par son prédécesseur. Seulement voilà, autant le bloc électoral ayant soutenu Donald Trump demeure à peu près homogène, non point d’un point de vue ethnique – nombreux sont les Afro-Américains et les Hispaniques à lui avoir apporté leurs suffrages -, autant la coalition ayant permis la victoire de Biden est autrement plus fluide, puisque addition de minorités pas toujours friendly entre elles.

Car après l’union de façade contre le Grand Satan trumpien, on constate sans surprise qu’une minorité opprimée trouvera toujours plus opprimé et minoritaire qu’elle. Ainsi, au grand bal multicolore, il est des invités auxquels les instances progressistes de Washington ont oublié d’envoyer le carton d’invitation : l’AAPI, par exemple, soit l’« Asian Americans and Pacific Islanders », se sentant stigmatisée d’avoir dû se contenter des restes du banquet.

Pourtant, Joe Biden avait mis les petits plats dans les grands : une Amérindienne à l’équivalent de notre ministère de l’Intérieur, un Cubain dans les proches dépendances du ministère en question, un homosexuel aux Transports et un transgenre indéterminé à celui de la Santé. Mais l’AAPI, dont les enfants sont déjà discriminés à l’entrée des universités, commence à renauder, surtout depuis le massacre d’Atlanta, perpétré le 16 mars dernier ; lequel aurait été perpétré en raison de l’origine asiatique des employés de ce salon de massage, théâtre du carnage, où six femmes et deux hommes auraient pu être abattus pour des motifs susceptibles d’avoir eu trait au Covid, là-bas surnommé « virus chinois ».

Résultat ? Tammy Duckworth, sénatrice d’origine thaïlandaise mais ayant vu le jour en Illinois, forte du soutien de Mazie Hirono, originaire d’Hawaï, ont menacé de bloquer toute future nomination au Sénat. Ce qui n’est pas exactement de la dinde pour Thanksgiving, sachant qu’en cette enceinte, les élus démocrates regardent autant d’édiles républicains en chiens de faïence. Pour trancher le nœud gordien, la Maison-Blanche fait donc valoir les origines asiatiques de Kamala Harris, sa mère étant née en Inde. Mais l’AAPI rétorque aussitôt : « C’est insultant ! Dirait-on aux Noirs que Kamala Harris est noire et qu’il n’y a pas besoin d’autres Afro-Américains au sein de l’administration ? »

Le problème, c’est que Kamala Harris n’est pas vraiment noire, son père étant né en Jamaïque, pays hautement métissé – même le père de Bob Marley était un officier britannique bon teint –, tandis que sa mère indienne, malgré la proximité géographique, ne participe en rien de la sphère culturelle asiatique : de New Delhi à Pékin, il y a loin.

On ajoutera encore que les parents de la 49e vice-présidente des USA n’ont, d’un point de vue sociologique, que peu de chose à voir avec le ghetto de Harlem : papa est économiste et professeur émérite à Stanford, là où il rencontre maman qui, elle, est doctorante en endocrinologie. Si l’on met de côté les considérations raciales pour en revenir au champ social, on admettra que Kamala Harris a toujours évolué dans la haute société, contrairement aux ploucs votant pour Donald Trump. Salaud de pauvres !

En attendant, l’AAPI exige que leurs compatriotes soient mieux représentés. Plus facile à dire qu’à mettre en œuvre : avec un seul représentant sur 23 dans le cabinet Biden, les Asiatiques représentent 4,5 % du cabinet en question alors qu’ils pèsent 5,5 % de la population. Une seconde nomination ferait donc grimper leur représentation à 18 % et provoquerait la colère d’autres minorités données pour être « discriminées » mais qui, une fois arrivées au pouvoir, ne font jamais rien que de s’entre-déchirer.

À la place de Donald Trump, on se claquerait les cuisses de rire.

Nicolas Gauthier, Boulevard Voltaire

Après Vincent Bolloré, Éric Zemmour et Pascal Praud : Sonia Mabrouk, ça fait du bien !

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À l’occasion de cette Semaine sainte, les chaînes KTO et CNews programment ensemble la retransmission de la messe du Jeudi saint en direct de Notre-Dame de Paris. Avec la participation, entre autres, de Sonia Mabrouk. Une journaliste qui tranche dans le paysage médiatique. Par sa classe, son anticonformisme, sa parfaite diction de la langue française et son extrême courtoisie, Sonia Mabrouk, c’est un peu l’« anti-Cyril Hanouna ». Issue, comme lui, de Tunisie, elle a choisi la France grâce à une rencontre. Celle d’un professeur de français au lycée de Tunis qui a su lui transmettre avec passion la langue, l’histoire, la culture et le patrimoine de notre pays.

Après des études à la Sorbonne, Sonia Mabrouk revient en Tunisie, son pays natal, pour enseigner à l’IHEC de Carthage, dont elle est également diplômée. Un peu par hasard, elle intègre, quelques années après, le milieu journalistique comme rédactrice au journal Jeune Afrique. Mais c’est Jean-Pierre Elkabbach qui, en lui proposant la présentation du journal à Public Sénat, la décide à faire ses valises pour Paris. La suite, pour elle, ce sera Europe 1 avec d’abord le « Débat des grandes voix » et CNews (« Les Voix de l’info »), et depuis la rentrée de septembre, l’entretien politique au journal de 8 heures d’Europe 1, ainsi que “Midi News”(CNews). 

À l’aise avec le monde politique dans lequel elle a toujours baigné (elle est nièce et petite-fille de deux ministres tunisiens), Sonia Mabrouk manie charme oriental, éducation raffinée, impertinence et parole incisive. Ses invités font parfois les frais de sa lutte contre les conformismes et le prêt-à-penser. Comme des coups de pied dans une fourmilière, elle rafraîchit les mémoires et rappelle à BHL son soutien à Cesare Battisti, à Jack Lang les complaisances d’une certaine gauche pour la pédophilie, au Défenseur des droits les illogismes des « zones de non-droit », à la responsable de l’UNEF le racisme des réunions non mixtes et à Alice Coffin le traitement médiatique de ses opposants.

Alors, bien sûr, Sonia Mabrouk a ses détracteurs. Éric Dupond-Moretti lui reproche « de faire dans la surenchère populiste » et certains de ses confrères s’inquiètent de la montée en puissance de cette autre conception du journalisme qui vient bouleverser la quiétude des médias habituels. Sur le site Acrimed, on trouve cette remarque de bon augure : « Quant à l’avenir de Sonia Mabrouk au sein d’Europe 1 (en passe de tomber dans l’escarcelle de Vincent Bolloré) ou de CNews (où elle présente « Midi News »), on gage qu’il s’annonce radieux. »

Toujours cette ombre de Bolloré… Et ce n’est pas la programmation de cette messe de Jeudi saint qui devrait les rassurer. La présence à l’antenne de Sonia Mabrouk, qui se dit musulmane, pourrait sembler paradoxale. Mais ce serait oublier que celle-ci, à longueur d’ouvrage (Douce France, où est (passé) ton bon sens ?), en appelle au sursaut des valeurs chrétiennes et au retour de la spiritualité pour cette France qui ne veut pas disparaître.

Sabine de Villeroché, Boulevard Voltaire

Marseille : le salarié musulman a refusé de me livrer une bière

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Une histoire qui reflète bien le chemin que nous prenons en France…

Ayant commandé sur une plateforme dédiée (Uber Eats) un sympathique menu composé d’un canard laqué, de nems aux crevettes et d’une bière, je m’attendais à être livré dans des délais normaux.

Trois quarts d’heure plus tard, toujours rien et soudain, un message de la part de la plateforme m’informant que la commande avait été annulée.

Tiens donc, quel est l’incident qui a bien pu causer une telle privation, aussi soudaine qu’inexpliquée ?

Un appel au restaurant plus tard, la sanction tombe dans toute sa splendeur. Une personne, aussi gentille que consternée par cette histoire, me confirme que le livreur de ladite plateforme, de confession musulmane, ce qui en soi n’est pas un problème, a purement et simplement refusé de prendre la livraison au prétexte que la commande contenait de l’alcool… Là, oui, nous avons un problème.

Je serai donc privé, non seulement de mon canard laqué mais aussi de la livraison de cette  boisson impie que la céleste pureté du livreur – qu’Allah l’inonde de ses bienfaits – a pu, dans sa grande sagesse et son immense piété, empêcher.

Ce qui m’amène aux conclusions suivantes :

  • Un livreur a libre accès au détail d’une commande qu’il est supposé livrer et non pas de contrôler, et encore moins d’arbitrer,
  • Un livreur, exerçant sur la voie publique, dans un pays laïque, a la possibilité de refuser une livraison en avançant un prétexte religieux,
  • Qu’un tel comportement amène les gens à généraliser et ce sont ceux qui s’intègrent qui vont finir par payer pour les idiots sus-mentionnés,
  • Que l’islam commence désormais à régir des pans entiers des vies non musulmanes,
  • Et que tous ces fanatiques, car il s’agit bien de fanatisme, commencent, pardonnez-moi l’expression, à me faire chier sérieusement
  • Que ce sont désormais les musulmans qui décident de ce qui est acceptable ou non et que ce soit accepté !

Rigolons un moment et imaginons que je sois livreur et refuse de livrer un couscous, des tajines ou je ne sais quoi au prétexte que ces plats sont, comme ma malheureuse bière, impurs.

Pour finir, la plateforme de livraison, contactée et mise au fait de cet incident dans les moindres détails, préfèrera mentionner un « incident technique pendant la livraison ».

Ainsi, pour certains, le fanatisme religieux est parfaitement admissible, pourvu que nous restions officiellement dans le politiquement correct.

Islam 1, Nous 0

On n’est pas dans la m….

Marc Paringaux, dans Riposte Laïque

LOT : des femmes accouchent sur les routes faute de pouvoir atteindre l’unique maternité du département.

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Occitanie : une femme accouche seule dans sa voiture au péage en se rendant à l’unique maternité du Lot

[…]

Une femme a été contrainte d’accoucher seule dans sa voiture dimanche 28 mars alors qu’elle tentait de rejoindre la maternité de Brive (Corrèze). Elle a donné naissance à une petite fille au niveau du péage de Gignac (Lot).[…]

Cette belle histoire illustre surtout un phénomène inquiétant dans le Lot. Des femmes accoucheraient sur la route faute de pouvoir atteindre l’unique maternité du département, située à Cahors. La Dépêche du Midi s’était penchée sur sujet le 8 mars dernier. Désormais, les pompiers sont formés et assistés par trois sages-femmes. De plus, les futures mères de famille peuvent se préparer à devoir affronter des accouchements surprises sur le chemin.[…]

L’article dans son intégralité sur Midi Libre

Face au Covid, l’ivermectine: médicament miracle bientôt reconnu?

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Sputnik : https://fr.sputniknews.com/sante/202103301045418389-face-au-covid-livermectine-medicament-miracle-bientot-reconnu/

Déjà mis en avant au début de la pandémie pour son éventuelle action contre le virus, l’antiparasitaire revient sur le devant de la scène. Bien qu’il n’ait jamais été officiellement reconnu comme bénéfique par les autorités sanitaires, de nouveaux signaux encourageants incitent politiques et scientifiques à attirer l’attention de l’OMS. Décryptage.

Les messages de soutien se multiplient comme par génération spontanée. Depuis le début de la semaine, une foule d’internautes prônent le recours à l’ivermectine face au Covid.

Cet antiparasitaire est usuellement prescrit contre la gale. Deux éléments déclencheurs expliquent la virulence du débat dont il fait l’objet. D’une côté, la publication, le 10 mars, d’un article attestant l’efficacité du vermifuge contre le Covid-19. Parmi les quatre scientifiques japonais signataires du texte figure le découvreur de l’ivermectine en personne, Satoshi Ōmura, prix Nobel de médecine 2015. De l’autre côté, un rapport de l’Agence européenne des médicaments, cette fois publié le 22 mars, déconseille l’utilisation préventive ou curative de l’antiparasitaire.

«De plus en plus d’articles sortent ainsi que des méta-analyses –dont une française. Et il y a un consensus, ce qui n’était pas le cas avec la chloroquine. Il y a près de quatre-vingt-douze études et elles ont toutes le même résultat: une mortalité divisée par quatre voire par cinq et des symptômes qui disparaissent deux fois plus rapidement, en à peine plus de quarante-huit heures. Enfin, il n’y a aucun effet secondaire grave. Qu’est-ce que ça nous coûterait d’essayer?» s’interroge le docteur Gérard Maudrux.

Le chirurgien cache difficilement son incompréhension face aux réserves de l’Agence européenne. Ainsi, un an après les premiers résultats vantés par des chercheurs australiens et relayés avec enthousiasme par le laboratoire MedinCell en France, ou encore après les effets surprenants surprenants obtenus dans un Ehpad traité en amont de la pandémie, l’action de l’ivermectine contre le SARS-CoV-2 n’est toujours pas validée.

Regain d’intérêt et guerre de lobbying

En réalité, le débat autour du médicament revêt des enjeux précis, concède notre interlocuteur. L’engouement actuel risque de s’avérer insuffisant pour infléchir les autorités sanitaires.

Le hashtag #BeBraveWHO, qui a inondé la toile récemment, prend pourtant de l’ampleur. «C’est l’opinion publique qui fait changer l’avis des politiques», reconnaît l’ancien président de la caisse de retraite des médecins et de la caisse maladie des professions libérales. Avant de se montrer plutôt sceptique quant à la décision de l’ANSM (l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) qui doit être rendue dans les prochains jours.

«Les décisions sont politiques et financières, elles ne sont pas médicales. C’est un médicament totalement inoffensif, il y a moins de quinze morts en trente ans sur 4 milliards de prescriptions. C’est 100 voir 1.000 fois plus avec le doliprane, tout le monde le sait. Je défie d’ailleurs Olivier Véran d’ingurgiter dix boîtes de doliprane et moi dix d’ivermictine. Il sait très bien qui risquerait d’en mourir.»

En France, les profils des partisans du vermifuge commercialisé sous le nom de Stromectol présentent au moins un point commun: une certaine méfiance à l’égard de la politique vaccinale et une hostilité envers les manœuvres de Big Pharma. Présentés par L’Obs comme «controversés» et taxés par d’autres de «complotistes», ces défenseurs français de l’ivermectine vont de Marine Le Pen à Nicolas Dupont-Aignan en passant par Jean-Frédéric Poisson ou encore Florian Philippot. Ils regroupent également des figures devenues célèbres du domaine de la santé, comme le biologiste Jean-Pierre Changeux, l’avocat Fabrice Di Vizio ou encore la «vaccino-sceptique» Alexandra Henrion-Caude.

Si certains pro-ivermectine sont donc connus pour être des figures de l’opposition à la stratégie sanitaire actuelle, les anti-ivermectine ne s’intéresseraient que de manière partiale aux études, selon le docteur Maudrux.

Le singe vert africain n’est pas d’accord

Farouchement opposée à ce traitement, l’épidémiologiste Dominique Costagliola, directrice de recherches à l’Inserm, argue régulièrement de l’inefficacité du traitement sur des cellules Vero (cellules cultivées en labo à partir de cellules prélevées chez le singe vert africain, sur lesquelles sont menées nombre d’expériences en virologie).

«Elle est restée un an en arrière avec ses cellules Vero. Ce qui est intéressant, c’est ce qui se fait chez l’homme. Parfois, vous avez de très bons résultats in vitro et pas chez l’homme. Parfois, c’est l’inverse, car des tas de molécules interviennent. Dominique Costagliola se focalise là-dessus parce que cela lui évite de parler des études qui ont été menées sur l’homme et qui fonctionnent», tempête le docteur Maudrux.

Animateur d’un blog sur l’actualité liée à la pandémie, notre intervenant déplore toutefois des enjeux trop importants pour que ce traitement du Covid soit officiellement reconnu. Bien qu’il soit d’ores et déjà utilisé aux quatre coins du monde.

Hydroxychloroquine bis?

En définitive, le praticien pense que l’ivermectine risque fort de connaître le même sort que l’hydroxychloroquine. Comme l’antipaludique cher au professeur Raoult, l’antiparasitaire convainc de nombreux médecins et patients, études à l’appui. Il se voit donc toujours recommandé par certains scientifiques et reste prescrit malgré l’absence d’aval de l’OMS.

«Une seule étude se suffit à elle-même, celle qu’a menée le docteur Carvallo en Argentine sur 1.200 soignants au contact du Covid, dans quatre hôpitaux différents ne communiquant pas entre eux. 800 ont reçu de l’ivermectine, 400 non. Sur les 800 il y a eu zéro cas et sur les 400, 237 cas, soit plus de 50%. […] Les trois ou quatre études qui invalident son efficacité ont, quant à elles, été menées sur des sujets de 28 ans qui, pour la plupart, guérissent tout seuls. Donc, forcément, les résultats son biaisés», poursuit le docteur Maudrux.

Ces arguments finiront-ils par être entendus? Aux États-Unis, le National Institutes of Health (NIH) a récemment modifié sa recommandation, passant de négative à neutre. Un premier pas timide. Pas de quoi décourager notre interlocuteur: l’essayer ne coûterait rien, si ce n’est «de l’argent aux laboratoires qui produisent les vaccins»… Il est convaincu que des médicaments à 5 euros ne seront jamais assez rentables pour être reconnus utiles. «L’ivermectine serait vendue à 1.000 euros, des tas de labos présenteraient des dossier à l’ANSM… En attendant, des gens meurent», constate-t-il avec amertume.

La chanson du jour, VALE – BICEP

Retour à la musique du 21ème siècle. Bicep est un groupe de musique électronique Nord-irlandais. L’atmosphère est totalement actuelle avec une touche des années 90. Ce morceau sonne juste et ravira les inconditionnels de la musique électronique.