Elle s’appelle Rachel Khan, elle est noire et juive, mais se refuse obstinément à endosser l’habit de la pauvre victime, persécutée par le monde raciste de ces salauds de Blancs.
Évidemment, face aux professionnels de la haine anti-Blancs qui sévissent sur les plateaux TV, elle détonne. (extraits Figmag)
Elle est d’abord juriste, scénariste, actrice et écrivain, ironisant sur ces idéologies décoloniales et intersectionnelles, qui, sous couvert d’antiracisme, attisent la haine de la France.
Pourtant, si elle le voulait, elle pourrait cocher toutes les cases de la victimisation : femme, juive, petite-fille de déporté et noire !
Fille d’une juive polonaise et d’un père sénégalais, elle est le contre-modèle absolu de ces insupportables pleureuses professionnelles qui squattent les plateaux TV, avec la bénédiction de ces journalistes de l’anti-France, qui sèment les germes de la haine à longueur de journée.
Le racisme ? Elle ne le nie pas mais n’en fait pas son fonds de commerce.
Elle vient d’écrire un livre intitulé “Racée”, par opposition au terme “racisé”, mis à toutes les sauces par les complexés et les frustrés de tout poil, adeptes de la victimisation permanente.
Rachel Khan estime avoir énormément de chance, là où d’autres ne savent que gémir sur leur sort en crachant sur la France.
Pour ces illuminés de la race, le combat est de faire croire que la France entretient un racisme d’État comme au temps de l’Apartheid en Afrique du Sud, ou bien dans l’Alabama des années cinquante.
Il est vrai que l’accusation de racisme, ça exonère le “racisé” de toutes ses échecs personnels. C’est tellement plus facile que de se battre pour réussir.
Rachel Khan se dit opposée aux quotas, qui ne sont que la négation du mérite. Pas question de capitaliser sur sa couleur de peau ou autre critère identitaire.
Et les Camélia Jordana, les Lilian Thuram, les Omar Sy et bien d’autres vedettes du showbiz, qui dénoncent le racisme en France, devraient nous expliquer comment leur réussite a-t-elle été possible dans un pays aussi raciste !
La vérité est que Rachel Khan possède une légitime estime de soi, là où les pleureuses de l’antiracisme sont bourrées de complexes.
La France est en grand danger de désintégration au nom d’un antiracisme démentiel, devenu un racisme anti-Blancs permanent.
Même un Kofi Yamgnane, Franco-Togolais élu maire en 1989, a retourné sa veste et parle maintenant de cette “France hideuse” qui l’a pourtant nourri. Mais si rien ne va plus, qu’il retourne au Togo et abandonne la nationalité française. Encore un ingrat qui a oublié que la France lui a tout donné !
Il faut dire que la haine de la France est à son paroxysme, tant nos journalistes déroulent le tapis rouge devant ceux qui vomissent notre pays.
Et plus certains immigrés crachent sur notre pays, plus celui-ci se montre généreux à leur égard.
Tout cela finira mal.
C’est une haine exponentielle qui se propage à grande vitesse, avec la complicité des politiques incapables de comprendre que la crise identitaire va tout emporter.
Jacques Guillemain, dans Riposte Laïque